|
| - splendides vengeances - | |
| Auteur | Message |
---|
bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:35 | |
| inka vasarared right hand carte de sorcier nom, prénoms : Vasara résonne la délicatesse d'une discrétion appréciée. Dans l'ombre, ceux qui n'agissent que rarement dans une clarté assumée, ils sont les muets qui s'immiscent dans la communauté magique, ceux qui, guindés après les époques silencieuses, se font une place parmi tous ces autres, ces grands aux influences scandées. Inka, les deux syllabes qui dans l'articulation, fait lever les prunelles dans un intérêt certain. Le prénom donné à la naissance, caractérisé par les caprices d'une mère aux réminiscences d'ancêtres que l'on a tendance à annihiler des histoires. âge : Vingt-quatre ans et la maturité qui a suivi l'éducation. La tête sur les épaules, les pieds qui touchent les dalles de pierres, le menton légèrement surélevé dans la démarche caressant la candeur artificielle. date, lieu de naissance : Le vingt-neuf février résonne dans la nuit le râle d'une mère qui, il y a de cela une vingtaine d'année, met au monde la progéniture. Encore un enfant après les deux aînés, Stolytsia fête l'arrivée de la nouvelle Vasara. origines : Les mélanges des terres, les sols qui se sont liés et déliés, les unions créées puis détruites, renouvelées. Ce sont les racines finlandaises dont s'ornent la lignée, des ascendants qui auparavant, ont foulé les pavés d'une contrée que l'on ne visite qu'à de rares occasions désormais. nature du sang : C'est le d'un carmin qui coule dans les veines que l'on envie, que l'on haït. Pur, il caractérise la hiérarchie d'une société, met en ordre tous et chacun des individus de par leur appartenance ou non aux suprêmes dont elle fait partie. statut civil : Les dés jetés, les paroles prononcées, les promesses dites. Deux généalogies qui prennent des décisions et qui obligent deux êtres à s'unir, à devoir dans un futur pas si lointain, se lier dans une union que ni l'un ni l'autre ne souhaitent. Fiancée, elle reste néanmoins le cœur empoigné par un autre, cet autre au dessein déjà écrit avec celle qui n'est pas elle. profession : Aucune. années d'étude : La huitième année qu'elle entame, la préparation aux examens qui lui ouvriront des portes, des opportunités qu'elle ne peut pas gâcher. Elle ne passera pas à côté de cette éducation, du savoir qu'elle veut mener par le bout des phalanges, qu'elle veut avaler et répandre dans son être, sa conscience qui lui dit de toujours en vouloir plus, plus, plus, l'avidité d'une intelligence à accroître tant qu'elle le peut encore. spécialisation : La magie et l'air, Luft que l'on murmure et qui fascine aussi bien qu'il laisse indifférent. C'est l'envie d'enrichir la communauté des sciences, d'être membre des fortes têtes pensantes. Si beaucoup sont attirés par cette filière grâce aux occasions qu'elle donne dans un marché du travail, elle, c'est l'attrait à la nécromancie qui l'a obligé à se diriger vers ces matières. don : Aucun. Mais elle s'obstine à vouloir se lancer dans la nécromancie. maison : Skadi qui traduit les traits de caractère. L'arrogance dans l'intonation, l'entêtement dans les actions entreprises. Si elle est l'impulsivité même et la définition de la détermination, elle diverge parfois des principales caractéristiques de la maison de par la délicatesse qu'elle manie occasionnellement, par l'indulgence qu'elle se permet d'esquisser et de fondre dans des subtilités. baguette : Trente-et-un centimètres taillés dans un bois de poirier, les on-dits parlent d'une séduction mise en oeuvre, d'une maîtrise de la joliesse. En son sein, la griffe de sirin qui va de paire avec ses ambitions tandis qu'elle est, lors de la prise en main, d'une rapidité monstrueuse et d'une solidité que l'on ne remet pas en question. patronus : La harpie féroce qui déploie ses ailes, qui hurle son cri dans un chuintement que l'on aimerait faire taire. Le bruissement aigu qui paralyse, elle est la personnification de l'Inka, traits pour traits. epouvantard : Sa propre personne, altérée par une personnalité qui n'est pas sienne et qui pourtant, sommeille en son fort intérieur. Elle ne sait pas si elle a peur de ce qu'elle peut devenir, ne sait pas quelle variante de son âme l'effraie le plus. Celle qui la perd dans des ténèbres obsessionnelles ou celle qui l'adoucit considérablement ? amortentia : L'effluve des limbes, la mort et le carmin, la débauche et les chairs, du regret. Un meltingpot des senteurs épouvantables, des péchés qui la constituent, de l'avarice à la luxure, de l'orgueil à la gourmandise. groupe : Castle on a cloud. |
salveo maleficialumos maximahominum revelio salveo maleficia. quel est votre avis sur le tsar ?On l'admire, on y voue un (presque) culte. Le tsar, dans ses paumes le pouvoir qui trône. On ne peut pas le nier, on ne peut pas le renier. On ne peut pas se permettre de hausser le menton devant la prestance, on ne peut pas se mettre à une égalité que l'on n'atteindra jamais même sous les plus capricieuses des déterminations. Le respect est le mot d'ordre, l'adoration qui le suit de près. On courbe l'échine, on obéit, on ne cherche pas à défier l'impossible. L'allégeance à l'Empire, elle ne remet pas en doute le gouvernement qui s'érige sur la communauté sorcière et le bas peuple. Les directives approuvées, on hoche la tête dans l'acquiescement et quand bien même on rebute certaines prises de décision, on tisse le sourire sur les lippes assurées pour montrer la servitude inébranlable. que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ?Inadmissible, dans un premier temps. Mais finalement, utile. Le bas peuple qui peut se défendre, qui peut servir de larbin. Qui peut s'instruire pour ne pas avoir à posséder un incompétent fini en tant que sous-fifre. Ça répugne autant qu'on sent les avantages, aussi minces soient-ils. Tant qu'ils ne sortent pas des sentiers, tant qu'ils ne se rebellent pas contre l'autorité instaurée, la gravité n'est pas soulignée. Mais il y a ces malins, investigateurs et inquisiteurs qui osent lever l'embout de la baguette, qui ose de leurs prunelles déterminées, ancrer le regard dans les suprêmes qui les dominent et qu'ils essaient pourtant de surpasser. On les remet à leur place, quitte à blesser. Mentalement ou physiquement, châtiment qui selon elle, est mérité. que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ?La normalité. Si elle n'a pas besoin d'eux dans le quotidien, ils restent indispensables pour ses expériences. Surtout lui. Son sien, celui que personne ne peut toucher ni même oser regarder. Les autres ne sont que crasses à utiliser, à éliminer sous les sorts et les expériences tordues qu'elle peut imaginer, sous les différentes tortures menées à bien par la simple grâce d'un savoir qu'elle aime étaler. Intéressée par la mort et les limbes, ils sont les cobayes de sortilèges qu'elle essaie d'inventer, de potions et mixtures, herbes et flores qu'elle leur fait ingurgiter. Des hallucinations à s'en rendre livide, des respirations saccadées sous la gestuelle d'une baguette, cette dernière qui sert de scalpel pour voir ce que dissimule les épidermes, les corps s'affaissent et tombent alors que la victoire humecte ses lippes. quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ?Qu'on les massacre. Tous ces mécréants qui de leur grands chevaux pensent pouvoir ébranler le régime mis en place. Inconscients qu'ils sont, insouciants et surtout détestables, le goût amer qui s'ancre au fond de la gorge et qui chatouille le gosier. Ça lui donne envie de régurgiter, la méprise qui se lit dans ses iris assombries par l'intolérance et la répulsion de ceux qui veulent se révolter. Néanmoins, elle admet l'admiration qu'elle porte à ces panouilles ingénus. C'est la rengaine qui se veut pesante. Celle qui esquinte malgré les tentatives de résistance, celle qui d'une voix sortie de nulle part, obligerait presque la Vasara à tendre la main vers la source qui peut la guérir de défauts qu'elle considère comme une infirmité. La détermination dans l'essence, l'admiration d'autrui qu'elle veut déguster entre ses lippes assoiffées de louanges, elle rechigne puis s'abandonne à la griffe de dragon. Cette dernière lui procure des capacités qu'elle n'imagine pas posséder, lui donne une concentration et une aisance remarquable. Inka, elle fait tout pour ne pas en abuser, pour ne pas être dépendante d'un procédé qui peut la discréditer. Et pourtant, quand elle voit les objectifs qu'elle souhaite atteindre, quand elle voit que certains peuvent réussir à mieux sans tricherie, elle a le goût âpre qui lui tiraille le fond de la gorge. L'élève veut dépasser les maîtres, de sa fermeté et de sa hardiesse reconnue, elle clame haut et fort que son avenir sera guidé par des recherches dans la médecine, que son dévouement pour la sauvegarde des sorciers est ce qui la motive. Derrière les mots se dissimule l'intention obscurcie par cette âme ténébreuse. C'est la torture dans la tête, la torture dans les paumes. Elle veut infliger, elle veut faire souffrir tout comme elle veut faire parler. Elle veut voir les corps se tortiller, elle veut comprendre les géhennes humaines pour les analyser. Pourquoi souffrir, pourquoi être déchiré, l'interrogation qui hante ses entrailles de pensées ternes et redoutées. Inka veut comprendre la mort et son avant-goût, elle veut voir les étincelles qui s'éteignent dans les yeux, qui disparaissent dans le néant pour finalement laisser les paupières se rouvrir et constater la seconde vie qu'elle souhaite donner, à ses pieds, ils sont enchaînés, à ses services. Assimiler la nécromancie et ses prestiges, pouvoir la contrôler mais avant tout l'apprendre. Et si, un jour elle se trouve dans la possibilité de rejoindre la Chambre de l'Oblivion, elle en serait honorée malgré le fait que beaucoup sont ceux qui, dans l'ignorance, affirment qu'elle n'est que stérile. Chose qu'elle ne croit pas, en toute évidence. Si elle laisse transparaître les douceurs d'une généalogie que l'on ne redoute que trop peu, Inka garde en elle une ferveur qu'elle ne peut pas cacher. L'impulsivité, aussi bien dans les mots que les gestes qui se veulent cinglants, elle fait preuve d'une éloquence que craignent ceux qui la côtoient. La franchise sur le bord des lèvres, la langue acérée d'un scrupule qui écorche même les plus braves, elle ébranle l'âme des susceptibles et égratigne celle des indifférents. Avec les connaissances, avec les plus proches, elle reste cette même personne qui ne se soucie guère des reproches et critiques qui peuvent être dites à son sujet. Elle hausse les épaules, elle lève les yeux vers les plafonds qui s'effritent et tourne parfois même des talons pour montrer le dédain et la désinvolture dont elle peut faire preuve. Détestable, c'est ce qu'elle est quand bien même se cache en elle une pointe de gentillesse et d'attendrissement. Faire preuve d'empathie envers ceux qui en font de même, faire preuve d'amabilité aux individus qui la considèrent un minimum sans prendre la peine d'inlassablement cracher sur ce caractère tempétueux. hominum revelio. Le labyrinthe transpire le supplice et le sommeil éternel. Cela fait quelques années que personne n'a péri dans les entrailles des chemins sinueux, dans les brumes étouffantes d'un tourbillon déroutant. Et pourtant, elle inhale les arômes ténébreuses et moroses de ceux qui se sont éteints, de ceux qui dans la confidence et la crédulité, ont été assez stupides pour penser pouvoir faire florès. Les pas se veulent légers mais à la fois incorrigibles. Elle ne peut pas reculer et les Dieux eux-même sont conscients du cran dont elle fait preuve. « Par Thrúd... » Elle entend au loin le râle étouffé d'un concurrent, les tripes qui s'expriment dans un cri qui lui transpercerait presque les tympans. Les sourcils froncés, elle déglutit difficilement et son regard ne peut s'empêcher de sillonner l'horizon. Sa gauche et sa droite qu'elle balaie, le menton finalement abaissé pour observer le sol qui cache des surprises auxquelles elle ne veut pas avoir à faire. Pourtant, l'avancée ne lui présage que les malédictions des passages qu'elle emprunte. Elle ne peut distinguer les mètres qui la devancent, n'a que l'ouïe pour repérage. Les feuilles sifflent dans un zéphyr doucereux, l'impression que tout s'anime autour d'elle alors que les parois verdâtres restent inertes. L'immobilité qui la caractérise, les jambes restent ancrées sur le terrain boueux. Elle se mordille inconsciemment la lèvre inférieure, l'indécision quant à la direction à prendre. Cette perception lamentable et pendable d'avoir réalisé le même trajet, encore et encore. Ses phalanges entourant la baguette de poirier, elle la serre fortement quand elle sent comme des lianes entourer ses chevilles. Ça la tire, ça lui serre la peau et les os et elle tombe misérablement et péniblement sur les ronces qui ornent le par-terre. Les jurons sont prononcés, la baguette est lâchée dans la chute et tant bien que mal, elle tend ses bras pour attraper l'objet qui peut la libérer des sujétions aux branches. Inka, mâchoire serrée et les traits qui creusent le faciès dans la dureté et la fureur, les doigts qui viennent titiller un fragment de sa baguette. Arrivée si loin, elle ne peut pas échouer. Elle ne veut pas. Fierté, amour-propre, orgueil, impétuosité, on peut donner plusieurs appellations à ce qui l'oblige de réussir. C'est quand elle l'attrape finalement, l'empoignant fermement sous la frénésie, qu'elle lance un seul et unique sort. Un seul, et pas un autre. Nul besoin de s'acharner en espérant s'en sortir avec des futilités, le maléfice tranche le bois en laissant tomber copeaux et gouttelettes de carmin. Si réussir fait appel à des sacrifices, c'est avec joie qu'elle les entreprend. Quitte à s'estropier pour les bonnes raisons. Aujourd'hui, elle a oublié. Mais il y a toujours la fine entaille cicatrisée qui lui rappelle qu'elle a dû traverser certaines épreuves pour arriver là où elle se trouve désormais. pseudo, prénom : vivi. âge : la vingtaine, quelque part par làààà. pays : france. avatar : emma watson. inventé, scénario, prédéfini : semi-pv. crédits : ice and fire. commentaire : ce forum envoie du pâté, je vous aime déjà. ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:35 | |
| like a bird of doomOn a gathering storm comes a tall handsome man in a dusty black coat with a red right hand. Quand les mallettes de biffetons n'assurent pas les machinations, le corps vient se cambrer, se courber, s'incurver, fléchit celle qui serre dans ses poings fermés, des draps dont elle peut humer l'effluve de l'épouse de celui qui satisfait des desiderata avec une autre. Ils se pensent princes, dominateurs déchus car elle est en réalité celle qui mène la distraction quand bien même on peut aisément l'effleurer, la caresser, flatter des endroits sensibles sans qu'elle ne bisque. Les saisons passent et laissent des marques, neiges maculées de la tornade qu'elle est, briseuse des âmes et des lucidités, celle qui au bord du gouffre, pousse tous ces autres dans le vide. Dans la dévotion, elle courbe l'échine et esquisse l'ombre de sourires amincis sur le faciès aux lueurs séraphiques. L'angelot cache derrière les manières, des intentions que l'on pourrait comparer à Hel. Et pourtant, elle est chancelante. Défaillante mais surtout pitoyable. Elle s'abaisse à la sujétion, servitude qu'elle donne de son plein gré au seul et unique qui contraint son palpitant à mal fonctionner. L'impuissance face à la prestance qu'il émane, la carrure qu'elle a vu grandir et évoluer, qu'elle a, si on peut le dire ainsi, toujours connu. Et pourtant, on ne la considère pas. On ne la prend pas en compte, d'un signe de la main on la chasse d'un dessein dont elle ne peut pas pleinement et officiellement faire partie. Le plaisir dans l'amour et l'amour dans le plaisir. Si autrefois les corps s'entrechoquaient et que les bassins se mouvaient dans des rythmes synchronisés avec pour simple but d'atteindre des desseins individualistes et narcissiques, l'union charnelle est désormais motivée par amour et dévouement pour l'autre. Elle s'est logée dans ses bras pour espérer ne plus jamais en ressortir. Nuit muette, silence dans la pénombre, baisers volés dans des étreintes, les lippes frôlent les épidermes et le bout des phalanges en font de même tandis que les souffles s'entrelacent dans une danse des moins régulières. Battements de cœur, ce dernier qui s'affole à chaque parcelle de peau que les paumes se donnent la tache de découvrir. Les intimités découvertes et redécouvertes, les doigts s'entremêlent entre eux, les paumes l'une contre l'autre, les jambes féminines qui s'enroulent autour du bassin à l'ardeur dissimulée, brutalité qu'elle a toujours craint de découvrir mais qui se dessine un peu plus à chaque fois. L'affection voile la nature première, cupidité d'une femme qui n'avait toujours voulu que plus dans son existence. Plus d'adrénaline, plus de dynamisme, plus d'imprévus, plus de richesse. Et surtout, plus d' amour qu'on ne daigne lui donner. Inka sera toujours après. Objet de désir, sensualité qu'elle use pour charmer les plus candides et preux, rien ne fonctionne sur le seul qu'elle espère un jour voir flancher. Yagor n'ouvre pas son cœur, ou s'il le fait, c'est en aucun cas pour la Vasara qui s'obstine. Encore, et encore, dans l'illusion et l'espérance de voir, dans un futur proche ou lointain, ses attentes réalisées. Néanmoins, elle comprend. Elle assimile, peu à peu, que son acharnement ne mène à rien si ce n'est un plaisir qui ne sera jamais pleinement authentique. ☆☆☆ « Ne daigne pas bouger, pas même d'une poignée de millimètres indiscernables, sinon tu vas tout faire ra-... » Elle ferme les paupières en serrant les dents qui manquent de grincer. Idiot. Imbécile. Et pourtant, sa gorge se noue dans un sourire qu'elle peine à esquisser. Elle connaît la dangerosité de l'individu quand bien même elle a noué une laisse à son cou. Elle sait qu'elle peut, en un instant, avoir des doigts fins qui s'enroulent à son cou pour lui ôter la respiration, pour ravager les poumons qui n'arriveront plus à faire fonctionner la machine. « Ce n'est pas grave, je suppose. » Elle hoche la tête en se passant une paume dans les cheveux qui se laissent faire, la passe sur son front et devant ses paupières comme si cela suffirait à débarrasser la fatigue du faciès marqué. Leike Dválerson. Un prénom qui ne laisse pas indifférent dans la communauté magique. Criminel, tueur en série, tout ce que vous voulez. Il a été au service de la Résistance, que l'on murmure, capturé, enchaîné, vendu sur le marché au prix fort. Sa loyauté n'a jamais été complètement révélée. Comme un loup sans meute, il a opéré autrefois pour les plus offrants. Ses pas se sont ancrés dans l'Est de l'Europe, salissant ses paumes d'un cramoisi pur dont il se délectait. Ancien tueur à gage, la cruauté dont il est capable est inimaginable, même pour Inka qui, depuis près d'un an, entretient une relation de dominant-dominé, les deux rôles étant occasionnellement échangés. Il est tout ce qu'elle rebute et tout ce qu'elle admire. Tout ce qu'elle haït et tout ce qu'elle aime à la fois. Il a le sang qui le trahit, mais le talent qui l'éblouit. Leike lui apprend, Leike donne son savoir à la belle pour le prix de sa vie. Et le savoir, il ne se paie pas qu'avec les mots et les tactiques, stratagèmes donnés. « A ton tour. » L'esclave la tutoie et elle ne le reprend pas. Quand ils ne sont que tous les deux, les permissions sont données, les bonnes manières estompées. Inka inspire difficilement et elle s'assoit sur la chaise de bois qui, dès lors qu'une pression y est exercée, grince dans un sifflement qui l'irrite à chaque fois. « Trois milligrammes, seulement. » qu'elle articule en rivant ses iris sombres dans le regard de celui qui devient bourreau. « Je le sais bien. Car cinq milligrammes tuent. Et que quatre restent encore un mystère que tu dois tacher de résoudre. » Elle le fusille d'une œillade vive. « Que nous devons tacher de résoudre. » Une pichenette dans l'aiguille qui laisse échapper quelques gouttes de l'élixir, il plante la seringue dans l'avant-bras de la Vasara qui, instantanément, grimace. La douleur est-elle réelle ? Les veines se resserrent et peinent à laisser traverser le sang qui y circule. Les canaux sanguins, tous contrôlés par le mélange délicat mis en œuvre. Une potion parmi tant d'autres, destinées à maltraiter, à faire souffrir, à taillader les âmes. Inka y est habituée. Leike, aussi. Tous les deux, l'un sur l'autre, ils expérimentent leurs trouvailles. Eux, qui résistent aisément à la douleur. Eux, qui même sous la torture, apprécient les caresses que la mort vient leur porter. Eux, qui infligent les atrocités et qui se les affligent aussi. Eux, qui ensemble, cherchent l'essence qui les déchirera. Trouver le philtre qui pourra tout faire, l'objectif qu'ils se sont assignés. Inka, elle sent qu'elle vacille. Elle sent que la lutte est vaine, mais elle sent surtout que ce n'est pas assez. Qu'ils peuvent mieux faire. Et il le sait, lui aussi. ☆☆☆ Quand elle le regarde, elle ne voit qu'une bienveillance qu'elle ne peut pas écraser. Elle lui est promise, le destin lié par des pactes qui sont bien au-dessus d'eux. Le désir égoïste de refuser, de dire qu'elle ne veut pas se marier mettrait en péril des alliances formées. D'un regard en coin, elle observe Andreas sans pour autant prononcer le moindre mot. Si la communication est d'autant plus aisée depuis qu'elle lui a tout révélé au sujet de ses sentiments ineffaçables qu'elle a envers l'un des descendants du Tsar, on doit admettre que les situations ne permettent pas toujours de trouver matière à papoter. Sans réellement se rendre compte, elle esquisse l'once d'un sourire sur ses fines lèvres, tout en se mordillant l'intérieur de la lèvre inférieure. Un geste qu'elle a pris l'habitude de faire quand elle pense à quelque chose d' absurde. Andreas tourne légèrement la tête vers elle pour simplement froncer des sourcils en se demandant pourquoi elle agit ainsi et elle ne peut s'empêcher de faire un signe négatif de la tête, de gauche à droite, comme pour remettre ses pensées en place. « Qu'est-ce qu'il y a ? » Elle ravale sa salive en plantant ses iris dans l'horizon qu'offre le jardin dans lequel ils sont. Eux deux, ils font comme si, dans le simple but de montrer aux deux lignées que l'union est toujours d'actualité. « Oublie. » Cela fait pourtant près de cinq ans qu'ils sont fiancés, et aucune cérémonie n'a été annoncée depuis lors. Et ça, elle le doit principalement à Andreas et l' envie de se marier quand elle aura terminer ses études. Une excuse pour leur laisser le temps, à tous les deux, de jouir d'une liberté que bientôt ils n'auront plus. Elle a détourné le regard mais elle peut sentir le sien qui la toise. La langue claque contre le palais, comme légèrement irritée par le fait qu'on la scrute ainsi. « Dis moi ? » Les yeux levés vers le ciel qui fait apparaître une légère pénombre à cause des nuages capricieux, elle soupire et laisse son visage s'adoucir. « Je me disais qu'un jour, on va devoir... » La gestuelle qui veut accompagner les mots, des mouvements qui ne veulent rien dire, en somme. « Enfin, tu vois. On est obligé ? - Inka. Toi, moi, on ne se marie pas à cause du fait que l'on ait l'un pour l'autre des sentiments amoureux. - J'en suis bien consciente. Mais... - Inka ! Combien de fois est-ce que l'on va avoir cette discussion ? Je le sais que tu ne veux-... - Alors il faut que l'on trouve quelque chose pour annuler les fiançailles et tout ce qui s'ensuit. - Non. » Elle a froncé les sourcils, les traits s'affermissent sous le visage que l'on connaît pourtant candide et innocent, naïf. « Non ? » C'est la première fois qu'il met les points sur les i. Qu'il refuse, catégoriquement. Qu'il ne laisse pas planer des espérances ou des promesses qu'il sait intenables. « Non. Contrairement à toi, je sais laisser mes désirs égoïstes de côté. Cette union, elle permettra un futur pour les Svendsen. Elle n'a pas un impact que sur toi, ou que sur moi. Ouvre les yeux, avant de penser que tu peux décider de ton propre futur par toi-même. C'est ainsi, et puis c'est tout. » ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:38 | |
| |
| | | maison de baldr Hiboux : 167 Avatar : matthew daddario. Double Compte : hedvig la badass, torvald le fragile. Crédits : -av/@Hepburns. Âge : Leonid écume ses vingt-cinq ans, un quart de siècle, on penserait presque qu'il est assez mature pour prendre le trône, malheureusement il ne l'est pas encore et le sera sûrement jamais. Nature du sang : Pur, les Bytchkov est la famille la plus Pure qu'il existe, même si cette question de sang ne l'a jamais réellement intéressé. Statut civil : fiancé à une bien étrange créature, une femme. Patronus : némo. Amortentia : l'odeur de pipi de chat. Localisation : oklm à l'institut. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:38 | |
| Normalement le problème a été réglé. ET CE CHOIX MON DIEU. la plus grande victime de ce forum, ça doit être inka. si elle en a marre de yagor, elle peut toujours jeter son dévolu sur leonid. BIENVENUE et bon courage pour ta fiche. |
| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:39 | |
| ce pv bon par contre évite les jumeaux tout court comme ça tu seras tranquille bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:40 | |
| |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | | | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 16:58 | |
| ma soeur |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 17:00 | |
| |
| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | | | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 17:14 | |
| je pense qu'on peut faire un duo de choc tu vois. faudra qu'on en vienne à parler lien entre sis. |
| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | | | | bitch queen Hiboux : 388 Avatar : lily james, la déesse. Double Compte : leonid et torvald les bgs. Crédits : -av/@tellers. -gif/tumblr (signa) et ivana d'amûr (profil) Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée. Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang. Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas. Patronus : lol | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 22:42 | |
| bienvenue sur durmstrangembarquez pour stolytsia et l'institut Félicitations, tu viens d'être validé Tu fais désormais officiellement partie des membres du forum. Avant toute chose, laisse moi te dire quelques mots sur ta fiche : le personnage est merveilleusement bien respecté, puis tu l'as développé et tu l'as juste rendu encore plus intéressante quoi. je suis absolument fan de ta plume (fangirl tavu? ) et je te valide donc avec plaisir. . Maintenant que tu as un joli rang et une couleur sur ton pseudo (si c'est pas la classe ), tu dois remplir les registres pour y inscrire ton personnage. Il faudra tout d'abord vérifier que ton avatar est bel et bien inscrit dans le bottin. Si ce n'est pas le cas, n'hésite pas à contacter un membre du staff qui l'ajoutera le plus vite possible. C'est la même chose si ton personnage a un don. Il est toujours préférable de vérifier que ta place est bien réservée dans l'annexe des mutations magiques. Ensuite, comme tu dois sûrement t'en douter, tu devras recenser ton personnage dans les différents registres du forum. Si ton personnage étudie à Durmstrang, il faudra le signaler dans le registre des élèves. N'oublie pas de recenser son ordre s'il en fait partie. Tu devras aussi veiller à recenser ton patronus afin d'éviter qu'il ne soit pris. Si ton personnage exerce une profession ou qu'il est en stage dans la capitale, n'oublie pas de poster dans le registre des métiers. Et voilà, tu as terminé ! Tu peux désormais aller créer un scénario ou encore un lien préféfini. Tu peux aussi poster une fiche de liens et en demander aux autres membres. Pour finir, n'hésite pas à flooder Nous te souhaitons un très bon jeu sur le forum N'hésite pas à contacter l'équipe administrative si besoin ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: - splendides vengeances - Dim 21 Fév - 22:53 | |
| |
| | | | Sujet: Re: - splendides vengeances - | |
| |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |