|
| it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. | |
| Auteur | Message |
---|
Invité | Sujet: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 2:28 | |
| helena svendsenthe devil doesn't come dressed in a red cape and pointy horns. he comes as everything you've ever wished for. carte de sorcier nom, prénoms : avant d'être helena, ses parents hésitèrent avec hel - la déesse nordique des morts. parfois d'une beauté inhumaine, et toujours d'une douceur morbide, la déesse a longtemps été figure de justesse avant de tomber en disgrâce. le surnom reste accroché amèrement sur ses lèvres alors qu'elle aperçoit les vestiges de ce prestige sur son visage. puis c'est helena svendsen. patronyme connu et aisément associé à la noblesse et à la puissance. elle y voit là une part de sa plus grande fierté que d'en refluer les rangs, quoi qu'un peu défaite de la pression que cela inflige. hel-ena, susurré en deux fois, claquement de langue sur son palais, nul doute qu'elle adore ce prénom et ne peut que succomber dès lors qu'elle l'entend chuchoté correctement. enfin, c'est ce qu'elle en dit à ses pairs et cache bien trop souvent la vérité pour que quiconque lui fasse naïvement confiance. âge : vingt-trois années terribles qui ne semblent pas peser sur ses traits. elle tient la jeunesse entre ses doigts, et ne la laisse glisser sous aucun prétexte. il semble que la beauté soit un atout dans le monde des capes et des sourires futiles alors elle s'en pare comme d'une arme. nul doute qu'elle fait terrifiante guerrière, avec ses vingt-trois bougies, mais elle les brandit bien haut dans l'espoir, un jour peut-être, d'allumer un brasier avec. date, lieu de naissance : la sorcière est née durant un froid vingt-deux décembre et a obligé à sa mère à travailler pendant des heures avant de l'expulser, harassée, dans la demeure familiale. ce fameux anniversaire flotte rarement dans les esprits puisque helena se garde bien d'en parler. sa naissance n'a rien d'un événement, et toute l'effusion d'affection qui suit souvent l'agace au plus haut point. malgré tout, quand sa petite soeur s'approche avec un mot doux ce jour précis, son coeur se réchauffe pour quelques minutes. ça fait passer l'horrible mal de tête qui suit quand ses amies pensent à bien en l'entraînant dans une infernale aventure ponctuée de compliments, de cadeaux et autres bêtises. origines : sa famille possède des origines danoises qu'elle ne caresse qu'à peine, bien ancrée dans la culture où sa famille s'est établie. elle garde cependant une affection certaine pour cette partie de son patrimoine qu'elle admire et dont elle s'informe de loin. nature du sang : le sang pur qui exalte les mœurs et fait courber les échines - un sang qu'elle se met à questionner du bout des lèvres, incertaine. il est d'un immaculé transcendant qu'elle s'amuse à retracer sur ses veines, d'un immaculé absurde qu'elle ne comprend pas quand la plainte insidieuse d'un sang-mêlé lui parvient aux oreilles. ils souffrent si fort et si longtemps, s’essoufflent sous l'injustice à chaque pas. et elle ne peut être sourde à leurs prières silencieuses, elle qui fait tant pour cacher son cœur saignant. immaculé, immaculé, à quoi bon si le royaume tombe à ses pieds, pleurnichant des lois vaines. les sang-mêlés se pressent pour l'éducation mais l'esclavage n'a jamais cessé - la révolution est aux portes de l'empire mais les sang-purs ne veulent rien lâcher. à quoi bon, alors, s'extasier d'un sang qui va couler? statut civil : on ne compte pas un cœur dans les possessions de la sorcière. appelée communément sirène à l'intérieur de l'institut, on la reconnaît aisément à ses yeux perçants et sa voix acérée. ses mensonges font tomber les plus imprudents et font sombrer les plus puissants. elle a la voix suave des divinités et mène vers les abîmes quiconque tentant de l'arrêter dans son doux cheminement. en d'autres termes, c'est une âme abîmée qui ne ne lasse jamais d'en briser d'autres pour maintenir l'équilibre, une combattante qui abat sa propre épée avec un sérieux à toute épreuve. les sentiments sont futiles et malléables, elle en joue du bout ses doigts à foison, et les exècre. profession : élève à l'institut, et sans rêves d'avenir. ses seules fantaisies se trouvent dans ses chaussons de danse d'un rose délavé, mais ses parents lui ont aisément faits comprendre que ce n'était pas un plan pour le futur. depuis, elle erre un peu sans but, dans l'espoir futile que le monde explose avant qu'elle n'ait à choisir une voie. les décisions n'ont jamais été son fort et ne le sont toujours pas, puisqu'elle évite au possible tous ces questionnements sur demain. années d'étude : entrée en septième année, elle arrive aux termes de son éducation et s'apprête à faire un saut dans le grand, terrible et effrayant monde. ces sept années n'ont pas été les plus terribles de sa vie mais n'ont pas été les meilleures, et elle en garde un souvenir mitigé. d'abord les cent maux de tête qui ont caractérisé chaque mois de ce laps de temps, puis les mille soupirs s'extirpant de ses lippes à la vue d'un visage hautain ou d'un couple camouflé derrière un rideau. il n'y a de plus terrible, se souvient-elle, que les affres de l'adolescence et le début de la vie adulte. ainsi s'apprête-t-elle à s'en séparer, à demi-nostalgique et peu prête à vivre une vie réelle rythmée par l'argent et les rumeurs. spécialisation : là encore, hel n'est pas là où on l'attend le plus; avant sa spécialisation, tout le monde aurait parié que l'enfant se tournerait vers les sciences et la magie, ainsi voyait-on son avenir tout tracé dans la filière luft. pourtant, elle a passé avec brio chaque obstacle sur son chemin pour intégrer feuer, choix qu'elle n'a jamais refusé. la sorcière a besoin de discipline et de défis pour ne pas s'ennuyer, et la rigueur semble être son second prénom. elle a fait son chemin dans la filière du feu et de la force, et s'y est faite une place, quoi que furent les expectations de sa famille au commencement. don : les sentiments clairs et inattendus qu'elle perçoit comme mille soupirs. don mystifié, parfois insoupçonné, étonnamment bruyant, elle le porte comme une malédiction. son dos se courbe à la moindre colère et l'amour lui broie les idées. elle a tant de mal à le contrôler qu'elle l'enfuit derrière des fondations, des maisons, des immeubles, des châteaux, des pays, des mondes, parfois même des univers pour être sûre que jamais il ne la fasse trembler. pourtant plus l'émotion est forte et plus elle vacille sous l'ouragan, non préparée à l'épreuve qui l'attend. maison : skadi, déesse de la chasse, a accueilli l'enfant en son sein pour son sérieux et sa détermination. si sa bravoure lui fait parfois défaut, c'est plus parce qu'elle l'éteint que parce qu'elle n'en possède pas. son insolence reste un mystère pour ses pairs qui tentent de ne pas s'y frotter, tandis que son obstination s'interdit de quitter le bateau, comme accroché à la sorcière. si la répartition a étonné sa famille qui connaissait l'enfant comme une môme silencieuse et froide, sa façon de gérer les actions durant l'épreuve a eu raison des spéculations et personne n'a hésité quant à son cheminement. baguette : l'enfant a mis du temps avant de trouver sa baguette : peut-être trop occupée à brouiller sa nature profonde, elle n'a pas compris qu'elle brouillait aussi toutes les pistes qu'on lui donnait. baguette après baguette, défaite, elle a bien cru pendant un instant que jamais elle ne trouverait chaussure à son pied. elle a senti ses épaules retomber bien bas et son regard se détourner cent fois de la baguette qu'elle testait, jusqu'à ce que le picotement dans son bras devienne brasier dans son estomac, et que le seul sentiment qu'enfin enfin, elle tenait la bonne ne lui tiraille la poitrine. l'heureuse élue est d'une rapidité et d'une finesse à toute épreuve, faite en bois de chêne blanc et avec une plume d'oiseau de feu comme coeur, mesurant trente centimètres. bien que capricieuse, l'insolence de sa baguette a aussi fait sa plus grande forte dans bon nombre de situations. patronus : le coyote est le maître des illusions ; les masques, c'est son domaine et il les collectionne avec une facilité frôlant le ridicule. le coyote est celui qui tombe souvent dans un piège ; chaque mine semble être mise sous son pied et il s'y dépose avec grâce, sans se douter des dégâts de l'explosion. mais le coyote, avant tout, c'est celui qui survit. qui trouvera toujours le moyen de quitter la tombe pour régner parmi les vivants. epouvantard : les sentiments brûlants et mordants sous sa peau, la douleur plus forte encore que le soleil sous ses doigts. les hurlements qui joignent les soupirs de son esprit, l’effarement dans son regard clairs tandis que l'être cher tombe à genoux sur le sol, vaincu. la personne n'a pas de visage, aucune identité. mais elle sent qu'elle e décompose à la seconde où l'entité tombe. et elle s'effondre, avalée par la souffrance et la colère et la peur, avalée par ces choses qu'elle n'a jamais cessé de fuir. amortentia : une odeur délicate de muguet faisant penser à une femme. un brin d'alcool amenant à un homme. et entre les deux, encore plusieurs ingrédients dont elle ne saurait donner la provenance : peut-être un zeste de citron avalant l'odeur du linge propre, avec une pincée de cannelle. un amortentia mystérieux dont la provenance lui est inconnue. groupe : écrire ici. |
salveo maleficialumos maximahominum revelio salveo maleficia. quel est votre avis sur le tsar ?hochement de tête entendu, signe qu'elle a entendu et assimilé la question. sa réponse, annoncée d'une voix suave et entraînante, ne met pas longtemps à arriver. une justesse mécanique saupoudrée d'une interrogation insoupçonnée. un homme grand, puissant, avec entre ses mains le pouvoir d'en agenouiller plus d'un. le maître de tous pour l'instant, et celui qui dirige les armées. les svendsen sont amis, le mot la fait sourire doucement, peut-être grincer des dents tant il l'amuse. et alliées avec la famille du tsar et font partis de sa cour. ainsi, ils sont avec lui et lui tiendront la lanterne tant qu'il tiendra sur ses pieds. mais s'il flanche, alors soyez sûr que les svendsen seront prêts à prendre la suite pour un nouvel empire. plus beau, plus grand, plus brillant. et elle achève son monologue d'un nouveau sourire, acide. convaincue? personne ne saurait le dire. que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ?elle ne flanche pas mais la flamme dans son regard clair vacille. elle cligne des yeux puis répond. rien du tout. s'ils peuvent utiliser la magie, alors autant leur en apprendre les bases pour ne pas qu'ils éliminent accidentellement la moitié de notre population. ces monstres, là encore le mot grince sous la faible conviction, doivent apprendre à ranger les griffes, et durmstrang est parfait pour cela. c'est un moyen de les garder en laisse, après tout, non? difficile d'apercevoir entre les lignes le doute persistant de la sorcière qui n'est plus persuadée de rien. que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ?au moins, ils sont à leur place. elle répond du tac au tac, comme un soldat le ferait. elle connait son texte et n'a aucun mal à le recracher par coeur. ils sont nourris, logés et traités comme ils le méritent. de plus, c'est un honneur de servir les purs, ils devraient remercier leurs maîtres au lieu d'organiser une révolution. mais là encore, le coeur n'y est pas. elle a entendu la douleur des esclaves, la demande plaintive cachée sous une souffrance acide. elle a du mal à croire que ce soit la place d'un homme, et ne sait plus que penser. alors elle répète inlassablement ce qu'on lui a appris. quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ?vaine entreprise pour arrêter la suprématie du sang. on ne stoppe pas l'esclavage par une guerre, et c'est pourtant ce qui va arriver. elle soupire, se masse la nuque puis reprend. ils vont perdre, les purs les mettront en pièce et tout ce pour quoi ils se sont battus va mourir dans les flammes de la colère des purs. il n'y a pas plus d'espoir pour cette révolution qu'il n'y en a pour l'évolution de la société. et pour la première fois, ce n'est que la vérité, amère et dure qu'elle murmure. sirène. la voix suave et indisciplinée de ceux qui savent chanter, elle enchante les oreilles et joue des intonations. chaque murmure est un délice qui fait trembler, une drogue que l'on ne cesse de quémander. elle l'use avec parcimonie, comme défaite de ce pouvoir qui loge dans sa gorge et s'y cache, comme harassée d'avance de devoir hurler pour se faire comprendre. helena dessine les mots du bout des lèvres, comme trop paresseuse pour les dire à voix haute. elle les susurre avec envie et on reste pendu à ses lippes rosées qui chantonne un air oublié. magie. la baguette qui s'agite et qui refuse le sort, le juron qui s'extirpe de ses lèvres presque immédiatement après le sortilège avorté. ses résultats à l'école en reste au minimum demandé ses parents - un semblant de réussite pour le reste de la populace. elle aimerait plus mais ne cherche pas à l'atteindre, le caresse du bout des doigts sans l'attraper, se reposant sur l'insolence et la rapidité de sa baguette pour la sauver. cela ajouté à son caractère solitaire et son humour grinçant, personne n'ose demander pourquoi elle n'aura jamais sa place parmi les dragons. passion. la ballerine qui tourne sans s'arrêter, comme un tourniquet fou, une machine infernale. la grâce aérienne et la précision funeste, le coup du pied volontiers et la douceur amère, tout cela combiné dans une helena flamboyante. cela a toujours été sa grande passion et son grand talent, mais ses parents n'y ont jamais vu là un métier d'avenir, une branche acceptable pour une femme de son rang. un hobby, tout au plus. elle n'a cessé d'hocher la tête à chaque refus, cachant ses chaussons et ne tournoyant plus que dans sa cage dorée, enfermée. musique. les notes fêlées qui s'accrochent au coeur mécanique, les boulons qui sautent au moindre chamboulement du rythme instauré. l'impression de se fondre dans un autre espace temps sous la douceur d'une mélodie d'antan. helena pourrait se cacher pendant des heures sur les hauteurs, se camoufler des gens et de la vie, regarder les heures s'écouler platement tandis que la musique résonne autour d'elle et l'enveloppe d'une chaleur protectrice. un moyen de l'échapper parmi tant d'autres. adrénaline. la puissance qui coule dans les veines comme un élixir délirant, ne rien contrôler et se laisser porter par le vent. travailler chaque muscle de son corps et en oublier sa tête. toute sa vie, elle a combattu, et elle en garde ces réflexes : se concentrer sur l'action, rester sérieuse quoi qu'obstinée, téméraire mais courageuse. et les coups partent, les coups tombent. parfois c'est une course et parfois c'est de l'apnée: dans les deux cas, l'adrénaline lui donne des ailes et elle parvient à voler. empathie. nuages noirs au creux de son esprit. enfermés dans des murs blancs, des murs noirs, des murs en titane puis en plomb. des murs emplis de maléfices. don maudit qu'elle regarde d'un oeil sombre, qu'elle admire au loin mais dont elle refuse l'accès. malédiction vaine qu'elle n'a jamais cessée de repousser. sentiments contradictoires qui l'assaillent, et parfois l'impossibilité de les démêler. suis-je amoureuse, suis-je énervée? elle expérimente tout à la fois et d'une certaine façon, elle ne connait rien de plus que les ombres derrière un vitre sombre. elle ne se laisse pas le plaisir de ressentir, et préfère sombrer dans les affres de l'indifférence. combat. les poings saignant plutôt que la baguette brûlante, c'est une enfant sauvage dès lors que sa fierté est menacée. bien plus douée à l'armée blanche qu'avec une baguette, la sorcière n'a jamais ployé sous les moqueries. plus habile et agile de son corps que de ses sorts, elle sait malgré manier le morceau de bois comme tout sang-pur qui se respecte, et n'y est pas mauvaise. elle n'a simplement pas l'étincelle de talent, l'inéluctable brasier s'allumant dès lors qu'elle chuchote une formule. c'est simple, concis, plat et sans saveur. le soldat qui s'exécute. glace. le coeur froid, le désintérêt total. on connait la combine et on la devine erronée, pourtant la môme la joue si bien. helena qui mime courbettes et sourires charmeurs ne s'amuse qu'à amadouer. tous tombent devant les lippes étirées, ou attendent parfois que la voix suave n'ait été dévoilée. et si jamais ils passent ces deux épreuves, alors la sirène déploie sa dernière arme et se joue de sa malédiction comme d'une épée pour les mener vers les tréfonds. il n'y, ainsi, rien de plus terrible qu'une svendsen agacée. elle se moque de tout et surtout de rien : d'un sérieux terrifiant puis d'un humour grinçant, d'un sarcasme désopilant puis d'un premier degré agaçant, la sorcière est un paradoxe que l'on observe de loin et que l'on ne s'avise pas d'approcher : bien qu'elle ne morde pas longtemps - elle se lasse vite, l'enfant - il semblerait qu'elle le fasse profondément jusqu'à sentir le sang contre ses dents. famille. un mot, un seul, qui semble régir sa vie et son existence toute entière. des êtres qu'elle ne comprend pas toujours, qu'elle n'accepte pas totalement, mais pour qui elle donnerait sa vie sans concession. sa loyauté pour son nom n'a de limite que la trahison et même là, elle ne saurait dire si cela achèverait réellement l'amour profond qu'elle leur réserve. la question reste en suspens et parfois se demande-t-elle si ce serait le cas pour eux : s'ils l'aimeraient encore après avoir appris que l'autre côté de la barrière lui semble bien plus juste. étant donné l'éclat que cela a produit sur sa relation avec zaara, elle devine facilement que ce n'est pas le cas. que là encore sa solitude est sa seule loi, et que si elle sombre, ils ne l'y accompagneront pas. l'idée de voir son prénom oublié de l'arbre généalogique la fait trembler, et la possibilité même d'abandonner sa soeur la fait reculer de trois pas. colère. l'impression de n'avoir que cela : des échappatoires. des moyens acides puis amères de fuir cette réalité désastreuse et pathétique qu'elle déteste avec la force de cent armées. des moyens désagréables et futiles de fermer les yeux sur cette existence qu'elle mène et qu'elle voit mener autour d'elle. des visages fatigués et tristes qui continuent de se battre tandis qu'elle est simplement harassée de penser. l'impression de ne rien faire, puis de ne pas en faire assez. d'être une mauvaise soeur, une mauvaise fille, une mauvaise amie tandis que la simple idée d'aider les impurs lui frôle l'esprit. la colère, sombre, tourmentée, qui lui agrippe le coeur à chaque fois qu'elle pense choisir un côté. puis la déception grandissante de se voir stagner. hominum revelio. l'espoir est un vilain mot qui ne peut stagner sur les lèvres trop longtemps. pourtant elle prie, elle prie chaque dieu qu'elle connaît, chaque dieu qui l'écoute, qu'ils arrêtent la mascarade. elle ne demande jamais aux divinités de s'abaisser sur leurs misérables cas mais pour la première fois de son existence elle sent ses genoux faiblir et son coeur battre horriblement fort dans la poitrine. la terreur lui noue les entrailles si fort qu'elle a l'impression d'étouffer, de vaciller. la douleur qui lui hurle à l'oreille que c'est terminé, qu'elle ne peut plus avancer, l'hideuse amie penchée sur son épaule qui lui répète qu'il n'y a plus rien à faire, que tout va bien se passer si elle s'allonge sur le sol et si elle oublie. le monde, les autres, elle-même, la douleur. sauf que rien de toute cela n'est à elle. elle n'est ni blessée, ni terrifiée, ni achevée. elle a été griffée par les ronces, a manqué de se faire avaler une fois ou deux et a les poumons en feu mais l'adrénaline qui lui brûle les veines vaut cent fois la douleur occasionnée. chaque pas est méthodique, chaque décision est guidée par son sérieux - et un brin d'insolence étant donné les choix qu'elle fait. non, helena n'est pas en train de mourir sur place, elle adore l'action, et pourrait jouer à cela encore des heures. c'est simplement cet idiot quelques mètres plus loin qui ne cesse de gémir et de pleurer et d'hurler on ne sait quelles infamies. cet imbécile qui continue de survivre poussé par un dernier espoir, un espoir futile auquel il semble être tellement attaché. surement une promesse faite à un proche ou un objectif donné à soi-même, qui sait. l'espoir. elle peut le sentir dans chacun de ses os, comme si c'était le sien et qu'elle le chérissait en son sein. mais ce n'est pas le cas, et elle le vomirait bien volontiers, son espoir doré. alors elle s'avance et elle le cherche. elle sait que c'est une épreuve et qu'elle devrait être plus concernée par trouver la sortie, mais elle veut simplement que l'autre se taise. c'est tellement fort qu'elle ne s'entend plus penser, elle est obligée de passer en mode machine - mode instauré par sa mère lors des entraînements : ses lèvres hurlent les sorts, sa baguette joue le morceau comme elle le ferait devant un orchestre et elle s'avance au milieu du labyrinthe sans foi ni raison, simplement guidée par son instinct. l'envie de vaincre et de réussir est enfouie sous les gémissements bruyants de cet inconnu. elle le traque comme une bête de foire; il doit être proche, puisqu'elle l'entend si fort. surement blessé, étant donné la douleur. prêt à abandonner. le il se transforme en elle, et il lui suffit d'apercevoir la silhouette pour comprendre que c'est bien son bourreau. elle s'avance, ne la détaille pas du regard et jette un sort. un seul. stupefix. le corps reste là, incapable de bouger dans un équilibre précaire. se fait avaler par les buissons alors qu'helena reprend sa course folle dans le labyrinthe. l'inconnue était sur le bon chemin : ce n'est qu'une question de minutes avant qu'elle ne trouve le bon détour pour la sortie et que cette épreuve soit considérée comme réussie. elle ne se sent pas désolée pour l'inconnue, pas plus qu'elle n'aurait aimé faire les choses autrement. l'indifférence reste amère dans sa gorge, comme un cadeau empoisonné. mais c'est de courte durée, puisqu'elle l'oublie. pourtant le goût désopilant d'avoir fait le mauvais choix à un moment de son existence ne quitte pas sa poitrine, titille sa mémoire sans jamais atteindre les prémices de la vérité. elle cherche, fouille, creuse pour trouver le commencement de cette rage contre son don qui ne fait que l'handicaper. pourtant, elle est incapable de se rappeler ce qu'elle a fait. pseudo, prénom : slytherns, eve. je préfère mon prénom au pseudo, don n'hésitez pas à l'utiliser. âge : tout juste quinze ans. (moins d'un mois, mais je suis fière, ok? ) pays : france. avatar : elizabeth olsen. inventé, scénario, prédéfini : inventé, mais elle vient d'une famille prédéfinie. crédits : redyne. commentaire : ce forum, c'est de la bombe. (en d'autres termes, faites-moi de la place que je m'installe. ) ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | Invité | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 2:28 | |
| if we can't bend heaven, we'll raise hellbut darling, what do you do when it's all too real to be so fake? i aim to be lionhearted La bande plate, mince et dure de métal vient la frapper dans les côtes : le tranchant détourné de sa chaire délicate, il n'y a que le choc qui la fait trembler sur ses fondations. Et elle tremble, accuse le coup grâce à ses appuis soigneusement bien placé. La douleur, malgré tout, est cuisante. Pourtant, pas un soupir ni s'extirpe de ses lèvres et aucun gémissement ne fuit son corps. Elle avale la souffrance physique à la manière d'un verre d'alcool - déglutit puis clôt ses paupières avant de retrouver sa place initiale. Une guerrière. C'est l'image qu'elle donne, dans sa tenue en cuir pour accuser les coups et on regard noirâtre, aux teintes condamnant aisément le destinataire. Entre ses doigts féminins, deux longs poignards aux décorations variées - des arabesques et des mots gravés en russe sur les lames, des pommeaux sombres aux dessins dorés. Ces armes, elle les a demandés après avoir achevé son entraînement à l'épée. Bien plus maniables et plus efféminés que la lame, Helena les a toujours plus trouvé à son goût et s'est immédiatement tournés vers eux malgré les objections de ses parents. Elle leur a dit, pourtant, ce n'est pas eux ou le cimeterre, puis je ne demande pas une hache quand même, c'est diversifier le savoir. L'argument les a fait flancher, et la voilà qui s'y entraîne. Ce n'est pas bien différente du sabre, quoi que plus proche de la danse qu'autrefois : l'agilité et la rapidité sont les maîtres mots de la réussite, la précision les talonnant de peu. Elle est Skadi qui chasse, ou encore une de ces vierges guerrières combattant avec toute la grâce divine. Difficile de décider laquelle de ces observations est la plus juste quand Helena tournoie avec une facilité déconcertante. Cela se voit dans les yeux de Zaara : elle ne sait plus bien à quel endroit sa soeur va frapper, qu'importe l'endroit où ses yeux se dirigent. La légèreté des armes lui laisse un champs improbable pour modifier son attaque, et la cadette l'a parfaitement assimilé. Et la sorcière tournoie, se détourne pour revenir à la charge. Bien que sa soeur pare toutes ses offensives, elle est un carrousel infernal qui ne cesse de se réinventer et chaque esquive se solde pas un nouveau coup. Le bruit des métaux qui se touchent résonne autour d'elles, mais personne n'y fait attention. Et elle devine que sa méthode l'agace. Zaara, elle n'est pas de ceux qui défendent. Elle est flamboyante et vindicative, elle veut et ordonne à la manière d'un leader. Cela s'entrevoit dans sa manière de frapper, de combattre; il faut peu de temps encore avant qu'elle ne se trahisse et qu'elle ne tente une attaque périlleuse. Alors que l'épée tranche l'air pour l'atteindre, Helena se détourne : un pied à droite puis un pas à gauche, et elle est dans le dos de sa soeur avec une lame sous sa gorge. « Je suppose qu'il y a égalité. » La voix délicate mais tranchante contre la gorge de la cadette, qui hoche la tête. but my hands still shake and my voice isn't quite loud enough « Non mais tu t'entends parler? » C'est la voix énervée de Zaara qu'elle perçoit, au travers du brouhaha de ses propres pensées qui s'agitent après l'aveu commis. Une voix coupante, froide et impertinente. Elle ne sait pas quel autre adjectif idiot elle peut donner à l'intonation disgracieuse qui danse sur les lèvres de sa sœur avant qu'elle ne l'expulse à la manière d'un juron. Les disputes n'ont jamais donné fière allure à sa cadette, qu'importe le joli minois que lui ait donné la nature. C'est simplement comme cela - rien n'a l'air juste dans l'inclination exacerbée des lèvres de l'enfant, rien n'a l'air réel dans les flammes de pure haine qui dansent dans ses yeux. Un fabuleux rêve, pense-t-elle alors, un rêve sans but et sans fond, un rêve aux détails chimériques et aux visages transparents, un rêve qui au petit matin aura disparu dans les tréfonds de sa mémoire. Mais elle ne rêve pas, et Zaara lève sa main avec une vitesse hallucinante. Le coup résonne dans toute la pièce, peut-être même dans toute la demeure. Il fait trembler chaque os, chaque fibre du corps d'Helena. Elles ont été élevées comme de guerrières, nul doute que la violence soit un moyen typique de montrer le désagrément. Pourtant, elle est secouée, presque choquée. Rien n'arrête la suite des événements. Elle entend le craquement sournois des protections, chaque barrière tombant l'une après l'autre comme des centaines de dominos. Elle sent les murs se fissurer, un par un, avant de tomber en ruines. Elle ne sait pas comment prévenir le coup et comprend qu'elle a royalement compromis ses chances de réussir à rester calme, à rester neutre, à rester indifférente. D'abord, la colère. Hautaine et fabuleuse, elle a caressé le bras de sa sœur pour venir la traverser toute entière comme une onde de choc, insensible aux murs, aux protections et aux prières d'Helena. C'est un sentiment étrange qui semble remuer dans sa poitrine comme un lion en cage. Elle a la subite et soudaine envie d'hurler sur sa sœur qu'elle n'a rien compris, que parfois les gens mentent et que oui, elle se pose des questions. Que oui, aujourd'hui, elle pense par elle-même mais qu'avec tout le bordel qu'elle fait avec ses amours d'adolescente, elle n'arrive même plus à s'entendre. C'est un sentiment qu'elle expérience rarement par elle-même, surement la faute de sa passivité face au monde, et qu'elle a souvent le désagrément de sentir aux travers des autres comme un élixir malveillant la surveillant à chaque pas, menaçant de l'avaler toute entière si jamais elle y goûtait une gorgée. Elle se dit que peut-être, si elle s'énerve, alors elle ne cessera jamais de l'être, et ça, ça la terrifie. Ensuite c'est la haine, camouflée dans son habit sombre au détour d'un regard. Elle l'aperçoit au coin des yeux de sa sœur et elle se demande à quel instant elle s'y est logée, à quel moment propice Zaara a trouvé le moyen de haïr son propre sang. Elles ont toujours eu cette relation forte et fusionnelle, que rien n'a jamais semblé pouvoir briser. Et voilà qu'Helena évoque un doute pour que le tout rende sa cadette rouge de colère et haineuse. A cette seconde précise, la sorcière voudrait simplement détourner ses yeux du spectacle, fermer son esprit et marcher si loin que sa sœur ne serait qu'un vaste souvenir. Elle voudrait que rien de tout cela ne soit vrai car elle ne supporte pas l'idée que sa cadette la haïsse à ce point, et pour si peu. Mais Hel devine, entraperçoit au détour d'une grimace ou d'un regard qu'il n'y a pas que ça. Que peut-être la jalousie dévore l'enfant, qu'un semblant de complexe la prend par la gorge à chaque fois qu'elle la voit. Elle aurait dû le sentir, elle pense, puis elle se souvient qu'elle fait tout pour ne rien ressentir. Alors, elle se dit, c'est sa faute si Zaara est dans cet état. C'est sa faute de penser tout haut, de tout emmagasiner comme des données d'un livre, d'être trop réaliste, trop terre-à-terre, trop décidée à découvrir les moindres failles du système. Peut-être qu'elle cherche une bête là où il n'y en a pas, et qu'elle est à mal l'équilibre établi car elle s'ennuie. Son visage s'abaisse en signe d’abdication, elle baisse les armes et retient les hurlements qui lui déchirent la poitrine. Elle ploie devant la colère de sa sœur à la manière d'une môme, dans l'espoir que cela stoppe la volée de sentiments qui l'assaillent. Mais c'est un monstre gluant qui vient prendre son bras, puis ses jambes, et enfin tout son corps dans une accolade désespérée. « C'est-ça, indigne-toi du sort des esclaves puis baisse les yeux au moindre cri. Tu vas la gagner, ta petite rébellion, si tu te comportes comme ça. » Le dégoût, puis la déception, noués comme deux amants maudits autour de son corps. Impossible de réfléchir correctement et d'aligner deux mots, tant les sentiments sont pressés et dévastateurs contre son crâne. Elle doit fermer les yeux pour les arrêter, serrer les dents pour les faire reculer. Helena se sent comme un soldat assailli par les ennemis, tous plus forts, plus puissants, plus dévastateurs que les précédents. Elle ne sait pas combien de temps toute cette mascarade dure mais elle devine qu'après plusieurs minutes de silence, Zaara a pris la fuite, la laissant seule avec ses démons. On dit que le diable vient en tout ce que l'on a toujours désiré, et Helena se surprend à chercher du plaisir dans ces émotions diverses alors qu'elle se laisse tomber sur le siège le plus proche, exténuée de n'avoir rien fait. Elle n'a jamais ressenti le besoin de posséder un semblant d'âme et pourtant, cela ne l'a jamais desservie dans la vie. Si les gens pleurent, elle détourne les yeux sagement et ils hochent la tête en remerciement. Parce que personne n'aime voir les gens faibles, voir les gens tomber à genoux en hurlant sur le sol parce qu'ils ont des vies minables. Personne n'aime apercevoir le dégoût dans les yeux d'un être cher, ou la colère dans celle d'un membre de sa famille, personne n'aime être assailli par le stress, l'indignation, l'injustice. Tous ces sentiments donnent un foutu mal de crâne. Et elle jure quelques noms d'oiseaux, tentant vainement d'extirper cette foutue colère de sa poitrine, celle qui semble s'agripper à elle comme si elle était purement sienne. Ce n'est qu'une fois que la table a tremblé et que son poing est douloureux qu'elle comprend que, peut-être, cette colère ne lui est pas totalement étrangère. ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | Invité | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 2:29 | |
| et on ne sait jamais. |
| | | membre du mois Hiboux : 742 Avatar : max irons Double Compte : ulrich la vipère Crédits : sweet nothing, the queen bé (avatar) & dailymax (tumblr) Âge : vingt cinq hivers sanglants. Nature du sang : sorcier dont le sang est mêlé, sacrilège pour les tous puissants. Statut civil : coeur de glace, si autrefois, des sentiments commençaient à naître et qu'un feu s'emparer de lui, il n'y a plus rien aujourd'hui. Son esprit est vide et ses sentiments, inexistants. Patronus : son patronus prend la forme d'un tempétueux et indomptable serval. Amortentia : l'odeur de pluie, et de bois mouillé comme de la camomille, un souvenir d'autrefois, un souvenir sous une couche épaisse de brouillard nébuleux. | | | | maison de baldr Hiboux : 167 Avatar : matthew daddario. Double Compte : hedvig la badass, torvald le fragile. Crédits : -av/@Hepburns. Âge : Leonid écume ses vingt-cinq ans, un quart de siècle, on penserait presque qu'il est assez mature pour prendre le trône, malheureusement il ne l'est pas encore et le sera sûrement jamais. Nature du sang : Pur, les Bytchkov est la famille la plus Pure qu'il existe, même si cette question de sang ne l'a jamais réellement intéressé. Statut civil : fiancé à une bien étrange créature, une femme. Patronus : némo. Amortentia : l'odeur de pipi de chat. Localisation : oklm à l'institut. | | | | i take my decisions Hiboux : 587 Avatar : Alicia Vikander Double Compte : Félix le plus beau (Avatar), Tumblr (gifs) Crédits : © WENDERSIENNE Âge : 32 ANS ⌁ L'âge de raison a sonné. Nature du sang : PURE ⌁ Les Lantsov sont enracinés dans ces terres battues par les vents. Statut civil : CÉLIBATAIRE ⌁ Elle s'est laissée deux ans durant lesquelles, elle cesserait de refuser les demandes. Si cela ne fonctionne pas, cas désespérée qu'elle est, elle s'est promise de se lier par le serment de tyr. Patronus : Porte-musc de Sibérie. Amortentia : Sapin, Huile de Lin et Cannelle. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 13:45 | |
| Hey! Jolie choix de vava, courage pour ta fiche. |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 14:14 | |
| |
| | | Invité | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 14:46 | |
| MARINE. en max, je défaille, il te va trop bien. je vais lire ce que tu as déjà écrit sur le monsieur, puis je viens te harceler pour un lien. merci pour tout. manon, ça tombe bien que tu proposes, puisque je veux un lien aussi. comme pour marine, je lis tout et je viens te harceler juste après. merci. johanne, merci beaucoup. ivana (je me permets, j'espère que ça ne dérange pas. ), merci beaucoup, pour tout. puis, pour emilia, surtout ne t'en fais pas. ça m'a un peu embêtée au début, puis j'ai trouvé lizzie, et maintenant je ne veux plus la lâcher donc bon. ps: j'ai vu qu'il y a deux daddario pour le prix d'un, vous avez fait ma journée omg. |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 21:58 | |
| |
| | | maison de loki Hiboux : 311 Avatar : xavier dolan (en réflexion) Crédits : SWAN Âge : vingt-six ans, prêt à entrer dans la vie active... ah non, pardon, prêt à fuir. Nature du sang : pur (déshonoré, traqué, au ban de la société, mais pur) Statut civil : célibataire sur le papier Patronus : une souris, dont il a globalement plutôt honte. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 22:08 | |
| - Citation :
- et elle ne peut être sourde à leurs prières silencieuses, elle qui fait tant pour cacher son cœur saignant.
on va lui faire signer son petit coeur mignon, ô oui |
| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 22:28 | |
| moh eve tu es belle |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 22:34 | |
| popopo, une svendsen avec la tronche de lizzie, je dis oui. il nous faudra sûrement un lien, enfin je sais plus dans quelle branche t'es, faut que je vérifie mais ton début de fiche envoie du pâté. bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite |
| | | maison de sigyn Hiboux : 135 Avatar : holland roden Double Compte : alexa, raafael et ivar Crédits : hepburns (avatar) Âge : vingt-trois années à écumer la terre de ses ancêtres. Nature du sang : mêlé malgré l'ascendance royale. Statut civil : coeur de glace. Patronus : une biche. Amortentia : une odeur de pluie, de parchemin et d'un parfum bien particulier. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Lun 22 Fév - 23:34 | |
| elizabeth et le pseudo bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche |
| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Mar 23 Fév - 20:36 | |
| il me faudrait ton groupe par contre bienvenue sur durmstrangembarquez pour stolytsia et l'institut Félicitations, tu viens d'être validé Tu fais désormais officiellement partie des membres du forum. Avant toute chose, laisse moi te dire quelques mots sur ta fiche : tu as une très jolie plume et j'adore vraiment comment le don impacte la vie d'helena . Maintenant que tu as un joli rang et une couleur sur ton pseudo (si c'est pas la classe ), tu dois remplir les registres pour y inscrire ton personnage. Il faudra tout d'abord vérifier que ton avatar est bel et bien inscrit dans le bottin. Si ce n'est pas le cas, n'hésite pas à contacter un membre du staff qui l'ajoutera le plus vite possible. C'est la même chose si ton personnage a un don. Il est toujours préférable de vérifier que ta place est bien réservée dans l'annexe des mutations magiques. Ensuite, comme tu dois sûrement t'en douter, tu devras recenser ton personnage dans les différents registres du forum. Si ton personnage étudie à Durmstrang, il faudra le signaler dans le registre des élèves. N'oublie pas de recenser son ordre s'il en fait partie. Tu devras aussi veiller à recenser ton patronus afin d'éviter qu'il ne soit pris. Si ton personnage exerce une profession ou qu'il est en stage dans la capitale, n'oublie pas de poster dans le registre des métiers. Et voilà, tu as terminé ! Tu peux désormais aller créer un scénario ou encore un lien préféfini. Tu peux aussi poster une fiche de liens et en demander aux autres membres. Pour finir, n'hésite pas à flooder Nous te souhaitons un très bon jeu sur le forum N'hésite pas à contacter l'équipe administrative si besoin ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | maison de loki Hiboux : 311 Avatar : xavier dolan (en réflexion) Crédits : SWAN Âge : vingt-six ans, prêt à entrer dans la vie active... ah non, pardon, prêt à fuir. Nature du sang : pur (déshonoré, traqué, au ban de la société, mais pur) Statut civil : célibataire sur le papier Patronus : une souris, dont il a globalement plutôt honte. | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Mar 23 Fév - 20:55 | |
| helena qui a fini sa fiche bravissima!t'es la fille de Obert & Algea, ou de Agnar & Tabbita ? Ce rustre de Nikolaj ne me répond pas la bien plus sympathique raya m'a répondu, pardon. |
| | | Invité | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Mar 23 Fév - 21:23 | |
| clara (en phoebe et holland omg ), merci beaucoup pour les compliments et la validation. pour ce qui est du groupe, pardon j'avais complètement oublié. c'est one day more, merci. oh et au passage, helena est une place rajoutée dans la première branche des svendsen, parce qu'il y a eu un petit problème au niveau de la validation de nikolaj etc. (je préfère repréciser, on sait jamais. ) merci beaucoup pour tout, encore. momo, jtm. bé, tu peux parler. ce pseudo puis jenna, combo gagnant. inka, EMMA puis ce pseudo puis ta plume. (pardon, je suis une fan ) première branche, et obligation ou non, je réclame le lien. merci pour tout. artiom, la première branche, cadette de nikolaj. |
| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. Mar 23 Fév - 21:40 | |
| pas de problème pour le groupe et tu es ajoutée à la première branche |
| | | | Sujet: Re: it's so quiet here, and i feel so cold. this house no longer feels like home. | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |