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Hedvig Møller
bitch queen
Hedvig Møller
bitch queen
Hiboux : 388 Avatar : lily james, la déesse. Double Compte : leonid et torvald les bgs. Crédits : -av/@tellers. -gif/tumblr (signa) et ivana d'amûr (profil)
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Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée.
Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang.
Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas.
Patronus : lol

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MessageSujet: | do or do not, there's no try.   | do or do not, there's no try. EmptyMar 9 Fév - 1:21


hedvig Møller
you bewitched me body and soul

carte de sorcier
nom, prénoms : Typiquement inconnu et courant dans les pays scandinaves, son nom de famille n'a pourtant aucun impact dans le monde magique. Il flotte, il est invisible, il ne veut dire qu'une petite poignée de choses qui lui sont pourtant si importantes. Elle n'a jamais supporté cette invisibilité, la force de ses ancêtres retranscrite dans ces six petites lettres qui sont pourtant ignorés et dépeints comme esclaves, car c'est si facile d'ignorer. Møller, un nom dont elle est fière et qu'elle tente tant bien que mal de faire briller. Hedvig, un prénom typiquement scandinave qu'elle affectionne particulièrement puisqu'elle l'a hérité de sa défunte grand-mère pour qui elle avait énormément de respect. Il est censé avoir charme et sensualité comme signification, deux choses sur lesquelles Hedvig doit encore travailler. âge : Elle a vue. Elle a entendu. Elle a souffert. Elle a ri comme elle a pleuré. C'est en ces vingt-quatre année qu'Hedvig s'est rendue compte à quel point son monde avait changé, à quel point elle avait voulu faire un impact, être la source d'un changement. Elle n'aurait jamais dû tant voir en pas même un quart de siècle, elle n'aurait jamais dû avoir autant mal, pourtant du haut de ses vingt-quatre ans, elle a ressenti ce que beaucoup d'autres n'auront jamais à subir. date, lieu de naissance : Hedvig n'est pas censée avoir une date de naissance, elle est si inimportante que sa naissance a été baclé, presque ignoré, ses parents ont néanmoins toujours mis un point d'honneur à ce qu'elle se souvienne du jour de son anniversaire. Un trois septembre. Une belle journée paraît-il, qu'elle fête secrètement chaque année lui rappelant des souvenirs douloureux sur ses parents. Elle a vue le jour au manoir des Ivanova, la famille que ses parents servaient à l'époque.  origines : Cela a toujours été un tabou de parler de la nationalité ou des origines d'une esclave, elle appartenait à quelqu'un et n'était rien d'autre, un objet, une chose qui ne pouvait pas se permettre d'avoir un passé. Hedvig sait pourtant qu'elle a des origines suédoises et norvégiennes, ces origines qui lui tiennent très à coeur, elle aimerait un jour pouvoir retourner dans ces pays avec ses chaînes libérées. nature du sang : Une malédiction, un poid plus horrible encore à porter qu'un bâtard sa descendance. Hedvig est une Mêlée, elle est ancienne esclave, elle a été battu plus bas que terre pour ce liquide rouge qui lui coule dans les veines, elle a été moqué, elle a été mise à terre par tant de remarques. Mais tel un phoenix, Hedvig a su se relever. Mêlée, Pur, elle a décidé que tout ceux qui se mettraient en travers de son chemin finiraient par payer. statut civil : Hedvig ne connaît pas réellement la définition de l'amour, ni celle de l'affection, allergique au contact physique, elle est célibataire, n'ayant jamais songé à une relation avec quiconque. Si son attraction pour Igor n'est pas restée invisible, elle n'a jamais cherché à mettre de mot sur leur relation et ne cherchera sûrement jamais à le faire. C'est incompréhensible pour elle, les sentiments, les émotions que peuvent provoquer l'amour, c'est une logique, l'amour n'est pas logique. profession : Hedvig est actuellement en train d'effectuer un stage à l'hôpital de la capitale, pour devenir médicomage, même si ce n'est pas exactement ce qu'elle veut faire, c'est la seule place qu'elle a trouvé. années d'étude : Hedvig foule les pavés de l'institut depuis sept ans, sept ans qu'elle tente de comprendre ce fonctionnement rustre et sévère de l'école. Elle est en septième année, l'avant-dernière avant de devoir faire face au monde extérieur.  spécialisation : Feuer, la fillière du feu, la fillière du danger.  maison : La maison de Skadi, c'était une évidence qu'elle a évidemment accepté avec fierté. C'était la maison dans laquelle elle voulait poursuivre sa scolarité, la sériosité, comme l'impulsivité.  baguette : écrire ici.  patronus : son patronus prend la forme d'un frison, un cheval en somme, grand, imposant, fougueux, impitoyable lorsqu'il est agacé.   epouvantard : son épouventard prend la forme d'un simple fouet, un fouet qui claque dans l'air et qui vient s'écraser contre son dos et celui de sa famille. ça lui rappelle la soumission qu'elle a dû endurer pendant quinze ans de sa vie, quinze ans de trop.  amortentia : une odeur d'herbe fraiche, de ciboulette et de mandarine, celle qu'elle partageait toujours avec Andreï.  groupe : empty chairs at empty tables.
salveo maleficialumos maximahominum revelio


salveo maleficia.
quel est votre avis sur le tsar ?
Qu'il crève. Qu'on le brûle, lui, sa famille, le gouvernement, tout le régime, pourquoi pas même l'Empire nordique en son entièreté. Hedvig a été esclave, elle est de ceux qui ont souffert de cette politique raciste et injuste, elle est de ceux qui croient en meilleur lendemain et qui veulent se battre pour obtenir une liberté, une liberté qu'ils n'ont jamais eu. Etre une Mêlée l'a endurci, l'a rendu plus forte, plus résistante, et elle a appris de ses leçons. La neutralité ne mène à rien, s'il faut changer les choses, il faut le faire en se battant et en brandissant épées et baguettes. Elle méprise le tsar, elle méprise son gouvernement mais elle méprise surtout ses suiveurs, ceux qui hochent de la tête délibérement par peur ou par manque d'intélligence. Si ça ne tenait qu'à elle, le château des Bytchkov serait déjà en flammes et un Mêlé serait assis sur le trône. Ou peut-être qu'elle abolirait le trône et tenterait de faire une démocratie, un monde où chacun aurait le droit de parler, où la torture serait interdite et où la liberté d'expression ferait effet. La censure, la tyrannie, elle n'en veut plus, elle serait prête à mourir pour cette cause, ou pire encore ôter une vie pour protéger la révolution.

que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ?
Hedvig a toujours pensé que les Mêlés avaient autant leur chance que les Purs. Peut-être parce qu'elle-même esclave n'avait aucune chance, elle a très vite compris qu'en entrant à Durmstrang, elle pourrait finalement changer beaucoup de choses. L'entrée des Mêlés à l'institut a provoqué médisence et chaos, mais elle s'en fiche. Elle ne s'y sent pas comme chez elle, mais c'est seulement avec la formation que Durmstrang lui offre qu'elle pourra devenir quelque chose dans ce monde cruel. Alors bien sur, elle sait que c'est compliqué de s'acclimater aux injustices qu'elle vit journalièrement à Durmstrang, mais c'est mieux que rien, c'est mieux que d'être une vulgaire esclave. Elle veut apprendre, peut-être que c'est sa meilleure qualité, elle veut connaître, elle veut déceler mystère et secret, elle veut gagner, elle veut devenir plus forte, savoir se battre physiquement comme avec la magie qui se cache en elle, et les professeurs de l'institut sont les plus qualifiés pour lui offrir cette chance. La chance de pouvoir briller et de prouver qu'un Mêlé est tout aussi apte qu'un Pur.

que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ?
Une abomination. Elle l'a vécu, elle a souffert, ça n'a jamais été simple et ça ne l'est toujours pas en repensant à tous ces souvenirs douloureux. Elle y a perdu sa mère, comme son père et de nombreux amis et ça la dégoûte encore de voir des esclaves continuer à jouer leurs rôles alors que cela a été interdi. Hedvig veut abollir une bonne fois pour toute l'esclavage, en commençant d'abord à l'institut et dans la capitale. Le monde doit changer, son pire souvenir est sûrement celui où son maître brisa le nez de son père, elle revoit encore le sang, la douleur défigurant le visage de son père et son impuissance. Ne pouvant rien faire, fuir, mais ne pas pouvoir embraser la maison qui l'a tenu prisonnière pendant tant d'années. C'est une abomination, c'est inhumain, on lui a ôté son identité pendant quinze années, elle espère un jour pouvoir dire qu'elle les a rattrapé, mais elle a bien peur que ces années resteront graver dans sa tête pour toujours.

quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ?
Si Hedvig ne crie pas haut et fort qu'elle appartient à la révolution, beaucoup s'en doutent, c'est même prévisible. Elle a toujours été impulsive et franche, et n'a jamais eu peur de se retrouver dans les cachots après avoir brisé quelques phalanges à un Pur. Ca ne lui pose d'ailleurs aucun problème de défier l'autorité, son insolence a toujours été une grande partie de son caractère. Plus personne n'est présent pour la défendre ou pour la prendre dans les bras pour la calmer, alors elle a trouvé un nouvel endroit où il lui était possible de se défouler, la révolution. Elle est pour toutes les résolutions, un monde meilleur, plus juste et égal, elle veut toutes ces choses. Peut-être qu'elle veut aussi voir toutes ces têtes pures brûlées, celles qui l'ont tiré vers le bas. La vengeance n'est pas l'objectif de la révolution, pourtant c'est bien devenu le sien.
Hedvig a été faite esclave dès sa naissance, dès sa première inspiration, dès ses premiers battements de cils, elle était la propriété des Viktorsson. Dès ses quatre ans elle a dû commencer à nettoyer et aider sa mère dans les cuisines, avant que celle-ci ne décède quand elle n'était alors âgée que de six ans. ✧ Si elle a mal vécu la mort de sa mère, ça ne l'a pas détruite, trop jeune pour réellement comprendre ce qui venait d'arriver, c'est la mort de son père qui l'a complètement anéantie et qui l'a encouragé à prendre sa vie en main. ✧ Hedvig a pendant longtemps accepté son sort d'esclave, elle ne bronchait pas quand on l'approchait avec un fouet ou ne cherchait pas à tenir tête à son maître, jusqu'à ce qu'elle n'entre dans l'adolescence, où elle décida qu'il était temps que les choses changent, notamment dans son comportement. ✧ Insolente, impulsive, Hedvig est une force de la nature, un diamant brut, une brute, un cygne. Elle peut être gracieuse comme maladroite, douce comme violente. Instable, comme imprévisible, on ne sait très souvent pas sur quel pied danser en sa présence. C'est un mystère, un secret, des murs qu'elle a consolidé pour qu'on ne sache pas réellement qui elle est. ✧ Hedvig est allée dans la maison de Skadi, elle ressemble à tous les traits que demandent cette maison, réfléchie, comme autoritaire. ✧ Elle a été battu à de nombreuses reprises, parfois pour aucune raison, juste la cruauté, l'envie de faire mal. Si elle ne bronchait pas gamine, elle a commencé à se débattre adolescente, ce qui rendait sa sentence encore plus violente. Elle a souffert, et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle ne supporte pas que quelqu'un la touche sans que ce soit elle qui ait initié le contact. Elle peut devenir violente, se rappelant de tous ces moments où elle a souffert et où elle a eu mal, tous ces moments où ses parents étaient impuissants face au sort de leur fille. Peut-être n'était-ce même pas sa souffrance qui la traumatisait, mais plutôt l'effet qu'avait cette torture sur son père. Depuis, si quelqu'un la touche sans qu'elle ne le voit, elle peut brandir sa baguette, lancer un poing, ou commencer à crier. On dit que c'est un choc post-traumatique qu'elle n'a pas soigné, une plaie béante, ouverte qui saigne encore aujourd'hui. ✧ Si elle est dans la révolution, elle n'est pas pour autant en accord avec tous ses objectifs, si elle veut justice et égalité, elle veut aussi vengeance et sang. Son côté radical est dangereux et très difficile à tempérer, si on tente d'arrêter Hedvig, elle ne fera que pousser encore plus. ✧ Bornée, voilà ce qu'elle est, le modèle parfait d'une tête brûlée. Si elle avoue rarement ses torts, elle déteste encore plus perdre un combat ou un débat. Fière, fière comme paon. ✧ Elle a quitté le manoir des Viktorsson à quinze ans, pendant trois ans elle a cherché un but, un objectif, elle est allée de ville en ville, est presque morte de froid ou de faim à plusieurs reprises. Hedvig a finalement décidé d'entrer à l'institut, si quelque chose chez Hedvig est inébranlable, c'est bien sa détermination. Elle a rencontré quelques personnes qui lui ont vendu baguette et livres et elle s'est entraînée seule, tout en prenant exemple sur les Purs. ✧ Hedvig est entrée dans la révolution dès ses prémices, elle n'a jamais douté de ses objectifs et accompagné d'Igor, elle était les yeux de la révolution au sein de l'institut ayant l'élève de Sefryd, la chef de la révolution. Si cette femme a toujours tenté de l'aider quand Hedvig servait sa famille, elle la respecte énormément, peut-être pour son affront et l'empathie qu'elle porte à un peuple auquel elle sait qu'elle doit beaucoup.  ✧ Si Hedvig peut se montrer tolérante, elle peut sembler un peu rustre et bien trop franche et sévère. Elle fonce toujours tête baissée et ne fait même plus attention à ses commentaires ou à son comportement. Une rebelle dans l'âme et dans la tête.

-- BE KIND, HAVE COURAGE --
⊰⊰⊰

Hedvig avait la peur au ventre, celle qui s’empare de tous vos sens, celle qui vous fait presque vomir, celle qui vous concentre sur une seule et même chose : la victoire. Elle avança vers le lac avec un sourire mué sur les lèvres, un qui voulait dire qu’elle cachait tant de secrets, tant de choses que le monde extérieur ne pouvait même pas déceler. Elle avait souffert, mais avait décidé d’abolir ce temps où elle s’était elle-même victimisée, dix-huit ans de dure labeur, mais elle savait au moins où elle en était et combien elle pouvait encore encaisser, et elle était infiniment convaincue qu’elle pouvait encore supporter beaucoup. Elle était prête, prête à exhausser ses vœux, à se battre pour se faire une place dans cette société pratiquement puriste. Hedvig ne voulait plus être décrite comme simple Mêlée ou comme ancienne esclave, elle voulait une chance à la vie, elle voulait qu’on oublie son statut ou encore son sang et qu’on se concentre sur ses capacités. Elle allait devoir faire face au rite de passage, elle n’en avait entendu que quelques rumeurs, mais se rendait compte que c’était beaucoup plus sérieux qu’elle ne l’avait réellement imaginé. On lui avait donné de nouveaux habits, on la regardait peut-être avec haine ou dégoût, mais elle avait l’impression qu’on chercherait à lui faire dépasser ses limites, qu’on lui laisserait ressentir cette adrénaline tant désirée dont elle avait besoin pour s’éveiller. Elle avait besoin de ça, d’une gifle, trois ans qu’elle s’était cachée, qu’elle avait tenté de se préparer à ce qu’elle devrait faire face à l’institut et maintenant qu’elle y était elle se sentait bien plus sereine qu’elle ne l’avait en fait pensé. Tout le monde s’approcha du lac, ses majestueuses eaux profondes ne l’intimidèrent pas, au contraire, ça l’encouragea bien plus à prendre son courage à deux mains. Lorsqu’elle arriva au bord du rivage elle inspira un grand coup. Les règles furent édictées, les quelques minutes qui passèrent lui donnèrent l’impression que c’était des heures, et avant même qu’elle n’ait le temps de réagir le sifflet retentit. Hedvig se jeta dans le lac, elle tenta d’expirer et d’inspirer comme son père lui avait appris, la natation n’était pas son fort, mais la détermination l’était de loin. Elle avança doucement, mais juste assez pour rester dans les premiers, elle poursuivit sa route avant de rejoindre la rive et de se jeter contre les pierres auxquelles elle s’accrocha. Elle grimpa le reste et se retrouva les deux pieds posés dans la boue visqueuse entourant le lac. Elle courut vers la forêt, là où tout le monde se dirigeaient. Elle sentait des silhouettes s’approcher d’elle et avant même qu’elle n’ait le temps de réagir, un sort vint la frapper de plein fouet, tant qu’elle bascula et tomba par terre. Plusieurs égratignures vinrent marquer ses avant-bras, mais Hedvig se releva immédiatement tout en sortant la baguette qu’elle s’était achetée. Son cœur fît un bond dans sa poitrine lorsqu’une gigantesque Arachné vint se poster devant elle. Ses pinces fines claquant sous sa soif de sang et de nourriture. Si Hedvig ne la battait pas, elle terminerait par être son repas, et personne ne broncherait sous l’image d’une Mêlée se faisant manger par une énorme araignée. En trois ans elle avait amassé assez d’informations sur les sorts de protection ou de défense, elle ne savait pas exactement comment les jeter, mais elle espérait que sous la nervosité et l’adrénaline elle réussirait plus ou moins à se défendre. L’araignée s’approcha dangereusement d’elle pour tenter de la dévorer, mais la blonde se jeta sur son côté droit, avant de prendre sa baguette et de la tenir fermement dans sa main gauche. « Stupéfix ! » Le sort ne fonctionna pas, elle sentit l’araignée se rapprocher et la peur s’émanciper en elle. Elle souffla un grand coup avant de se lever et de courir vers un arbre où elle pensait pouvoir se protéger. « Stupéfix ! » Cette fois-ci un jais de lumière vint s’écraser contre l’arachnide qui resta immobile pendant quelques secondes avant de se lever et de poursuivre sa route vers son dîner. Hedvig continua à courir, et se jeta derrière une pierre, manquant presque de se faire mordre par la créature. Elle sentait sa respiration se saccader au fur et à mesure qu’elle poursuivait sa route folle vers la mort. « Confringo. » Aucune réaction. L’araignée se rapprochait d’elle trop rapidement, elle se mit face à elle, sa baguette devant elle, et inspira un grand coup avant de lever les yeux, ses yeux si déterminés. « Confringo. » Et cette fois-ci un jais rouge sortit de la baguette provoquant une explosion. Hedvig fût propulsée en arrière et se cogna l’arrière de la tête. Elle sentit le goût d’acier de son sang couler dans sa bouche, mais l’ignora. Elle leva les yeux et vit que l’araignée restait couchée tout en criant de douleur. Hedvig s’avança et prit le petit papier blanc qu’était l’indice qui la mènerait au prochain indice. Elle essuya sa transpiration et enleva le sang de son visage avant de se tourner vers la grotte de Durmstrang.

pseudo, prénom : manon wush. âge : 18 prouts.  pays : l'allemagne rpz.  avatar : lily james;  inventé, scénario, prédéfni : inventé.  crédits : @Dripping Alchemy.  commentaire :  | do or do not, there's no try. 1420373744 .

ZORN UND WUT
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Hedvig Møller
bitch queen
Hedvig Møller
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Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée.
Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang.
Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas.
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MessageSujet: Re: | do or do not, there's no try.   | do or do not, there's no try. EmptyMar 9 Fév - 13:07


lion heart
she's beauty, she's grace, she'll punch you in the face



Hedvig pleurait, elle pleurait dans sa petite couchette, serrant fort dans sa main le pendentif que sa mère lui avait offert avant sa mort. Elle le serrait comme si c'était la dernière chose qui lui tenait à cœur, comme si c'était son âme-sœur. Des gouttes cristallines venaient glisser sur ses joues alors qu'elle sanglotait silencieusement, ne voulant pas réveiller sa petite sœur. Ca faisait mal, mal de perdre un être cher, de perdre celle qui l'avait éduqué, celle qui lui avait souri, qui lui avait dit que tant qu'elle était là, jamais rien ne pouvait lui arriver. C'était des souvenirs, des moments gravés, pourtant, Hedvig se sentait impuissante, elle avait mal, mal parce qu'elle savait que sa mère ne reviendrait jamais, qu'elle l'avait abandonné, succombant à ses plaies, aux maux qui la tracassaient depuis si longtemps. La petite fille cherchait à fermer les yeux, à penser à quelque chose d'heureux, un bonheur qu'elle frôlait de ses petits doigts sans jamais pouvoir se l'accaparer. Le sommeil vint, la plongeant dans les bras de Morphée. Une petite sonnette eut l'effet escompté, elle réveilla la gamine qui leva les yeux vers les cloches accrochées au-dessus de son lit. Celle d'Ivar sonnait, celle de son bourreau, de ce gamin qui lui avait fait tant de mal. A contrecœur, l'amertume et la rancœur dans les tripes elle s'habilla rapidement et monta les escaliers, un plateau de fruits, de lait et de pains au chocolat dans les mains. Elle devait le servir, c'était son devoir, sa tâche et même si elle détestait ce qu'on l'a forcé à faire, elle le faisait quand même, comme pour honorer son nom, son sang, et éviter de recevoir des coups gratuits, des coups qu'elle ne méritait pas. « Tu en as mis du temps Hedvig. » Le blond arqua un sourcil et caressa la joue de la douce esclave avant de donner un coup sec sur celle-ci, l'effet de la petite claque retentit dans toute sa chambre alors qu'un sourire carnassier vint se former sur les lèvres du tortionnaire. « Assis-toi avec moi Hedvig. » La gamine n'osait pas refuser, elle n'était pas en position de jouer à l'insolente ou de partir en courant. Sagement, elle se dirigea vers la petite chaise en face de celle d'Iva et s'y assit, le regard stoïque, braqué dans le bleu océan des siens. « Tu es bien calme esclave. » Le garçon ramassa une pomme et croqua dedans, mâchant mollement, il regardait Hedvig droit dans les yeux, peut-être voulait-il la voir flancher, la voir s'écraser sous la pression, sous ses yeux accusateurs, mais la gamine tint bon, elle ne dit rien, continuait juste à le défier du regard, puisque c'était la seule chose qu'elle pouvait se permettre de faire. « Répond-moi Hedvig. » Cette fois-ci la menace vint s'immiscer jusqu'à ses doux tympans, la blonde recula un peu, sachant déjà ce qui arriverait si elle n'obéissait pas. « Je n'ai pas faim et j'ai encore du travail à faire. » Elle avait dit ça sur un ton bien plus insolent qu'elle n'avait voulu le laisser sonner. Ivar se leva de son fauteuil et s'approcha de la gamine, elle n'avait jamais compris quel jeu malsain il jouait avec elle, pourquoi il en était si fasciné, pourquoi il s'amusait à vouloir lui faire courber l'échine. Hedvig se leva à son tour, et chercha à s'en aller, mais la créature l'attrapa par le bras et s'approcha dangereusement d'elle. « Je n'ai pas fini. Et tu t'en vas quand je t'ordonne de t'en aller. Compris ? » La blonde se tut, elle ne dit plus rien, par peur peut-être ou tout simplement par acceptation, elle acceptait qu'il la tape, qu'il lui fasse du mal. Elle était malade de cette relation, de son toucher, du contact de sa peau contre la sienne, elle avait envie de partir, de lui cracher à la figure. Mais elle ne pouvait pas. Ce n'était pas sa position. « Oui, maître. » Elle baissa la tête comme pour hocher face à son ordre, face à ce ton médisant. Le blonde lâcha le bras de la gamine, et sourit cette fois-ci, un sourire dit cajoleur mais faux, l'hypocrisie bouffant déjà la moelle du gamin. Il poussa le plateau par terre, comme si de rien était, simple provocation pour faire réagir l'esclave. « Ramasse-moi ça. » Hedvig leva les yeux vers lui, combien de fois lui avait-il déjà fait ce coup ? Trop fière, impulsive, elle ne savait pas tenir sa langue, c'était l'énième fois où il cherchait à la faire sortir de ses gonds, c'était la fois de trop. Elle voulut lever la main pour gifler sa joue, mais Ivar l'attrapa en premier et tordit son poignet. « Le chat s'est enfin réveillé. » C'était tout un jeu pour lui, elle était la souris, il était le chat sortant ses griffes à chaque fois qu'il voyait la silhouette fine de la gamine approcher. « Lâche-moi. » Elle l'avait dit sur un ton médisant, tout en sachant que ça n'aurait absolument aucun effet sur le garçon. Il tordit le poignet toujours plus fort et le mal vint contrôler le corps de la gamine qui ferma les yeux. Enfermé dans une cage rouillée. Enfermée, mais bientôt libérée. La vengeance serait froide, comme sa lame contre sa carotide.

Elle posa une main délicate sur celle de son père, une larme cristalline vint s'aventurer sur sa joue droite, mais elle l'essuya du revers de sa main. Personne ne devait la voir pleurer, personne ne devait savoir qu'elle était vulnérable, détruite par ce que quelques individus lui avaient fait subir à elle et à sa famille. La mort d'un proche était difficile à comprendre, ou même à assumer, son père avait toujours été là pour elle, désolé de la position dans laquelle il mettait sa fille, il avait pourtant toujours mis un point d'honneur à ce que son bonheur passe avant toute chose. Esclave, mais un sourire collé sur les lèvres. Hedvig avait eu peur, peur de voir le corps sans vie, cadavérique et pâle de son défunt père, mais les larmes n'étaient pas montés jusque là, elle n'avait tout simplement pas réalisé la gravité de cette journée, elle n'avait tout simplement pas compris que ça lui ferait mal. Très, trop mal. Ses maîtres la battaient parfois, une douleur physique parfois insupportable, mais ce n'était rien en comparaison à ce qu'elle ressentait à cet instant. Cette rage, cette tristesse, cette envie, ce désir de tout casser, d'envoyer les tableaux accrochés au mur valser contre cette famille qui l'avait tant faite souffrir. D'abord sa mère, puis son père. Qui était le suivant, qui était celui qui suivrait tête baissée la danse macabre qu'était la Mort. Elle? A seulement quatorze ans, elle avait trop vécu pour ne pas comprendre, pour ne pas comprendre l'injustice et la colère qui sommeillait depuis bien trop longtemps en elle. Cette douleur, cette envie de crier, de s'égosiller, de s'époumonner jusqu'à ce quelqu'un ne l'entende. Mais personne ne l'entendait, le cri était sourd. Comme sa douleur. « Tu pleures encore pour ça vermine? » Hedvig leva les yeux vers le patriarche de la famille Viktorsson, du revers de sa main elle essuya ses larmes et tenta de maintenir sa mine stoïque. Combien de fois l'avait-il battu ? Combien de fois avait-il tenté d'abattre son père ? Combien de fois avait-il fait du mal à sa mère, à son père, à Igor ? La gamine se leva et lâcha la main de son père, peut-être serait-ce la dernière fois qu'elle le verrait, peut-être qu'avec le temps elle oublierait les traits tirés de son visage, son sourire, ses yeux chocolats, sa joie et sa bonne humeur, même en ces temps trop difficiles. « C'est mon père, il est mort, j'ai le droit de pleurer. » La gamine était insolente, elle l'avait toujours été, très souvent apaisé par son père, il n'était plus là pour jouer ce rôle, non, elle était seule, seule à devoir tempérer ses émotions et son impulsivité. Elle fusilla le patriarche du regard avant d'attraper le balais qui se trouvait non loin d'elle. Esclave. Vulgaire esclave, alors qu'Hedvig voulait être bien plus. L'homme s'approcha d'elle et attrapa violemment son visage fragile entre ses mains perverses. Il la força à le regarder droit dans les yeux, elle exprima toute sa haine pour lui et sa famille en un seul regard, celui qui signifiait que si elle pouvait, elle lui cracherait à la figure. « Fais ton travail. » Il la lâcha, la poussant par la même occasion, mais Hedvig était plus forte qu'elle n'en avait l'air. Elle se rattrapa contre une des chaises et se massa la mâchoire avec sa main libre. Elle était habituée, trop habitudée, mais avait-elle le courage de continuer à encaisser, avait-elle réellement le courage de devoir croiser cet homme et le reste de sa famille tous les jours ? Pendant trop longtemps avait-elle accepté sa position, pendant trop longtemps avait-elle souffert. Hedvig ne voulait plus souffrir. Hedvig voulait être forte et elle le serait. « Ce que vous faîtes est interdit par la loi. » Elle bomba son torse et le regardant droit dans les yeux, défier, voilà ce qu'elle savait mieux faire. Foncer, tête baissée. « Je veux être libre, je ne veux plus vous servir. » Elle ne l'insulta pas, même si ça lui démangeait la langue, elle savait qu'elle jouait déjà avec le feu, elle ne pouvait se permettre de lui montrer de l'irrespect, non, elle devait être maligne, stoïque et forte, oui, très forte. « Tu pense qu'en te libérant ta vie sera meilleure ? Mais où iras-tu gamine ? Ton père et ta mère sont morts, tu mourras ou pire encore deviendras une prostituée. » S'il le fallait, elle ferait tout, tout, absolument tout pour se libérer de ces chaînes oppressantes. « Je suis prête à tout faire pour m'en aller. » Le patriarche explosa de rire avant de pousser un des fauteuils et s'y asseoir. Le Haut-Duc des Viktorsson avait toujours eu une relation spéciale avec ses esclaves, il aimait les torturer, s'approcher d'eux pour les effrayer ou tout simplement les battre pour le plaisir de faire souffrir. Si elle haïssait la famille royale, elle détestait encore plus la famille Viktorsson, ils étaient son pire cauchemar, son mouton noir. « Alors dégage. Mais tu reviendras éventuellement, priant que ta place soit encore libre. » Hedvig se redressa, elle lâcha le balais qu'elle avait pris dans ses mains, et fusilla l'homme du regard avant de s'avancer vers la sortie. « Plutôt crever que de revenir ici. » Et elle partit, elle s'étonna que sa fuite ait été aussi simple, finalement elle savait qu'elle ne leur servait plus à rien, qu'elle était juste cet objet d'insolence qui ne ferait que les défier tout au long de ses services. Elle attrapa son sac, et sans même se retourner s'en alla, tête haute, menton levé.

Une brise fraîche vint caresser ses joues déjà bien rouges, elle regardait l'immensité de l'institut avec une petite lueur d'excitation dans les yeux, celle qui ne vous quitte pas, au contraire, qui reste, qui se développe et qui vous fait ressentir adrénaline et peur à la fois. La blonde s'assit sur les bancs du parc et observa le lac comme la forêt, même si elle n'avait aucun souvenir de son rite de passage, une égratignure marquait son visage, sa joue était encore un peu endolorie, mais elle avait réussi. Pendant quelques secondes elle ferma ses yeux, et les rouvrit seulement quand elle sentit une présence dans son dos. Hedvig se retourna vivement tout en observant l'intrus qui venait de la déranger dans sa détente difficile, mais méritée. Il était là, Igor. Ces yeux, ces mains, cette posture, ce sourire froid, tout, elle connaissait tous ses traits par cœur. Si elle ne savait pas comment lui dire bonjour, elle lui aurait sauté dans les bras et se serait blottie dans ses bras. Mais Hedvig n'osait pas, peut-être que ces années les avaient tout deux changer et à voir la mine de son visage, elle n'osait pas se lever ou même piper un mot. « Qu'est-ce que tu fous là ? » La blonde resta étonnée, avant de reprendre son visage stoïque, celui qui ne laissait passer aucune émotion. « Ca me paraît assez évident non ? » Il s'avança vers elle et se posta droit devant elle, froid, monstrueusement intimidant, mais Hedvig le connaissait trop bien pour avoir peur ou lui montrer qu'il l'effrayait, elle se leva à son tour et l'observa pendant quelques secondes. Elle ne l'avait jamais vu aussi fort, aussi musclé, ou avoir aussi bonne mine. L'institut ne lui faisait que du bien et elle espérait vraiment que cet effet opérerait sur elle. « Tu es très maigre. » Il la regarda de bas en haut, elle eut l'impression d'y voir, pendant une courte seconde de la pitié, avant que son visage ne reprenne ce dégoût habituel qu'il avait lorsqu'il l'observait ou pensait à elle. « J'ai eu quelques mois difficiles. » Elle marqua une petite pause, avant de pencher sa tête vers la droite. « Tu as fui quand ? Je pensais que c'était seulement des rumeurs. » Il rit, il riait avec froideur et arrogance, Igor avait toujours été arrogant, il avait toujours voulu faire croire à Hedvig qu'il était grand et fort et qu'il pouvait la protéger de tout et n'importe quoi. Si au début elle y avait cru, Hedvig ne croyait plus à ce genre de choses, elle était convaincue qu'elle n'avait besoin de personne, seulement d'elle-même et de ses capacités. « C'est sûr qu'après être partie comme une voleuse, tu ne pouvais pas réellement savoir ce m'est arrivé. » C'était plein de rancœur, un sous-entendu à sa fuite, elle ne lui avait pas dit au revoir, mais il devait comprendre, il pouvait comprendre. Il aurait fait exactement la même chose, il serait parti, elle n'avait pas l'impression d'avoir été une lâche, au contraire, elle était partie menton levé. C'était sa liberté qu'elle avait troqué contre la mort de ses parents, elle se l'était récupérée à présent et Igor ne pouvait pas lui en vouloir, pas s'il l'avait réellement apprécié un jour. « Tu aurais fais la même chose. » Elle le fusilla du regard, si Hedvig ne savait pas comment réagir face à de l'affection, elle était encore pire lorsqu'on tentait de la faire culpabiliser pour quelque chose qu'elle ne comprenait pas. « On aurait pu partir ensemble Hedvig, on aurait pu fuir ensemble. J'aurais dû me douter, tout au long de ces années que tu étais une égoïste. » Hedvig recula de quelques pas avant de lever le menton vers celui d'Igor, il n'avait pas le droit, si la jeune fille avait une conscience, elle préférait la laisser enfouie dans son âme et pas à la vue de tous, pas même d'Igor. « Une égoïste ? J'ai passé ma vie à m'occuper de personnes sans jamais penser à moi et à moi seule. Tu ne peux pas me reprocher de m'être pour une fois occupée de moi-même. Si tu voulais fuir, tu n'avais qu'à le dire. » Il leva les yeux au ciel avant de fixer ses yeux dans les siens, il avait l'air blessé, et peut-être qu'il avait raison de l'être, peut-être qu'il avait le droit de lui en vouloir, de voir en elle ce genre de traîtresse qu'il avait dépeint. Il avait l'air d'avoir fulminé pendant plusieurs années, d'avoir attendu ce moment avec impatience. Hedvig se sentait impuissante, il était son ami, son meilleure ami, il avait toujours été là pour elle et maintenant quoi ? « La différence entre toi et moi c'est que j'avais l'impression que tu avais autant besoin de moi que moi j'avais besoin de toi. Je suppose que j'ai eu tort de penser qu'on était une équipe. Au fond j'avais tort sur tout, surtout sur toi. » Il marqua une pause avant de se reculer un peu, il était le point de s'en aller. « Si tu veux t'occuper de toi et toi seule, on a qu'à arrêter de se parler. Tu sais quoi Hedvig, ne m'approche plus, tu es toxique, tout ce qu'il y a de plus dangereux. » Il tourna les talons et tenta de s'en aller, mais Hedvig l'attrapa par le poignet et le força à lui faire face, c'était à elle cette fois-ci de garder une mine froide, stoïque, si il voulait lui faire du mal, il pouvait toujours essayer, mais elle ne lui montrerait pas, pas une seule seconde. « Tu n'as aucun droit de me faire sentir mal. Tu sais combien j'ai souffert, j'ai perdu mon père et ma mère dans cette maison. J'ai tout perdu. Tu ne peux pas, tu n'as pas le droit de me dire ça. » Si elle avait voulu rester secrète, elle était presque au bord des larmes. Si le contact humain la dégoûtait, le contact avec Igor était si naturel, si normal. Il était normal, sa routine, sa sécurité, ou du moins il l'avait été. « Lâche-moi. » Il se défit de son emprise et continua à avancer dans la direction opposée. Hedvig se rassit sur le banc, si elle avait su toute la rancoeur qu'elle aurait pu formé chez lui, elle l'aurait peut-être emmené avec elle. Mais c'était ses années à elle, ses années de liberté et il ne pouvait pas lui arracher ça.

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Serghei Dulgheru
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Âge : vingt-trois eclipses.
Nature du sang : sang-mêlé, les veines brûlantes de haine.
Statut civil : solitaire, un cœur rongé par la vengeance et les ténèbres.
Patronus : un griffon, un patronus symbole d'ambivalence.
Amortentia : une odeur féminine de rose et de baies rouges, celle de ranveig.

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Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée.
Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang.
Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas.
Patronus : lol

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MessageSujet: Re: | do or do not, there's no try.   | do or do not, there's no try. EmptyDim 14 Fév - 18:00

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