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| the violence in the pouring rain (elif) | |
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i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 1:23 | |
| elif skovsgaardFear of the mob is a superstitious fear. carte de sorcier nom, prénoms : skovsgaard — et le ton est donné: bûcherons de père en fils plutôt connus à Risskov au Danemark. famille modeste à l'ambition moyenne, mais à l'esprit éclairé. elif — première du nom c'est certain, ça ne colle pas avec son patronyme, ça rappelle l'exotisme d'une mère exilée, évoquant la première lettre de l'alphabet arabe et signifiant "élancée" en turque. tanja — réconciliation avec son sang scandinave, héritage d'une grand-mère inconnue, tuée à la tâche sûrement. âge : tout juste vingt-quatre ans, dont à peine neuf passés libre de tout fer. date, lieu de naissance : vingt-deux février, au bord de la mer dans le vieux quartier de Risskov au Danemark. origines : l'encens turque de la mère dont les grands-pères, eux, venaient d'Oman et la boiserie danoise du père. elle est issue d'un de ces mélanges ethniques dont on a cessé de chercher à discerner toutes les composantes. nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. statut civil : célibataire. profession : étudiante à Durmstrang, elle effectue son stage en tant qu'assistante de recherche d'un professeur de runes anciennes et se rend donc tous les samedi à la bibliothèque de Stolytsia, une fierté. années d'étude : septième et avant-dernière année. spécialisation : Luft, pied de nez à l’intolérance, la mêlée a le droit de s’envoler avec les autres, d’étudier la magie en profondeur. Oh elle aurait presque pu être Feuer également, elle s’y voyait déjà d’ailleurs, misant tout sur son impulsivité et sa force. Mais les professeurs ont toujours raison, il paraît, et sa capacité de travail et son intérêt pour la magie ont finalement primé. Ça n’est pas plus mal il faut dire: l’idée de faire son stage dans la garde du Tsar lui aurait particulièrement déplu. maison : skadi où l'insolence brave est récompensée. baguette : taillée dans un bois de houx rugueux et foncé, elle renferme en son cœur une plume d'oiseau de feu et elle mesure trente-et-un centimètres qui ne l'empêchent néanmoins pas d'être qualifiée de rapide. patronus : Kronhjort un cerf élaphe, à l'image de ceux qui peuplaient la forêt où elle a grandit. epouvantard : une chaîne épaisse autour du cou, des poignets et des chevilles, la servitude réelle à laquelle elle a jusque-là toujours su échapper. amortentia : l'odeur familière du bois mouillé relent de son enfance passée dans la forêt, l'effluve du piment grillé, un vague parfum mentholé mêlé à celui très particulier de vieux livres . groupe : empty chairs at empty tables. | salveo maleficialumos maximahominum revelio salveo maleficia. quel est votre avis sur le tsar ?Le Tsar, dans son enfance c’était une figure lointaine, presque légendaire. Jamais aperçu, si son pouvoir s’étend bel et bien jusqu’aux pleines du Danemark, il était facilement oublié par la gamine, remplacé par les démons quotidiens qu’étaient les sang-purs de la région. Et puis, arrivée à Stolystia, forcément, les choses ont changé, elle avait grandi, elle était plus à même de comprendre la politique, suffisamment mature pour se faire un opinion sur lui. Et quelle est mauvaise cette opinion, qu’elle le déteste ce tsar pour tout ce qu’il représente, qu’elle aurait aimé que la révolution aboutisse. L’homme sous la couronne, au fond, elle s’en moque. D’aucuns de sa caste pourraient même dire qu’il est certainement plus louable que ces prédécesseurs, mais elle sait qu’il n’a fait que cédé à la pression, qu’il n’a ouvert Durmstrang aux Mêlé que pour mieux poursuivre les discriminations. Elle hait ce qu’il représente, mais pas l’homme, l’homme ne mérite pas son mépris car sans son trône il n’est rien. que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ?L'entrée des Mêlés à Durmstrang est un pas en avant, peu importe les motivations de celui qui a signé l’édit, l’effet est réel. Elle peut faire ce que ses parents n’ont jamais pu faire, elle peut jouir de son don de sorcière et vivre libre. L’éducation est cruciale: Elif pense que ça pourra inciter sa génération à prendre les armes et gagner cette fois-ci. Elle espère, mais ne rêve pas trop. L’arrivée des Mêlés n’a pas fait que des heureux, au contraire. Mais c’est presque mieux ainsi, ça réveille son esprit de contradiction, ça nourrit son envie de faire ses preuves, de montrer sa valeur aux sang-purs. que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ?L’esclavage c’est la mort. Lente, douloureuse. De façon directe ou indirecte, l’esclavage a tué ses parents. Alors bien que née sans réels fers, elle en a souffert, tous les jours de sa vie. La qualité d’objet meuble de ses parents l’a toujours révoltée, il faut dire qu’elle n’a jamais compris comment quiconque a jamais pu s’en contenter. Elle est née après l’abolition officielle, mais vit en servage officieux. Fugitive, cachée, meurtrie, affamée souvent, ses mains sont liées par la vie, son échine doit se courber devant les Purs et tout son être se révulse, refuse de croire que c’est normal. Les choses doivent et vont changer, elle se l’est juré. quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ?Une bouffée d’espoir, voilà ce qu’est la Résistance. Au même titre que son sang-mêlé, son appartenance à celle-ci est inscrite dans ses veines. Fille d’esclaves, enfant de l’Injustice qui refuse de la voir persister plus longtemps, qui rejette l’idée que les quelques efforts du régime tsariste sont suffisants. Elle veut se battre, elle veut l’égalité, la vraie, pas celle qui n’existe que sur le papier. À quoi bon avoir son diplôme si c’est pour continuer à servir ses prétendus seigneurs ? Et elle ne cache pas son mépris pour ceux qui la croient inférieure à cause de son sang. Quitte à être punie. Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux. Elle n’avoue néanmoins pas son appartenance à une forme organisée de révolte légèrement, au contraire, elle la garde aussi secrète que la cause de la mort de sa mère. Se taire quelques mois, pour mieux pouvoir crier victoire, ça n’est qu’un maigre sacrifice. one. elle déteste l’Empire et la plupart des sang-purs, mais hait tout autant les Mêlés qui se complaisent de leur position, leur condition est selon elle autant le résultat de leur passivité que la faute du Tsar. two. loyale à l'extrême, possessive, et envahissante, elle jette son dévolu sur quelques âmes et sait se montrer d'une constance absolue dans l'attention qu'elle leur porte, ce qui n'est pas toujours apprécié au vue de la manière un rien envahissante qu'elle a de s'immiscer dans leur vie. avec les années la peur de s’attacher la rend plus méfiante, alors elle choisi avec plus de soin les heureux élus pour les aimer encore plus fort certainement. three. les chants se veulent orientaux, les ‘r’ roulés sous la langue, les ‘p’ qui disparaissent, l'arabe, la seconde langue de sa mère. Un accent plus guttural, mais non moins mélodieux quand elle marmonne en turc, des insultes souvent. Et puis il y a le danois la langue du père, la langue des souvenirs de l’enfance aussi douloureux que joyeux. Dans tout ça, un soupçon de russe, parce qu’il faut, parce qu’on doit. Et parce qu’elle veut lire Zola, elle déchiffre même le français mieux qu’elle ne lit l’arabe ou le turc que sa mère n’aura su lui apprendre qu’à l’oral. four. elle n’est pas complexée par son statut, pas vraiment. Mais naître sang-mêlée l’a poussée à travailler encore plus dur pour rattraper le retard qu'elle avait pris en n’apprenant la magie que tard. Être admissible à Durmstrang, c’est bien, réussir le rite de passage c’est mieux. Obtenir son diplôme avec brio, c’est le rêve. Rage de vivre, rage de vaincre, elle a toujours voulu montrer à ce qui l’ont réduit pour son origine, qu’elle vaut autant qu’eux. et puis, elle estime au fond qu'avec ses pouvoirs vient la responsabilité indéniable de se donner les moyens, par l'apprentissage, de les utiliser correctement, avec parcimonie et à bon escient alors elle a travaillé seule pendant plusieurs années avant d’entrer à l’institut. five. depuis qu'elle a appris à lire elle voue une passion à la littérature quelle qu'elle soit et a su ainsi se faire une grande culture générale, son roman préféré est Tess of the D’Ubervilles de Thomas Hardy, trouvé dans la bibliothèque de son école quand elle avait onze ans. six. a souvent quelque chose dans la bouche que ce soit une cigarette, une sucette, ou un brin d'herbe. seven. chante très bien, mais fera rarement l'honneur d'une démonstration. eight. chipie née, maladivement curieuse depuis l'enfance, ses talents de fouine ne sont pas sans utilité pour une résistante comme elle. nine. combative, c’est une survivante, ça fait en effet des années qu’elle se débrouille seule, pratiquement sans argent et surtout, sans famille. ten. ambitieuse et déterminée, elle sait ce qu’elle veut et elle se donnera tous les moyens nécessaires pour l’atteindre, oubliant parfois le reste. Ainsi peut-être trop engagée, elle oublie parfois de penser à son avenir personnel à elle, à sa carrière, à dire vrai elle ne s’imagine pas vivre vielle. hominum revelio. elle se souvenait de la mer près de chez ses parents, de l’odeur salée et du chant des mouettes, elle se souvenait de la couleur des vagues qui venaient s’écraser contre les falaises et surtout du vent marin qui secouait ses cheveux. aussi dangereuse qu’elle pouvait lui paraître cette eau-là avait quelque chose de rassurant, naturelle, aussi vieille lui semblait-il que le monde. elle était dans son mouvement symbole de stabilité et de constance. l’eau froide et sombre dans laquelle elle avait du plonger à peine arrivée à Durmstrang n’avait rien avoir avec. aussi calme que le lac pouvait paraître, il en émanait une aura de danger qui n’était pas trompeuse, puisqu’à peine fut elle entrée dans l’eau qu’un strangulot la tira vers le fond, bientôt accompagné d’une autre créature dont elle ignorait le nom. ressortant la tête de l’eau, pour prendre de l’air, elle se força à aller de l’avant malgré les doigts fins de la bête enroulés autour de sa cheville. son père lui avait appris à nager quand elle avait sept ans. ça lui avait pris deux ans car Elif, si elle aimait le bord de mer, n’aimait pas beaucoup l’eau. mais son père n’était pas là pour l’aider et il ne serait pas là pour la consoler si elle échouait. elle aurait même pu abandonner, personne n’y aurait fait attention, personne n’en aurait rien su. c’était pour lui qu’elle était-là, avant elle-même et pour lui qu’elle ferait tout pour arriver jusqu’au bout. d’un coup de pied elle se débarrassa de sa chaussure ce qui surprit suffisamment le strangulot qui y était attaché pour qu’il la lâche et elle profita de l’instant de sursis qu’elle eut pour nager à toute vitesse jusqu’à l’autre rive, la chance suffisamment de son côté pour que les sirènes soient trop occupées avec d’autres pour faire attention à elle. assaillie par une bestiole non identifiée alors qu’elle tentait de s’extirpait de l’eau, elle attrapa une pierre de la taille de son poing et l’écrasa contre ce qu’elle pensait être la tête de la créature qui la libéra de son étreinte. elle était sauve. trempée et une chaussure en moins, elle s’engouffra dans la forêt. pseudo, prénom : écrire ici. âge : 21yo. pays : france. avatar : vanessa hudgens. inventé, scénario, prédéfini : inventé. crédits : moonic & shiya. commentaire : . 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| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 1:23 | |
| I'm a hurricaneI belong to no city I belong to no man Je ne comprends pas. Mots favoris de l’enfant trop curieuse pour son bien. Elle voit son père suer, heureux de manier sa hache la plupart du temps, mais ne jamais prendre le repos dont ses muscles meurtris ont grand besoin. Elle entend sa mère rentrer, tard, trop tard le soir, et les sanglots étouffés contre l’épaule de son mari, quand on la croit déjà endormie. Nous sommes des sorciers n’est-ce pas ? Fait-elle inéluctablement tous les dimanches matins devant le petit-déjeuner. Elle n’attend pas la réponse de ses parents pour faire fonctionner sa logique imparable. Alors pourquoi vous travaillez comme ça ? Pourquoi on vit pas dans un château nous aussi ? Le silence dure toujours quelques instants, laissant au père le temps d’hésiter à lui mentir, à la mère de réfléchir à une façon de lui répondre qui ferait cesser ces interrogatoires. Malgré sa logique, son raisonnement est toujours contré: nous sommes des esclaves. À huit ans, Elif trouve le moyen de poursuivre la conversation, de mettre à mal les arguments de ses parents. Mais nous sommes des sorciers, pourquoi ne pas leur dire ‘non’. Pourquoi ne pas se battre ? On a cessé de lui répondre, on a abandonné l’idée de lui faire comprendre, on a pas la force, on l’a plus, à se tuer à la tâche constamment. Et puis on a pas envie surtout, de briser les rêves de la gamine qui a conservé ce qu’eux ne semblent plus avoir: de l’espoir. Je ne comprends pas des années plus tard, la question aura tout son sens. Elle ne comprendra pas comment leur révolution a pu échouer, comment on pourra se contenter de si peu de progrès. À quoi bon aller à Durmstrang si c’est pour en en sortant être réduite à un travail débilitant. Ce n’est pas le système qu’Elif ne comprend pas et ne comprendra jamais. C’est l’inertie de la foule d’esclaves. Le don qu’ils ont de se contenter de si peu. Peut-être qu’à force de travailler on n’a plus le temps de penser. C’est sûrement pour ça que certains maîtres sont si durs, ils ôtent tous moyens de réflexion à leurs meubles humains en les faisant travailler jour et nuit. Peu importe que ça leur donne plus de raison de vouloir se battre, puisqu’ils ne peuvent les mettre en œuvre. Mais la liberté arrive et avec elle, pour Elif, l’espoir de voir sa génération changer la donne. ~ Elif ne rencontra le maître de ses parents que quatre fois. Le richissime sang-pur qui acheta sa mère à sept ans et son père à quatorze ans, fut l’un des premiers êtres à se pencher sur son berceau à sa naissance. Adouci par l’âge, ou peut-être ayant toujours été emprunt d’une certaine bonté en plus d’avoir permis à ses esclaves de se marier de loger ensemble, il accorda à Ceren une semaine de repos à passer avec sa première née. De son passage dans la hutte qu’habitaient les Skovsgaard en lisière de la forêt, deux jours après la naissance d’Elif, on en tira un accord tacite, mais certain que l’enfant bien que fille d’esclave pourrait grandir libre. L’esclavage venait tout juste d’être aboli, elle aurait la chance que ses parents n’avaient pas eu. Eux-mêmes comme tous les esclaves du maître se virent octroyé un salaire. Révéré comme un héros par ses bêtes, il ne leur rendit pourtant jamais vraiment leur liberté. De cet homme-là Elif ne garde aucun souvenir. Seuls ses yeux d’infant posèrent jamais les yeux sur lui car deux ans après cette promesse, il rendit l’âme dans son manoir. Elle ne garde ainsi de souvenir que des trois dernières rencontres et celles-ci furent avec un homme bien différent de celui qui eut d’abord acheté Ceren Hankir et Damian Skovsgaard: son fils aîné. Son premier souvenir d’Aksel remonte à ses six ans, alors qu’elle avait accompagné son père au cœur de la forêt pour le voir travailler. Les autres bûcherons dont les enfants étaient très jeunes en faisaient souvent autant et puisque les gamins s’amusaient entre eux, ils ne les avaient que rarement dans les pattes. L’odeur du pin coupé hante encore ses narines, lui rappelant les regards volés avec le fils du voisin, les doigts rugueux de son père dans ses cheveux longs et les rires bestiaux des hommes. Ce jour-là néanmoins leur propriétaire avait décidé de surveiller leur travail. Elif ne se souvient pas de la discussion, des menaces qui avaient été formulées, elle ne se souvient que d’une chose: des petits yeux méchants du maître qui l’avaient suivi jusque dans ses rêves pendant des années. Pour tous ses défauts, il garda la promesse de son père et Elif contrainte à aucun travail pu grandir en suivant son père et en se rendant à l’école primaire du quartier. Comme une moldue en somme. Mais les droits que le maître ne s’octroya pas sur la fille, il compensa sur la mère. Elif ne su que tard que les sanglots de celle-ci n’étaient pas du à sa simple condition d’esclave, à la simple fatigue du travail éreintant qu’elle effectuait en servant au manoir. Les jours où sa mère ne rentraient même plus à la maison le soir, devinrent habituels. Elle apprit à chanter ses berceuses en arabe seule. ﻴﻟﻼ ﺘﻧﺎﻢ….. ﻴﻟﻼ ﺘﻧﺎﻢ aller dors, aller dors et oublie donc. À quatorze ans, elle accompagna sa mère au manoir, elle ne devait que l’aider à porter les courses achetées au marché jusqu’aux cuisines, mais évidemment l’adolescente ne manqua pas de lui faire faux-bond pour nourrir sa curiosité. Pour ne pouvoir jeter qu’un coup d’œil à la vie que les autres, forts de leur pureté, menaient. Le simple fait de s’imaginer vivre sans avoir à s’inquiéter de l’argent, sans craindre le moindre coup, d’avoir sa propre baguette magique, de ne pas gâcher ses capacités, relevait déjà du rêve absolu. Sa mère la rattrapa alors qu’elle n’avait fait qu’un pas dans la bibliothèque, les yeux écarquillés, émerveillée par sa découverte: une personne pouvait posséder plus de dix ouvrages. Ceren la força hors de l’antre aux livres avant qu’elle n’ait pu toucher ne serait qu’une seule reliure et elles en étaient presque revenues aux cuisines quand le maître fit son apparition au détour d’un couloir. Le regard avide posé sur la fille inquiéta la mère qui la chassa immédiatement s’excusant platement devant son propriétaire d’avoir osé la ramener avec elle. Mais Elif entendit la réponse qui fut donnée à sa mère: il n’était pas fâché, au contraire. Ils disparurent au détour d’un couloir, mais avant que la jeune fille n’ait pu sortir du château elle jura entendre les cris de sa mère. Elle comprit. Deux ans plus tard Ceren était morte, la dépouille rendue à la famille, à peine reconnaissable. Elif regarda son père, pleine d’espoir, la vengeance brûlant en elle, mais il resta inerte et personne ne porta jamais aucune accusation quelconque. Plus tard Elif se dégoûta même à devoir avouer que sa mère était morte d’une ‘crise cardiaque’. Le Seigneur refit son apparition néanmoins, trois jours à peine après le décès de la génitrice. Il venait dans son beau costume demander les services de la fille, façon aimable de dire qu’il faisait valoir les droits qu’il avait toujours eu sur elle. Il promettait une compensation au père cependant, chose qu’en tant que maître il était loin d’être obligé de faire, en échange de quoi, elle vivrait désormais au manoir. Damian accepta et il fut convenu qu’elle partirait le lendemain. Quand Elif rentra chez elle ce soir-là, ses affaires avaient été fourrées dans un sac et le regard de son père était empli de larmes. « You’re leaving. » fut tout ce que son père pu dire avant d’être assailli de questions par l’adolescente. « I know someone in Stolytsia. Here’s all the money I have saved. » Tu ne seras pas une esclave avait-il promis. Convaincre Elif fut une chose difficile, mais la révolution était lancée et son père avait promis de la rejoindre et de se battre pour ses droits. Un jour, il la rejoindrait à Stolytsia. Alors elle partit, après des adieux larmoyants, dans la charrette d’un ami marchand et ne remit plus jamais les pieds à Risskov. « Go to Durmstrang. Make us proud. » furent les derniers mots qu’elle entendit de son père. God rejse! (bon voyage) ~ Ses doigts glissent sur les reliures et elle a du mal à cacher son excitation. Ce n’est pas la première fois qu’elle vient pourtant, non, ça fait des semaines qu’elle s’octroie ce luxe monstre de se perdre entre les étagères avant de se plonger corps et âme dans un roman. Elle étudie aussi, emprunte quelques livres pour travailler dans le grenier qui lui sert de chambre, apprendre la magie à laquelle elle pourra goûter en allant à Durmstrang. Son père était un visionnaire au fond, la révolution a été avortée, mais pas sans qu’on ait su en tirer un avantage: elle va pouvoir faire son entrée à l’Institut. Et cette unique pensée, cet unique but lui suffit à continuer à avancer. Elle courbe l’échine le soir en rentrant devant sa maîtresse qui ne l’a peut-être pas achetée, mais lui offre une paie dérisoire et ne la traite pas vraiment mieux qu’une esclave. Sa tâche n’est pas ingrate néanmoins: elle s’occupe des enfants, leur lit des histoires et finalement parfait son apprentissage avec eux quand ils révisent leur cours. Mais la vie ne commence que quand elle s’échappe, un capuchon sur la tête et profite que les enfants son à leurs leçons pour rejoindre le seul endroit où elle se sent bien à Stolytsia: la bibliothèque. Ses doigts s’arrêtent finalement sur son ouvrage préféré découvert des années plus tôt, l’une de ses premières rencontres avec la littérature étrangère. « Ahem… I must say I really wouldn’t recommend this novel. » Ses yeux couleurs chocolats fixent l’inconnu dont la voix l’interrompt dans son geste. « And who are you » Fait-elle en haussant les sourcils. « to criticise the work of Thomas Hardy? I suppose you’re an adept of Radcliffe and the like? » Elle ne cache pas son mépris, non qu’elle n’apprécie pas les romans gothiques, mais elle trouve la quasi-fantaisie de Radcliffe incomparable au réalisme tragique d’Hardy. L’on est néanmoins rarement objectif avec ses romans préférés. « I simply think Hardy’s writing style is pretentious at best and the story in Tess, quite frankly pathetic. » argue-t-il le plus calmement du monde. Les poings sur les hanches, elle secoue la tête devant l’imbécile. « Of course her life is pathetic! That’s the point of it all, how miserable and pathetic and unfair her life has been is a testament to the ridicule of victorian moralities. » Elle ne le convainc pas bien sûr et le ton est si vite monté qu’on les fait taire assez rapidement, pas avant néanmoins que les lèvres du jeune homme ne s’étirent d’un mince sourire devant la passion de l’adolescente. Le lendemain quand elle revient pour sortir le livre de sa prison et se délecter d’une énième relecture, elle trouve un petit mot caché dans la couverture: пыта́йся Вдали от обезумевшей толпы (essaye Loin de la foule déchaînée). Lazar il s’appelle. Un joli prénom lui a-t-elle répondu quand enfin il s’est présenté. Lazar, juste Lazar, de la même façon qu’elle n’est qu’Elif. Elle a du mentir bien sûr, non pas sur ses origines ethniques, son accent danois la trahissant à chaque mot, mais sur son sang sorcier. Elle a le plus simplement du monde avoué être une sang-pur, désargentée évidemment, son mensonge ne pouvant autrement pas tenir la route. Mais il fallait dire surtout, que mis à part quelques anecdotes vites transformées, révélées au détour d’une conversation, son passé resta sous silence, tout comme celui de Lazar en somme. S’il ne manqua pas de lui raconter quelques souvenirs de son enfance, il ne lui donna jamais aucune raison de croire qu’il était autre chose qu’un riche sang-pur comme un autre. L’amitié fleurit et les regrets avec: Lazar n’était-il pas capable d’accepter la vérité, elle pouvait tout lui révéler il ne fuirait pas, elle en était certaine. Pourtant elle s’enfonça plus encore dans les mensonges, refusant constamment d’être présentée à sa famille, craignant d’être découverte à tout moment. Elle se cru sauve finalement, quand après avoir effectuée sa dernière journée de travail avec la marmaille sang-pur elle revint fouler les dalles de la bibliothèque, une dernière fois avant son entrée à Durmstrang. Elle touchait le rêve du bout des doigts. Son sourire à l’idée de retrouver Lazar mourut sur ses lèvres rosées et avec, son excitation à l’idée de ce qui devait se produire le lendemain. Elle ressentit le coup d’abord, entendit les injures après, parvenant à peine à comprendre ce qui lui était reproché. Un vol, sans aucun doute, injustifié certainement, une simple raison pour sa prétendue maîtresse de ne pas la payer ou une dernière mesquinerie de ses collègues servantes. Une larme coule acide sur sa joue après son réveil à l’hôpital, seule. Il était là pour voir sa déchéance, pour voir la vérité éclater dans la violence. Un dernier geste affectueux pour elle, alors qu’il la dépose à l’hôpital. Elle n’ose rien dire sur le trajet, elle ne sait pas quoi dire. Ses assaillants l’ont mis en rage et elle ne veut pas s’excuser pour ce qu’elle est. Elle sait pourtant qu’elle a eu tord de mentir, elle sait aussi qu’il est trop tard. Elle se frotte les yeux et pose la tête sur l’oreiller tentant de chasser de son esprit les souvenirs de l’affrontement, et de ce qu’à terre elle avait repéré du coin de l’œil, l’éclat rouge de roses qu’elle ne sentira jamais. Elle clôt les paupières pour s’empêcher de pleurer, elle pense au lendemain, elle pense à Durmstrang qu’elle va devoir affronter seule. « No, I’m sorry but Angel is a hypocrite and Tess is a fool. » « Excuse you, but Tess is the archetype of pure innocence corrupted, she isn’t a fool she’s simply a little naive and extremely unlucky. » C'est elle l'idiote et lui l'hypocrite, aussi menteur qu'elle, le prince Lazar II Ivanov de Bulgarie. ~ « Is something wrong, Elif? » La jeune femme détourne le regard de la fenêtre et ses doigts rattrapent sa plume. Il est trop tard néanmoins pour se remettre au travail, son maître de stage est déjà debout face à elle, arquant un sourcil devant son étourdissement. « Sorry. » grimace-t-elle. Ce n’est pas dans ses habitudes de rêvasser. Elle a eu beaucoup de chance de trouver une telle position et ne souhaite pas gâcher l’opportunité qu’on lui a donné. Mais parfois, elle regrette de ne pas avoir été orientée à Feuer. Ce qui est enseigné dans cette filière a en effet plus de chance de lui être utile dans ses desseins de rebelle. Ce qu’elle apprend-là, peut lui être utile pour sa carrière, pour ses ambitions personnelles. À voir ce qu’elle chérit le plus. Le professeur secoue la tête et s’installe en face d’elle. « Is everything okay at the Institute? » elle hoche la tête immédiatement. Elle comprend le sous-entendu, elle le lit dans le yeux inquiets du sorcier. Comment elle, l a Mêlée, vit-elle Durmstrang ? Elle ne peut répondre autre chose que ‘bien’. D’abord parce qu’elle ignore tout des opinions de son maître de stage et qu’elle sait qu’elle ne pourrait se permettre de se plaindre devant un partisan du Tsar: elle est censée être extrêmement honorée d’avoir le droit d’étudier, demander plus serait sacrilège. Mais aussi, parce qu'au fond, elle ne se plaint pas. Elle peut en toute sincérité répondre que tout va bien pour elle à l'Institut. Parce que malgré les persécutions qui persistent contre les sorciers de son espèce, de sa sous-espère pourrait-elle dire, elle s’y sent bien. Elle s’est habituée aux insultes, habituée à la tyrannie de certains, de certaines, puisqu’elle a appris de première main que les femmes sont souvent les pires. Et parce qu’elle n’a jamais rien pris personnellement et que tout cela ne fait que nourrir la flamme de la résistance qui brûle en elle. Elle sourit presque quand on l’insulte, se délecte à l’avance de la vengeance qu’elle leur fera payer un jour. Sa situation n’est pas pire que d’autres, elle ne semble parfois même pas égale, à croire presque que quelqu’un agit dans l’ombre et que tous ses bourreaux, après s’en être pris à elle une fois la laisse tranquille. En rejoignant les corbeaux, elle s’est d’ailleurs débarrassée de beaucoup de ces petits ennuis quotidiens, son appartenance à l’ordre repoussant en effet les moins courageux de ses détracteurs. Ça ne marche pas pour tous, par pour la guerrière viking qui l’a prise en grippe dès le premier jour et à laquelle elle voue une haine et un mépris sans relâche. Elle continue de provoquer pourtant, en refusant de baisser la tête, de laisser tomber son regard, d'arrêter de sourire. Et puis, ce qui à bien des égards est le plus important, elle adore les cours. Elle adore apprendre et surtout, voir son travail acharné payer et la faire briller plus que certains sang-purs, elle adore arracher ces sourires arrogants de leurs visages en brandissant ses notes. Et si elle regrette parfois le choix de spécialisation que l’on a fait pour elle, elle sait également y voir la reconnaissance de ses aptitudes. « Everything’s great, I’m sorry, I'm just a little tired. I’ll dive right back into it. » sourit-elle et n’attendant pas un instant pour s’exécuter et se replonger dans son travail de recherche. Elle n’en fera sûrement jamais rien, ne deviendra jamais professeur car, quand bien même le souhaiterait-elle, personne ne l’engagerait et elle ne le souhaite de toute façon pas, probablement destinée à rejoindre la rébellion à plein temps dès l’obtention de son diplôme. Si tant est qu’on lui trouve un intérêt quelconque. ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | membre du mois Hiboux : 200 Avatar : jessica parker-kennedy Double Compte : la maîtresse des potions (sofiya) Crédits : queen ivana (av) ; myself (signa) ; tumblr (gifs) ; vivi la déesse (bannières) Âge : vingt-sept années que sa beauté a tout ravagé, dévasté. vingt-sept années que la poupée métissée ne cesse de lutter. Nature du sang : la pureté souillée, la fierté échouée, elle ne sait pas, elle ne sait plus quand elle a été déchue. Statut civil : la princesse a été convoitée, elle a été fiancée. on a donné sa main au plus offrant. mais il ne s'agit plus que d'un songe dans l'atmosphère, un murmure dans l'univers. la poupée est délaissée, abandonnée, pantin de tout le monde et de personne Patronus : le filament argenté a doucement pris la forme d'un scorpion. symbole de ses origines et d'un caractère explosif. Amortentia : une délicate odeur de cannelle mélangée à une pointe de pamplemousse. une effluve de vanille légèrement sucrée s'y est ajoutée, mais la poupée l'ignore encore. | | | | bitch queen Hiboux : 388 Avatar : lily james, la déesse. Double Compte : leonid et torvald les bgs. Crédits : -av/@tellers. -gif/tumblr (signa) et ivana d'amûr (profil) Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée. Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang. Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas. Patronus : lol | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 1:42 | |
| Mêlée, même âge, même maison, révolution, je crois qu'un lien s'impose. bienvenue et bon courage pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas. |
| | | i am a new member Hiboux : 12 Avatar : Jack Falahee Crédits : angel dust Âge : 24 ans Nature du sang : pur Statut civil : célibataire | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 8:20 | |
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| | | bitch princess Hiboux : 952 Avatar : kristen stewart. Double Compte : runa vasara. Crédits : avatar ©myself ○ gif from chrisevams (tumblr) ○ sign made by vivi la gueuse ○ lyrics by halsey. Âge : vingt cinq ans. Nature du sang : le sang qui coule dans ses veines est vu comme honteux et quelque chose qu'il faut caché sous peine de voir sa liberté s'envoler. Statut civil : son coeur a battu pendant de longues années au même rythme que celui de son maitre, aujourd'hui, il essaie de trouver sa propre mélodie, partagé entre deux nobles au sang pur. Patronus : un renard polaire, un animal fugace et impossible à attraper. Amortentia : l'étrange odeur de la poudre, du lilas, de la foret et de la mer. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 10:28 | |
| Bienvenue sur le forum. |
| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 14:57 | |
| Merci à vous pour cet accueil Hedvig, ça sera avec plaisir pour le lien amore, toi et tes idées parfaites auront ma peau un jour |
| | | maison de sigyn Hiboux : 404 Avatar : poppy drayton. Crédits : redwyne aka ivana la blg (avatar) & (gif de profil), brynhildr aka inka le kk (bannière). Âge : vingt-trois années, années qui ne lui appartiennent pas, plus. Nature du sang : un sang impur, un sang rejeté. il est mêlé, il est rouge et il lui est indispensable. hedda le hait, persuadée qu'il s'agit de la raison de sa condition. Statut civil : célibataire, fidèle à yador pour toujours et à jamais. infiniment sienne, désespérément seule. Patronus : un cygne, il est blanc et majestueux, aussi pur qu'hedda. Amortentia : une odeur de rhum mélangée à celle du bois, le parfum de yagor enivre ses narines. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 15:38 | |
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| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Sam 12 Mar - 16:50 | |
| bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche |
| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | | | | i take my decisions Hiboux : 40 Avatar : teresa palmer. Crédits : amortentia Âge : TRENTE-CINQ ANS. ≡ il y a un temps pour tout, un temps de pleurer, un temps de rire, un temps à se lamenter et un temps de danser. Nature du sang : SANG-MÊLÉ. ≡ ni moldu, ni sorcier ; le meilleur ou le pire des deux : une chose non identifiée. Statut civil : CÉLIBATAIRE. ≡ elle est condamnée à passer le restant de ses jours seule, ce n'est pas l'amour qui l'anime mais bien la vengeance. | | | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Dim 13 Mar - 16:43 | |
| merci beaucoup |
| | | bitch queen Hiboux : 312 Avatar : nina constantinova dobreva. Double Compte : vysenia, the commander of death et zorah, the volcanoe. Crédits : @wildworld, (ava)+ elenagilbertsdaily, (gif) Âge : twenty-three yo. Nature du sang : high-born. (pureblood) Statut civil : provocante, séductrice et fatale. la jeune fille a cherché durant quatre ans à ne pas être fiancée. aujourd'hui, après ses blessures, après être passée si proche de la mort, elle accepte. elle le sait, elle sera fiancée. et elle s'en fiche en vérité, elle aimerait juste que ce soit un mariage d'amour, plutôt qu'un mariage arrangé. Patronus : lionne, fière et dangereuse. Amortentia : elle n'en a jamais respiré les effluves, de ce fait, elle n'en sait absolument rien. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Dim 13 Mar - 17:23 | |
| je suis tellement choqué de voir vanessa, autant sur un rpg que sur un hp. ça fait longtemps, mais j'aime l'effet que ça fait. elle est parfaite. bienvenue et bon courage pour ta fiche. |
| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | | | | maison de baldr Hiboux : 45 Avatar : douglas booth Crédits : iron Âge : un quart de siècle à vagabonder ici et là, cherchant encore et toujours à venger les siens. telle est sa quête Nature du sang : pureté conservée, sûrement tout ce qui reste d'immaculé chez les meerendorf. ce liquide rougeâtre qui au fond ne change rien Statut civil : enchaîné à sa vengeance, elle réclame alliance alors pour la satisfaire, tu t'es fiancé par intérêt. Patronus : un turul, magestueux et à la fois inquiétant, cherchant la liberté sans jamais y goûter. Amortentia : l'odeur du feu de bois de la cheminée de la demeure familiale, la cannelle et ce parfum d'un amour passé. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Dim 13 Mar - 20:15 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Dim 13 Mar - 20:41 | |
| bienvenue! bonne chance pour ta fichette! |
| | | Invité | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Dim 13 Mar - 21:54 | |
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| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Dim 13 Mar - 23:08 | |
| merci beaucoup à vous trois pour l'accueil dimitri, ravie de faire une heureuse avec vanessa kristian, merci pour les compliments ( & mathias ) |
| | | maison de skadi Hiboux : 37 Avatar : gigi hadid. Crédits : jukebox joints (av). Âge : vingt-cinq années. elle ne plie pas marble, elle se tient là, plus grande que jamais. parce que son âme n'est pas écorchée par le temps, vivace gamine défiant chronos. Nature du sang : pur. une immaculée. poupée jamais souillée. Statut civil : elle n'a pas cette liberté, marble. celle du choix lui est défendue, alors on laisse les grands juger pour elle, de ces alliances qui se scellent en baisers et héritiers. Patronus : une panthère, aussi sombre que les desseins de la belle. elle a mis du temps à l'invoquer marble, le félin était bien trop malin pour se laisser apprivoiser trop vite, ne laissant qu'un fil argenté comme seule trace de son passage éphémère. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Lun 14 Mar - 0:44 | |
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| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Lun 14 Mar - 0:59 | |
| c'est toi la vilaine gueuse ( ) |
| | | maison de frigg Hiboux : 91 Avatar : Astrid Berges-Frisbey Crédits : © glass skin (ava) + blasphemy (sign) Âge : Vingt-quatre ans. Nature du sang : Sang pure qui ne veut pas dire grand chose pour elle puisque l'on soit sang-pur ou mêlé, nous sommes humains. Statut civil : Fiancée à quelqu'un dont elle ignore l'identité. Patronus : un panda roux. Amortentia : une odeur musquée mélangée à celles d'herbes sauvages. Localisation : entre les murs de Durmstrang. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Mar 15 Mar - 19:30 | |
| bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Mar 15 Mar - 20:11 | |
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| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Mer 16 Mar - 0:09 | |
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| | | bitch princess Hiboux : 952 Avatar : kristen stewart. Double Compte : runa vasara. Crédits : avatar ©myself ○ gif from chrisevams (tumblr) ○ sign made by vivi la gueuse ○ lyrics by halsey. Âge : vingt cinq ans. Nature du sang : le sang qui coule dans ses veines est vu comme honteux et quelque chose qu'il faut caché sous peine de voir sa liberté s'envoler. Statut civil : son coeur a battu pendant de longues années au même rythme que celui de son maitre, aujourd'hui, il essaie de trouver sa propre mélodie, partagé entre deux nobles au sang pur. Patronus : un renard polaire, un animal fugace et impossible à attraper. Amortentia : l'étrange odeur de la poudre, du lilas, de la foret et de la mer. | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) Lun 21 Mar - 12:18 | |
| Le délai pour ta fiche de présentation touche à sa fin, si tu souhaites un délai n'hésites pas à le demander. |
| | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : hudgens. Crédits : nenes. Âge : vingt-quatre ans Nature du sang : souillure infinie, aucun de ses ascendants n'a jamais su goûter au luxe du sang éthéré, elle est mêlée de par son père comme de par sa mère. Statut civil : cœur esseulé. Patronus : un fier cerf élaphe. | | | | | Sujet: Re: the violence in the pouring rain (elif) | |
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