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| born to be wild ≈ anastatia | |
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maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 1:45 | |
| anastasia baranovai am lost in our rainbow carte de sorcier nom, prénoms : le sang qui m'accule sa bouche et ses douces lèvres pourprées émeraudes. anastatia aurait pu être une ondine, une skadi, un dragon. tout ce que l'on aime, tout ce qu'on l'on admire du regard. mais elle n'est pas ce calme, ce luxe, cet volupté. l'ordre de la beauté n'a pas sa place et anastatia n'est autre qu'une baranova. pas si fière et pourtant pas si tendre, elle est mi-cuite la gamine. on a fumé sa peau pour son hideux sang. on piétine ses pensées, cadre son corps de parfait petit pantin pour que la machine tourne, tout fonctionne comme il le faut. elle se satisfait du plaisir des maîtres à écorcher son prénom si frêle au près de la langue. a-na-sta-zia qu'on écorche la dernière syllabe par laideur. et on moque ses accents, on rit de sa mocheté et de cette prononciation. alors elle se dit ana, parce que c'est plus court, plus simple. qu'ana, on l'oublie et ça s'efface comme un mirage, quand on veut nommer le visage de la gamine. elle n'est qu'ombre et poussière dans la tempête infernal. âge : le doux regard et les lippes qui attirent, la gamine est d'une beauté juvénile. si son impureté lui a coûté vingt-deux années à se briser le dos, fouler la terre et continuer encore ce cycle infernal entre l'oxygène et ses poumons. elle connait pas tellement la vie, et on lui dit qu'il y a tant à voir. elle a pas tellement peur de la mort et on lui dit que tout est effrayant dans les ténèbres. date, lieu de naissance : c'est dans un dernier cri sanglant que katerina mit au monde son deuxième et dernier enfant, un douze juillet dans la capitale russe. origines : son léger teint basané trahit les origines de sa famille. son sang est aussi russe que la neige qui recouvre les terres du nord. bien plus pure que certains maîtres auquel l'enfant se rabaisse. nature du sang : les lèvres dansent sur les mots. les langues se dégustent de ce plaisir incertain. elle ne se définit pas mêlée mais sorcière avant tout. la couleur rouge se lit à l'acier des chaînes dans son esprit, marque la pureté qui n'a jamais pu se créer. elle ne sait pas si elle doit être triste ou en faire une force. elle ne sait plus vraiment. dans sa tête, c'est le néant. dans son coeur, un tourbillon. un tout, un rien, les méandres d'un passé damné. aujourd'hui, elle est tout simplement une citoyenne sorcière russe et élève à durmstrang, c'est déjà ça. statut civil : des lèvres qu'elle ne peut toucher. le risque d'un baiser volé, d'un sourire capturé. ses yeux bleus gravés à jamai dans son esprit. des cheveux de blés tant de fois touchés. cajolés, cachés, isolés, l'enfance est parti depuis longtemps. si précieuse à ses yeux et pourtant si interdite. anastatia ne brûle que pour les bras de son ancien-maître. impur créature, nymphe des enfers jouant avec son âme. son prince est son bourreau. alors elle ne met pas des mots sur ses sentiments, se refuse d'y croire, mais la vérité lui éclate à la figure chaque jour. elle l'aime. d'un amour éternel et interdit, comme les contraires s'attirent. juliette attend la venue de son roméo, la lune a besoin de son soleil. années d'étude : la jolie colombe vole au-dessus de l'académie depuis quatre ans qui résume ses années d'études. elle vole avec grâce et intelligence, ne brille pas comme l'aigle mais bats des ailes à son propre rythme. maison : la beauté enfantine a toute sa place dans la maison des sygn. son coeur pure comme la soie et sa bonté d'âme font d'elle l'allégorie de l'immortalité, d'une nymphe muse des plus grands poètes. et pourtant, elle se fait vengeresse et détestable. elle se fait ennemie des trahisons et vengeresse face à la déception. elle ne promet pas un combat mais une guerre épique dans le tréfonds de son âme. elle n'est que lâche à ce jour, ignorant les flots du torrent destructeur qui coule en ces veines. trop protégée la poupée, qu'elle ne sait pas voler. alors elle se tue au travaille, elle écoute, et elle tente de noyer la haine et les idéaux rebelles qui perforent son crâne. baguette : la baguette de la demoiselle est formée d'un bois de chêne ayant pour coeur un cheveu de poliévik, celle-ci mesure vingt-et-un centimètres. Sa baguette est lisse et terne. patronus : le premier mot qui nous vient à la vision d'ana est le mot fascinant, étonnante petite gamine. on ne soupçonne pas la rage dans ses mots ni même l'insolence de l'injustice. alors on pense la berner jusqu'à l'entendre hennir. tel un cheval, l'enfant invoque auprès d'elle ce magnifique étalon, souvenir des quelques mélodies enfantines mêlant piano et violon. epouvantard : pire que la mort, pire que la vie, la folie en elle-même. la gamine n'est pas bête, comprend, voit les dégâts que cela peut causer. ses propres démons qui la menacent, elle et ses proches. elle la craint plus que tout. amortentia : l'amortentia de la demoiselle a son odeur bien à elle, difficile à décrypter même pour elle. ce mélange entre un bon chocolat chaud au goût de cannelle une nuit froide d'hiver, et l'herbe fraîchement coupée quand la rosée se dépose sur le sol matinal. groupe : elle fait partie des one day more, parce qu'elle n'a pas le courage d'assumer le fond de ses pensées, parce qu'elle veut y croire totalement mais qu'elle est trop effrayée. alors elle attend avec lâcheté que la mort dévore son âme. |
salveo maleficialumos maximahominum revelio salveo maleficia. quel est votre avis sur le tsar ?des pensées, elle en a des tas. des idées qui fusent dans son esprit, émergent à la surface puis retourne se cacher parce qu'elles sont trop osées, trop mauvaise. autrefois, ana avait peur de son ombre, et de la voix de ses maîtres grondeurs. les ombres ont grandis. papa est mort, le coeur tranché et le sort meurtrier. il est mort sous les supplices. et l'hiver qui a fouetté le corps frêle de maman sans jamais lui laisser le courage de se relever. alors son paradis est devenu noir. les plumes blanches de la colombe sont devenues noires, tel un corbeau. et le phénix n'a qu'un visage en tête, qu'une expression. le tsar qui se lasse de son sang bafoué et de ses vies enchaînées. andreï ne l'a jamais aimé, c'est ce qu'il disait, avant. et puis maintenant, il lui dit de faire confiance au gouvernement, que tout peut changer. elle ne croit plus rien, elle ne sait plus rien. le gouvernement tue ses rêves, damne ses pensées précieuses. alors, elle n'ose pas l'enfant. elle ne veut pas être méchante, elle ne veut pas faire de mal. elle a trop peur des conséquences, de ce qui peut arriver si elle proteste. elle espère juste qu'elle damnera ses peurs et condamnera ceux qui lui ont tout pris. parce que la lionne en elle rugit comme personne n'a pu rugir autrefois. que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ?les chaînes qui se relâchent, l'emprise qui se libère. Le regard bleuté de son maître et la vision de ce château rêvé. ana peut enfin voler de ses propres ailes dans ce château dont elle a temps rêvé. un défi, une énigme, pour elle, c'est le moyen de prouver à son frère, à torvald, qu'elle n'est plus une enfant. elle n'est plus à sous-estimer la petite, et elle compte bien gravir les marches comme n'importe quel sorcier. si les sangs-purs en sont capables, alors elle est capable de réussir son avenir. c'est ce que lui a dit andreï, en l'invitant à le rejoindre. depuis ana découvre la vie, tel une renaissance et une découverte du nouveau monde. elle ne vit plus dans une petite chambre vide, cuisinant, nettoyant, sans relâche. que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ?esclave. bafouée. condamnée à errer sur la chaussée. des vêtements de loque, un coeur qui implose. la crasse, les pleures. cosette qui voit les larmes de fantine et la colère de gavroche. misérable gamine au jean valjean paternel qui part faire la guerre. ana seule. ana toujours seule. ana qui ne doit pas courir parce que ça réveille les maîtres. ana qui ne doit pas respirer trop fort pour que son oxygène d'impur ne nuise pas à la santé des grands. ana qui ne doit pas bouger, pas sourire, pas vivre et mourir comme une attardée qui ne sait que repasser et nettoyer. l'être humain conditionné, l'être humain n'est plus qu'invisible, violé par les mots et écorché des regards. alors ana ne respire plus, ne regarde plus, ne parle plus. elle se laisse aller à son regard de taularde démunie, avale l'eau crasseuse et dort sur la paille. c'est si banal pour tous le monde. et sa peau fraîchement pure recouverte de saleté. elle ferme les yeux un instant. elle ferme sa bouche, bloque ses narines. l'air ne rentre plus, et c'est si doux. elle se sent périr délicatement, le temps d'un instant. ce n'est que dans les bras de la faucheuse qu'elle sera libre. quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ?lâche. démente petite gamine incapable où le désir d'aplatir les mains sur son cou est plus fort que tout. animal sauvage incapable de rester captif face à l'appel cohérent. elle est lâche dans ses actes, dans son esprit. elle n'a pas le courage, la foi. elle a tout perdu, et elle pourrait se battre. mais il y a encore les visages dans son esprit, les fantômes et les vivants qui lui disent de ne rien faire. de patienter, que c'est mieux pour sa sécurité. alors elle écoute. c'est vrai qu'ana ne peut pas tellement faire grand chose pour la résistance, elle est inutile, elle et ses potions. elle a juste le coeur pur, mais impossible de damner sa peur de la folie, la démence. alors elle attend, elle juge. elle veut, mais n'ose pas. le pense, mais pas assez fort. ce sont des non-dits, des mouais, maussade. la gamine, elle apprend à respirer et on veut déjà l'enrôler dans un combat mortel pour lui tordre son cou. I. ana, elle est différente de toutes les filles que l'on peut connaître. aussi magique que banal, son regard transforme souvent les gens, les hommes, les femmes. il transperce les âmes à l'aide de ce fin sourire ou de cette révérence gauche et veule. elle brûle ses jeunes années à observer le ciel et sourire, comme sa mère. elle joue sur les apparences avec son petit air calme qui cache la malice dans son esprit. elle est sauvage quand la nuit tombe, plus libre, plus sensible. elle déverse ses sentiments, ne contrôle plus ses rires et ses pleures. elle est simplement libre d'être en vie, et c'est le plus cadeau qu'on puisse lui offrir. II. elle joue du violon comme personne n'a pu jamais en jouer. son père, violoniste, lui a tout appris avant de partir à son tour, redorer l'image des baranov. en autodidacte comme son frère aîné, la gamine a travaillé son style et la souplesse de ses mouvements afin de ne devenir qu'un avec l'instrument qui l'anime. petit elfe féerique aux cordes magiques, elle adore partager les morceaux de mélodie au côté de son frère. cette osmose, ces harmonies qui coupent l'air et brise la loi de la gravité. ils sont libres à leurs manières, dans les mélodies qui scintillent dans l'air. les virtuoses s'expriment ainsi et les harmonies sont plus que paisible. III. ana a des rêves pleins la tête. le premier est de devenir l'une des plus grandes potionistes. torvald et andreï pouvaient observer son amour pour les sciences et la pratique. ana, elle croit en ce qu'elle peut faire avec un chaudron. les potions c'est son domaine, son odorat est un atout particulier pour les saveurs olfactives de ses potions. alors elle rêve en classe, écoutant les voix de ses professeurs. un jour peut-être, elle pourra créer une potion de vie, ou bien plus encore. elle a les rêves dans la tête et les étoiles dans les yeux. IV. ana n'aime pas donner les définitions même à des mots. elle a cet esprit enfantin qui lui dit de toujours métamorphosé ce qui se passe autour d'elle, comparer pour chercher un repère. depuis ses dix-huit ans et sa liberté offerte, ana a perdu celui qu'elle aimait. elle ne nomme pas ça l'amour, oh non, ça serait trop lui demander, trop le nommer. elle s'interdit de l'appeler ainsi, parce que ce n'est qu'un ami de longue date, d'enfance, un maître qui a été gentil avec elle. la vérité est tout autre. les regards qui se croisent, l'amour qui émane. il est son papillon, son oiseau, son peintre, son oiseau chanteur. et elle l'aime ana, elle l'aime comme elle ne peut aimer une personne. malheureusement, la vie l'arrache à ses mots, ils ne sont pas nés pour être ensemble et se conditionnent à se détester. si seulement les pensées les plus profondes pouvaient rester cacher. V. ana a toujours été plus proche de son père que de sa mère. elle l'aimait karina, oh que oui, mais elle en était trop son reflet que lorsqu'elle est décédée, elle s'est sentie mourir avec. sa mère n'a pas quitté les sangs-purs, elle a travaillé pour eux. et dans le fond, ana la remercie. mais elle a toujours voué un mythe à son père, le culte de ce courage abrupte qui coule dans les veines de son frère. et elle se sent encore plus noire, plus mauvaise, à ne pas être aussi vaillante qu'eux. elle n'est pas brave la gamine, elle a juste peur de finir seule dans le froid et crever dans la douleur et la folie démoniaque. tout ça, parce qu'elle n'est pas née comme les autres et qu'elle est si différente. hominum revelio. Elle tremble. Peut-être trop ou pas assez. La fatigue fissure son visage alors que les cris résonnent. Ses poings se serrent et elle ferme les yeux comme une enfant. Elle ne doit pas avoir peur, elle ne doit pas reculer. Andreï n’est pas là, plus là. Son esprit vogue, imagine. Elle a eu temps peur, temps de frayeur que le simple espoir de devoir reculer maintenant est digne d’achever sa dignité. Alors elle continue à courir en rond. Elle court de toute ses forces malgré la fatigue qui la désarme, malgré les cris dans sa tête, les monstres dans son esprit. Elle doit y arriver, elle doit le faire. Pas pour elle, mais pour Papa. Elle pousse un cri. Un hurlement lointain. Ses genoux tombent sur le sol. « Stupide mêlée. » Elle se sent faillir, mourir. Et les rires qui maculent la pièce, et les regards qui fusent. Ana se meurt dans le pénombre du labyrinthe. Pantin à terre. Qui serre les dents. Qui rampe derrière les pas qui s’éloignent. Le sort qui fait encore mal. Le coup frappé mortel. Ana, calme-toi. Ana, ne pleure pas. Tu es plus forte que ça, plus forte que la douleur. Je ne suis pas mort pour te voir au sol. « Papa … » Debout Ana. Allez, debout ! Elle cri. Comme personne n’a jamais pu crier. Ça vient du plus profond de son cœur, de son âme. Elle refuse de mourir maintenant. Ici et là, dans le fond de l’entre maudit. « Ana ? » Il braque sa baguette et fixe l’être allongé au sol. « Ana ! Tu vas bien ? » Les mains du garçon touchent le visage de la jeune-fille avec inquiétude. « Je vais mieux maintenant. » Ses yeux noirs se dirigent sur l’ancienne ombre. Il était là. Elle aurait juré qu’il était là. Torvald tourne la tête pour observer le recoin perdu du feuillage. « Il faut y aller maintenant. » Le blond soulève le corps fin de la brune. Le bras de celle-ci vient se nicher autour de son cou et il marche ainsi jusqu’à la sortie dans ce silence amer qui les unie. Ils ne peuvent rien faire qu’avancer, encore et encore. Ana cherche la présence de son père, encore et toujours. Mais elle n’a que la voix de son frère en tête, et les notes du piano qui résonne dans son esprit. Elle se laisse aller à la douce mélodie, le sourire qui étire ses lippes et la fin qui arrive. pseudo, prénom : amortentia aka morgane. âge : seize ans. pays : fille de france. avatar : adelaide kane. inventé, scénario, prédéfini : mi-scénario, mi-invinté. . crédits : Crick. commentaire : c'est de toute beauté ! ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 1:46 | |
| i dreamed a dreamcan you hear the silence Les cordes qui grincent, les doigts qui pincent, la mélodie qui résonne. La pièce se laisse embaumer par l'air chaleureux et la passion indolore de l'enfant. Et elle joue avec grâce, avec douceur. Cette candeur sur le visage, ce brin de malice, l'imperfection de ses gestes face à la chevelure brune. Et elle continue à jouer du violon avec grâce et malice, les pupilles qui brillent et les lippes qui s’étirent. La mélodie qui continue de siffler dans l’air alors qu’une mauvaise note vient briser sa délicate mélodie. « C’était très jolie. » Et elle tente de rejouer, encore et encore. Il ne dit rien, l’observe juste. Encore et encore, mais la note ne vient toujours pas. « Ana tu .. » L’archet se frotte de nouveau contre les cordes et coupe la voix du garçon. Ils ont les yeux cernés, qui ressemble aux nuits à regarder le vieux plafond. Ils ont les majeurs abîmés alors qu’ils sont encore mineurs. Et ils creusent dans la mine de la pauvreté, comme des acharnés, des misérables. Et de nouveau la note est fausse, loupée. Elle pousse un soupir qui se mélange à un sanglot. Elle pousse un cri avant d’observer le visage noir et dur de son frère. « C’était son morceau préféré. Et jamais je n’ai été capable de bien le jouer. » Les larmes coulent le long des joues de la violoniste et son frère se précipite devant elle pour essuyer de ses pouces l’eau qui ruisselle. « Ana, ne dis pas ça. Tu y arriveras, avec le temps. » Un petit sourire ironique digne des Baranov effleure ses lèvres alors qu’elle scrute les iris de son frère. « Mais c’est trop tard Andreï … Elle est partie … » Andreï attrape le violon de sa jeune-sœur et le dépose au sol délicatement avant de l’observer, tout en repassant une de ses mèches rebelles derrière son oreille. D’une étreinte fraternelle inséparable, il prend dans ses bras la petite silhouette enfantine, cachant les larmes qui maculent ses paupières. « Elle n’est plus là, mais elle est toujours dans notre cœur. Ana, c’est nous contre le reste du monde et je te jure que je ferai tout pour être près de toi. » Il l’observe un instant avant d’embrasser délicatement son front. La petite muse ferme les yeux, et elle oublie. Un instant, elle oublie comment ça peut faire mal. Comment la douleur est trop présente dans tout son cœur, comment elle a envie de mourir sur place. Elle se sent périr sous le poids du deuil et de la mort. Elle ignore si elle sera aussi forte qu’elle le pense. Ana comprend enfin ce que c’est, de perdre un être plus que cher. « Allez la violoniste, faut qu’on retourne travailler. » Il attrape sa main tout en faisant une révérence satyrique digne des maîtres. Et derrière les sanglots, l’enfant ne peut s’empêcher d’esquisser un petit rire.
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« Anastasia, emmène le goûter dans la chambre de Torvald, la nourrice l’a autorisée à déjeuner dans sa chambre. » La gamine repousse les deux tresses qui tombent dans ses yeux et elle s’empresse d’empoigner le plateau avec simplicité. Mais c’est bien plus. Son ventre implose. Un sourire illumine son visage alors qu’elle monte les escaliers délaissés pour les esclaves. Sa main frappe contre la porte tandis que celle-ci s’ouvre. « Monsieur. » Et elle le voit. Ses yeux bleus océans. Elle aime tellement les regarder. Elle pourrait se noyer dans la marée, voguer vers d’autres horizons en un battement de cil. Des nouveaux paysages, des nouvelles saveurs. Des soleils qui se différencient. Et ses lippes qui s’étirent. Et elle l’envie. Jalouse tous ceux qui les entourent. Andreï a le droit d’aimer Hedvig, elle n’est qu’une simple mêlée, comme lui. Papa et Maman ont le droit de s’aimer, malgré la mort qui les sépare. Et Ana, elle doit fixer ce regard bleuté sans pouvoir avoir le droit de tomber dedans. Elle doit observer ses lèvres rosées sans pouvoir les toucher. Elle ne peut pas l’étreindre contre son corps, rire à hautes voix. Jamais. Ce n’est qu’une esclave que l’on frappe si le regard est trop intense. Si l’émotion qui la guide est trop puissante. Ana, elle n’a que douze ans. Que douze ans et pourtant elle se voit déjà vivre tant d’aventures qu’elle peut lire dans ses livres. « Ana, comment tu vas ? » Sa voix. Ce vibrato. Cette mélodie. Ana pourrait lui écrire des requiem, des notes qu’il pourrait atteindre en un simple phrasé. Mais elle ne peut pas. Elle n’a pas le droit. Alors Ana écoute, Ana observe, Ana sourit et Ana grandit. Seule dans sa prison au champ des oisillons, elle se berce d’illusion sans comprendre ses propres allusions. « Je vais bien et vous ? » Elle n’a pas le droit de parler, alors sa voix est faible. Le garçon s’empresse de jeter un œil dans le couloir avant de fermer la porte et de se retourner vers la jeune adolescente. « Je vais bien, même si je m’ennuis un peu … Tu veux rester ? » Il lui tend un biscuit qu’il est censé manger, mais elle refuse, par obligation et devoir. Oh, que oui, elle veut rester Ana. Elle veut jouer à ses côtés, lire tous ses livres, apprendre la magie, danser, jouer du violon, et puis rire de nouveau et parler de tout et de rien, du temps qui passe et des blessures qui s’effacent. « Je ne peux pas, j’ai des tas de chose à faire, je dois y aller. » Elle ouvre la porte et le salue de la main. « Ana. » L’enfant se retourne avant d’observer le sourire taquin et le bonheur qui émane de ses lippes. « Les tresses te vont très bien. » Les joues de la jeune fille se teintent d’un rose et ses lippes s’étirent timidement. Elle ferme la porte à ce sourire magnifique, tout en passant une main dans ses cheveux à sa sortie. Elle est sa fleur, son printemps. Elle est cette nymphe qu’il désire. Et les plaisirs qui grandissent, et les sourires qui s’épanouissent. Ils s’aiment à la folie sans savoir définir le mot amour.
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Elle dépose ses seuls et uniques vêtements dans la petite malle. Son violon et l’archet qui va avec. Les lettres d’Andreï et les deux photographies qu’il lui reste de sa famille. Elle observe la petite pièce dont elle connait tous les recoins. Dix-huit ans. Elle part, sa petite malle à la main et sa chevelure brune au vent. L’air s’abat sur le domaine des Viktorsson et elle ne peut s’empêcher de sourire. Devant elle, il y a ce grand homme bien plus musclé et plus fort la dernière fois qu’elle l’a vu. Elle s’empresse de se jeter dans ses bras en le serrant fort dans ses bras. « Andreï, tu m’as tellement manqué ! » Il la fait tournoyer comme ils avaient l’habitude de le faire avant d’embrasser son front. « Ana, le monde est à nous. » Les lippes qui s’étirent, les deux enfants ne peuvent s’empêcher de regarder le paysage qui les entoure avec un sourire des plus frêles. Elle n’avait pas fait attention à l’autre présence. Blonde. Lointaine. Qui les observe près de la fontaine, derrière les grands arbres. « Andreï, j’ai oublié quelque chose, je n’en ai pas pour longtemps. » Il la regarde, étonné, étranger à ses mots. Elle se met à courir. Ses cuisses se coincent dans les pans de sa robe mais elle n’en a que faire. Sa respiration est saccadée, le froid qui emplie ses poumons n’est rien face à la chaude excitation qui palpite dans ses poumons. Elle arrive enfin devant le jeune garçon en l’observant. « Ana, que fais-tu ? Ton frère t’attend et … » « Je ne t’ai pas dit au revoir. » Ana, elle a ce don de la nature à couper la parole des gens en douceur et avec fracas. Ce sang chaud tout à la fois calme. Ce paradoxe, cette énigme. Alors elle sourit doucement en le regardant. « Ne me dis pas que je vais te manquer. » Son ton est plus ironique, plus libre. Elle le tutoie, elle lui parle comme si c’était dans sa nature de lui adresser la parole. Comme si elle avait le droit de lui sourire et de battre des cils. « Je trouverai meilleure servante que toi. » Touchée en plein cœur par le sourire charmeur. Mais elle ne peut se retenir de rire à la fois. Ana a toujours aimé la délicatesse que Torvald portait au mot. Elle n’était pas esclave mais servante. Elle n’était pas gauche mais une adroite sans effort. « Ana, tu seras toujours chez toi ici. » Il fait un pas. Elle retient son souffle. « Ton frère t’attend. » Elle avance d’un pas. « Je l’ai attendu pendant des années, il est capable de patienter deux minutes. » Les corps se frôlent, si près, trop près, mais peut-être pas assez. Cette proximité est rêvée, désirée dans ses rêves les plus dérangés les nuits où la solitude berçait ses mirages. La pureté dans ses gestes, la douceur dans ses caresses... Ils sont si proches qu’ils se dévoilent et se découvrent, ils partagent la passion douce et pure qui émane de leurs âmes. Ils n’ont plus besoin d’entendre le son de leurs voix, une œillade suffit pour unir les deux enfants. La main glisse contre sa chevelure brune, longue et frêle, si douce et sauvage à la fois. Ce contact inopiné réchauffe la peau de la délicate enfant au regard noircit par le temps ; la petite hirondelle a vu les années passer dans sa cage dorée, si bien que lorsque son maître lui offre sa liberté elle n'arrive pas voler. Elle ne sait pas réellement voler, n’a jamais appris ; surprotégé dans le nid douillet et empaillé, les corbeaux ont su prendre soin de l’hirondelle, si fort que le ciel est trop bleu pour son regard noir, si bien que la terre est trop dense pour ses fines hélices. Ses ailes ont été cassées et abîmées par les chants charognards de ses maîtres assoiffés de sa pureté. Son plumage est blafard et brûlé, écorchant sa pureté à souhait, la poupée devient damnée du ciel et de la terre. Les regards qui se croisent et batifolent ensemble dans cette danse incessante qui anime les pupilles et aspire l’un dans le gouffre de l’autre. Les nez qui se touchent, les odeurs qui se dégagent ; elle hume son parfum qu’elle a tant senti les années précédentes, mais cette fois elle le sent bien plus proche de ses narines, si proche qu’elle en connait tous les mystères et les délices. Les sens aux aguets, entre eux s’offrent une danse corporelle qui brise l’espace-temps, qui anime les corps enfantins ; ils sont légers, ils sont vivants et se dévorent dans une passion prude. C’est comme un déclic, un automate et tout ce qu’elle a enfouit jailli enfin. Une liberté qu’elle s’offre, un cri invisible ; les ailes qui s’étendent l’élan. Elle est libre Ana, libre de faire ce qui la dévore depuis des années alors c’est l’explosion des sentiments, la dimension des nouveaux sens et de l’extase. Elle laisse ces sentiments indéfinis exploser à la surface ; et l’hirondelle s’élance. Eve touche le jardin d’Eden du bout de ses phalanges ; voit les portes du paradis s’ouvrir devant ses yeux. Elle veut toucher le bonheur de ses doigts fins, comprendre les raisons de sa passion et laisser libre court à son esprit de voltiger. Et la souillure dépose ses lèvres sur la beauté. Elle l’embrasse ; dans le plus brusque et pur mouvement. Ce mélange étrange entre la détermination d’une femme et la candeur d’une enfant ; Ana ouvre son cœur et toute son âme à l’être aimé, prince de ses nués. Un baiser qui humidifie les lèvres, un baiser qui les fait danser dans cette symphonie des sens. Les salives qui se mélangent et les corps qui s’échangent ; ils ne font plus qu’un dans l’étreinte infernal qui les unie. Et elle se sent libre, l’hirondelle. Elle a le courage de battre faiblement des ailes, mais elle a essayé et a pris son envol. Elle est ce qu’elle a envie d’être, ce qu’elle a envie de faire ; elle est libre des choix de son cœur et de ses baisers offreurs de rêve. Son coeur brûle d'un plaisir qui ne peut la briser ; ce bonheur tant de fois imagée dans son esprit n’est qu’un moment volé au doux Roméo. Juliette s’empare de son cœur et de ses lèvres, laisse sa trace comme Dracula et repart dans la pénombre des mêlées. Elle se sent forte, elle se sent légère, elle ne voit pas passer l'heure ; elle a dix-huit ans et lève son majeur à l'horloge qui annonce l'heure. Elle n’a plus peur de Cronos et ses démons qui dévoraient son âme dans le bas-fond. Ana est libre, Ana est vivante, Ana voltige et Ana se plante. Elle apprend à renaître, à voir et à vivre, d’une manière différente. Elle a le droit de se tromper, elle a le droit de fauter. Et surtout, elle a ce droit en elle, ce droit qui bat dans sa cage thoracique si fort qu’elle est prête à exploser ; elle a le droit d’aimer. Pas lui, mais ce n’est qu’un début. Alors elle relâche l’étreinte et recule d’un pas. Puis deux. Puis trois qu’elles enchaînent. Le temps s’accélère et elle ne fait pas attention à la tempête. « On se retrouvera. » Et elle part en courant pour retrouver son frère. Elle ne peut pas décrire les larmes qui volent au gré du vent. Elle ne peut pas exprimer cette langoureuse tristesse qui berce son âme d’un spleen linéaire alors qu’elle s’émancipe de ses maîtres. Ana est une sorcière libre, enfin. Mais Ana est une sorcière prisonnière de l’amour, et ça, pour toujours.
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« Andreï, andreï, tu m’écoutes ? » Le regard du garçon est vide, sans sens ni sentiment. Il lui faut l’aide de sa sœur, le contact de sa peau contre la sienne pour le ramener à ses sens. « Tu vas bien ? » Il hoche la tête avec froideur avant de retirer sa main. Ana ne peut s’empêcher de le fixer avec stupéfaction et interrogation ; suite à ce regard le garçon s’exclame avec un ton virulent. « Oui je vais bien, merci ! » L’homme se lève pour tourner le dos à sa sœur alors que celle-ci tente de lui faire face. « Tu es sûr ? » Il a changé. Elle ne sait pas pourquoi, ni comment, mais il n’est plus le même. Jamais il n’aurait pu lui parler de cette manière, oh non, ça jamais. Ana était son unique trésor et personne ne pouvait lui enlever cet amour, personne. « Ce sont les résistants ? Ils t’ont fait quelque chose ? Andreï parle-moi tu sais … » Le livre du garçon claque contre le plancher et les regards se froissent, se brisent. Le miroir qui se déchire, la barrière qui se créer. Le regard devient encore plus sombre, noir, animal. La fureur sauvage qui émane de lui effraye la gamine qui recule doucement. Il se retourne pour fixer la créature dans ses yeux avec un air enragé, un monstre humain. « Tu ne dois jamais parler d’eux, Ana, c’est clair ? Jamais ! Ils pourraient te tuer, te détruire, alors ne va pas fricoter avec eux. Ne les approches surtout pas, tu m’entends Ana ?! » Elle hoche faiblement la tête alors qu’il ramasse son livre et claque la porte sur son passage. Ses mains tremblent délicatement, trop même. Elle ne sait plus vraiment ce qu’elle doit faire, ni comment. Elle s’empresse soudainement d’attraper un parchemin et une plume. Elle ne sait pas qui prévenir, ni même comment le faire. Alors elle écrit des mots, des phrases étranges qui n’ont pas de sens. Sa main tremble, ses lettres dérivent et elle se doit d’être forte pour l’avertir. Si Ana est incapable de résonner et comprendre son propre frère, alors il y a peu d’espoirs pour tenter de comprendre. Pourtant, elle aligne les mots, parce qu’Hedvig a toujours été très importante pour Andreï. Peut-être qu’elle sera, qu’elle comprendra, qu’elle agira. ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 2:08 | |
| ugh, une sang-mêlé. *la martyrise dans un détour de couloirs* bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fichette, t'es belle mais t'es souillée. |
| | | membre du mois Hiboux : 742 Avatar : max irons Double Compte : ulrich la vipère Crédits : sweet nothing, the queen bé (avatar) & dailymax (tumblr) Âge : vingt cinq hivers sanglants. Nature du sang : sorcier dont le sang est mêlé, sacrilège pour les tous puissants. Statut civil : coeur de glace, si autrefois, des sentiments commençaient à naître et qu'un feu s'emparer de lui, il n'y a plus rien aujourd'hui. Son esprit est vide et ses sentiments, inexistants. Patronus : son patronus prend la forme d'un tempétueux et indomptable serval. Amortentia : l'odeur de pluie, et de bois mouillé comme de la camomille, un souvenir d'autrefois, un souvenir sous une couche épaisse de brouillard nébuleux. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 11:01 | |
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| | | maison de baldr Hiboux : 167 Avatar : matthew daddario. Double Compte : hedvig la badass, torvald le fragile. Crédits : -av/@Hepburns. Âge : Leonid écume ses vingt-cinq ans, un quart de siècle, on penserait presque qu'il est assez mature pour prendre le trône, malheureusement il ne l'est pas encore et le sera sûrement jamais. Nature du sang : Pur, les Bytchkov est la famille la plus Pure qu'il existe, même si cette question de sang ne l'a jamais réellement intéressé. Statut civil : fiancé à une bien étrange créature, une femme. Patronus : némo. Amortentia : l'odeur de pipi de chat. Localisation : oklm à l'institut. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 13:31 | |
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| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 14:17 | |
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| | | maison de sigyn Hiboux : 404 Avatar : poppy drayton. Crédits : redwyne aka ivana la blg (avatar) & (gif de profil), brynhildr aka inka le kk (bannière). Âge : vingt-trois années, années qui ne lui appartiennent pas, plus. Nature du sang : un sang impur, un sang rejeté. il est mêlé, il est rouge et il lui est indispensable. hedda le hait, persuadée qu'il s'agit de la raison de sa condition. Statut civil : célibataire, fidèle à yador pour toujours et à jamais. infiniment sienne, désespérément seule. Patronus : un cygne, il est blanc et majestueux, aussi pur qu'hedda. Amortentia : une odeur de rhum mélangée à celle du bois, le parfum de yagor enivre ses narines. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 17:18 | |
| XRCTFVYGBUNI, YOU. YOU. YOU. I LOVE U. I'M GONNA KEEP YOU |
| | | maison de sigyn Hiboux : 135 Avatar : holland roden Double Compte : alexa, raafael et ivar Crédits : hepburns (avatar) Âge : vingt-trois années à écumer la terre de ses ancêtres. Nature du sang : mêlé malgré l'ascendance royale. Statut civil : coeur de glace. Patronus : une biche. Amortentia : une odeur de pluie, de parchemin et d'un parfum bien particulier. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Lun 22 Fév - 18:38 | |
| le pseudo et caitlin bienvenue morgane et bon courage pour ta fiche |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Mer 24 Fév - 1:55 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Mer 24 Fév - 2:36 | |
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| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Mer 24 Fév - 10:18 | |
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| | | membre du mois Hiboux : 742 Avatar : max irons Double Compte : ulrich la vipère Crédits : sweet nothing, the queen bé (avatar) & dailymax (tumblr) Âge : vingt cinq hivers sanglants. Nature du sang : sorcier dont le sang est mêlé, sacrilège pour les tous puissants. Statut civil : coeur de glace, si autrefois, des sentiments commençaient à naître et qu'un feu s'emparer de lui, il n'y a plus rien aujourd'hui. Son esprit est vide et ses sentiments, inexistants. Patronus : son patronus prend la forme d'un tempétueux et indomptable serval. Amortentia : l'odeur de pluie, et de bois mouillé comme de la camomille, un souvenir d'autrefois, un souvenir sous une couche épaisse de brouillard nébuleux. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Mer 24 Fév - 10:43 | |
| fais ta fiche et plus vite que ça d'abord :nope: prends exemple sur ton aîné |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Jeu 25 Fév - 2:22 | |
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| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Jeu 25 Fév - 14:03 | |
| que d'amour je meurs dommage qu'on soit amené à se détester en rp |
| | | maison de loki Hiboux : 311 Avatar : xavier dolan (en réflexion) Crédits : SWAN Âge : vingt-six ans, prêt à entrer dans la vie active... ah non, pardon, prêt à fuir. Nature du sang : pur (déshonoré, traqué, au ban de la société, mais pur) Statut civil : célibataire sur le papier Patronus : une souris, dont il a globalement plutôt honte. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Jeu 25 Fév - 14:29 | |
| bonjour, je suis la personne la plus à la masse de l'univers, je viens de réaliser que c'était la fratrie baranov tout va bien. bon mais du coup je me suis rattrapée, j'ai lu les informations (oh la la on voit bien que t'es la soeur d'andreï, vous partagez une plume sublime!) et je viens complètement à la bourre te souhaiter la bienvenue et le bon courage |
| | | i take my decisions Hiboux : 587 Avatar : Alicia Vikander Double Compte : Félix le plus beau (Avatar), Tumblr (gifs) Crédits : © WENDERSIENNE Âge : 32 ANS ⌁ L'âge de raison a sonné. Nature du sang : PURE ⌁ Les Lantsov sont enracinés dans ces terres battues par les vents. Statut civil : CÉLIBATAIRE ⌁ Elle s'est laissée deux ans durant lesquelles, elle cesserait de refuser les demandes. Si cela ne fonctionne pas, cas désespérée qu'elle est, elle s'est promise de se lier par le serment de tyr. Patronus : Porte-musc de Sibérie. Amortentia : Sapin, Huile de Lin et Cannelle. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Jeu 25 Fév - 16:43 | |
| Bienvenue par ici jolie sang-mêlée. Bon courage pour la suite de ta fiche, même s'il y a déjà un beau début. |
| | | maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 0:53 | |
| JE FAIS PIPI DE PARTOUT EH EH EH YOU'RE MINE |
| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 0:55 | |
| t'es bonne putain |
| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 1:01 | |
| wut j'avais pas vu que tu avais changé puis adelaide et le nom j'ai hâte de voir ce que vous avez comploté avec manon |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 1:09 | |
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| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 1:11 | |
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| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 1:14 | |
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| | | maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 1:21 | |
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| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | | | | maison de loki Hiboux : 311 Avatar : xavier dolan (en réflexion) Crédits : SWAN Âge : vingt-six ans, prêt à entrer dans la vie active... ah non, pardon, prêt à fuir. Nature du sang : pur (déshonoré, traqué, au ban de la société, mais pur) Statut civil : célibataire sur le papier Patronus : une souris, dont il a globalement plutôt honte. | Sujet: Re: born to be wild ≈ anastatia Ven 26 Fév - 9:19 | |
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