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| may i have your attention please ? | |
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i take my decisions Hiboux : 12 Avatar : Freida Pinto Crédits : fae + tumblr Âge : 30 yo. Nature du sang : Pur Statut civil : Célibataire | Sujet: may i have your attention please ? Mer 2 Mar - 23:38 | |
| damayanti sureshi'll never let you go carte de sorcier nom, prénoms : Je m'appelle Damayanti, comme la princesse des légendes hindous. Cette dernière, belle comme un coeur, courtisée des dieux, trouva l'amour en un homme simple et vrai. Elle su voir à travers les enchantements pour discerner le vrai du faux. Un prénom de composition si on me demande mon avis. Je suis issue de la famille Suresh, grande fortune indienne et d'une influence importante en Asie. âge : 32 ans, à la fois femme forte et enfant crédule. date, lieu de naissance : Le 28 mai 1883 à Madras dans la province de Tamil Nadu en Inde. Au cas où vous ne connaitriez pas, il s'agit d'une province au Sud du pays en pleine expansion commerciale et culturelle. Ma famille n'étant pas totalement étrangère à ce succès, elle y est très appréciée. origines : Indiennes, d'aussi loin que je sache bien que des rumeurs nous attribuent du sang anglais et français. nature du sang : Difficile de trouver plus Pur que le sang Suresh en Inde du Sud. statut civil : Célibataire, officiellement. Fiancée officieusement. profession : Professeur de sortilèges, de tir à la baguette et enchantements au sein de l'école Durmstrang don : Je ne possède aucun don en particulier et pourtant, peut être que cela aurait suffit à me faire accepter par mes parents à part entière et non pas comme une vulgaire monnaie d'échange. maison : Celle-ci ne vous dira certainement rien puisque j'ai effectué ma scolarité à l'école des sorciers de Mahoutokoro au Japon. Autant s'arrêter à ça. baguette : Ma baguette est taillée dans le bois d'un cerisier japonais, matériau extrêmement prisé à Mahoutokoro. Elle porte en son coeur un poil de nain, ce qui a orienté et conforté ma prédisposition à l'apprentissage des sortilèges. Enfin, elle mesure vingt-six centimètres et possède des gravures représentants des fleurs de cerisiers. Il s'agit là d'un détail superficiel, comme une partie de moi, mais la symbolique des fleurs se rattache plus à mon côté fleur bleue mais forte. patronus : Mon patronus prend la forme d'un hibou grand duc, majestueux mais perfide et précis. epouvantard : Mon épouvantard... La vision d'une enfant, que je perçois comme ma fille, en robe de mariée traditionnelle indienne, portée par un homme au moins cinq fois plus vieux qu'elle, vêtu d'un costume. Le tout avec mes parents qui rient à gorge déployée tout en applaudissant et en lançant des pétales de fleurs... amortentia : C'est l'arôme de noix de coco qui me frappa en premier, puis une odeur sensiblement plus fleurie, de la rose et enfin, la prépondérance du jasmin qu'elle a l'habitude de tresser dans ses cheveux dès que l'occasion se présente. groupe : Castle On A Cloud |
salveo maleficialumos maximahominum revelio salveo maleficia. quel est votre avis sur le tsar ?Je considère le Tsar comme l'incarnation du pouvoir. Il est somme toute l'équivalent de la reine Victoria à mes yeux. Née sous un régime d'occupation, je vis plutôt bien la régence d'une seule et unique personne désignée par une divinité quelconque. Les croyances hindoues ont toujours fait référence à des déités toutes plus farfelues les unes que les autres mais toujours en étroite relation avec les Hommes. Quoi de plus normal que de considérer son souverain comme désigné par les dieux dans ce cas? Loin de moi l'idée de tenir tête au régent, que je sois considérée comme l'un de ses sujets ou non. que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ?Je ne suis pas particulièrement excitée à l'idée d'enseigner en un lieu où règne discorde et bizutage mais si c'est ce que je dois affronter pour avoir un tant soit peu de reconnaissance alors soit. De part mes voyages, j'ai rencontré des sangs-mêlés parfois plus doués que des sangs-purs mais ils étaient toujours forcés de réprimer leurs talents pour ne pas froisser ceux considérés comme plus légitimes... Je pense me mettre au diapason avec le reste du corps enseignant par rapport au traitement des élèves. Je m'attends à des opinions divergentes, mais ma versatilité devrait me permettre de bien m'intégrer. que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ?Je mentirais si je disais que ça ne me faisait rien. Mais étant issue d'une famille plus qu'aisée, j'ai toujours été habituée à avoir au minimum une nourrice et une suivante. En grandissant, mes parents m'ont même proposé de me faire aider d'un étudiant plus âgé pour mes devoirs mais j'ai rapidement été capable de leur prouver qu'il n'était nullement besoin de tricher me concernant. Aujourd'hui, je n'ai pas d'esclave car je n'estime pas en avoir le besoin, bien que je ne dirai pas non à un peu d'aide pour mes cheveux... quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ?Une question me revient sans cesse... Pourquoi les gens ne se contentent-ils pas de ce qu'ils ont? Décidément, les différences culturelles ne cesseront jamais de m'étonner. Le système des castes dans mon pays est vieux comme le monde et tout le monde s'y complait. Chacun a une place dans la société et ainsi son avenir est tracé. Cela évite aux jeunes personnes de devoir se poser mille et une questions sur le sens de la vie et ce qu'ils peuvent ou veulent faire, qui sont souvent deux choses diamétralement opposées par ailleurs. La résistance, comme dans beaucoup de cas, moldus ou sorciers, ne se termine jamais de la manière à laquelle on s'y attend. La France a connu une révolution, ils ont pourtant retrouver une monarchie une centaine d'années plus tard... Les gens sont fait pour vivre dans un cadre, seuls ils perdent la raison et commettent l'irréparable. ° Je n'ai pas eu d'enfance à proprement parler. Mes parents espéraient un garçon en tant qu'ainé et lorsque je suis venue au monde, la déception fut immense. Ils me le firent sentir, non pas en me traitant comme un garçon, mais plutôt en m'imposant d'être la meilleure dans tous les domaines car c'était bien le moins que je puisse faire pour les soulager du fardeau que je représente. J'étais inscrite au conservatoire de danse moldu, je prenais des cours de bienséance en plus des manières inculquées par ma mère. Je jouais du piano et était première de ma classe à l'école des sorciers japonaise. C'était le bon côté. Le mauvais, c'était mes pieds en sang après une journée de répétition et d'exercices intenses, mes mains ankylosées d'avoir trop longtemps parcouru les touches blanches et noirs, les migraines incessantes à vouloir à tout prix maîtriser les sorts muets... Et puis la douleur, dans tous mon corps. S'ils avaient une fille, elle se devait au moins de maîtriser un don quelconque, sans quoi le déshonneur serait d'autant plus puissant. Alors mon père m'emmenait à l'écart de la ville et il attendait. De mon côté, je tentais de me concentrer, de m'imprégner de l'esprit animal avant de songer à la forme. Comme rien ne se produisait, il me frappait à l'aide de sa ceinture. Je le détestais sur le moment, et aujourd'hui encore par moment je le hais, mais pas pour les mêmes raisons. Je comprends ses motivations, il ne voulait que mon bien, mais il est parvenu à me briser. A m'obliger à grandir avant l'heure. Mais même cette prise de confiance ne me fit pas parvenir à mon objectif.. J'ai toujours pensé que tout travail était récompensé, mais il faut croire que celui-ci ne m'était pas destiné depuis le départ. Mon père m'esquinta à la tâche en vain puisque jamais, le temps où j'ai vécu avec mes parents, je ne parvins à faire changer quoi que ce soit sur ma petite personne. Jusqu'à mes vingt ans j'ai subit les coups et la désillusion de mon père ne faisait écho qu'à la mienne qui grandissait chaque jour, me confortant dans ma normalité et mon exception inexistante.. ° Je porte encore les séquelles de ce traitement aujourd'hui. Que ce soit les cicatrices dans mon dos ou cette maudite carapace façonnée par mes soins, tout est lié. J'agis dans mon propre intérêt mais toujours en poussant mes élèves à se dépasser et à donner le meilleur d'eux-mêmes, peu importe la situation. C'est également de cette enfance bafouée que vient mon désir d'indépendance et l'implication dans mon travail. Dès la fin de mes études, j'ai exprimé la volonté d'être professeur. Les enseignants de Mahoutokoro m'ont encouragé dans cette voie, m'assurant que pour devenir désirable, il me fallait emmagasiné le plus d'informations possibles. Sur leurs recommandations, je pars en voyage initiatique aux quatre coins du monde au sein des écoles de sorcellerie de chaque continent. Au départ simple assistante, parfois même larbin de certains professeurs durant cet apprentissage, j'eus recours aux valeurs de ma famille: humilité mais conscience, silence mais suggestions, invisible mais parfaite. Cela me valu les honneurs dans chaque établissement fréquenté et de nombreux retours de la part des étudiants. Malgré ma réticence à tisser des liens avec ces derniers, leurs compliments m'ont évidemment mis du baume au coeur. Aujourd'hui encore, je m'efforce de ne pas bafouer mes convictions mais l'orgueil est parfois plus puissant maintenant qu'on me propose des postes en tant que titulaire. Les collègues masculins ont encore quelques réticences face aux femmes dans le corps professoral si bien que cela devient essentiel pour moi de démontrer mes compétences, sans quoi on ne me pense pas légitime pour ces postes. C'est donc toujours de manière très cordiale mais affirmée que je m'impose. Mon cynisme et mes sarcasmes sont à l'épreuve des balles, j'invite donc qui se sent de taille à me confronter. ° La personne que je suis en société est loin d’être fidèle à celle que je suis réellement et encore plus loin de celle que j’aspire à être. Toujours en quête de perfection pour rendre mes parents fiers, je ne peux m’arrêter à faire les choses « bien ». Il me faut sans cesse me fixer de nouveaux objectifs, les atteindre et les dépasser pour ressentir une once de satisfaction qui n’est souvent que de passage. Eternelle insatisfaite, je ne me contente de rien et ne prends rien pour acquis non plus. J’ai toujours eu à me battre pour en arriver jusque là et visiblement, je ne suis pas prête de m’arrêter. Aujourd’hui, frôlant le dédoublement de personnalité, je m’efforce de maintenir une certaine prestance en société. L’étiquette indienne étant proche de n’importe quelle éducation noble des cinq continents, il n’est pas compliqué pour moi d’évoluer dans les hautes sphères de la société sorcière russe. Une fois livrée à mes propres démons, je ne réponds plus de rien. Mes mots violents, habituellement réservés à mes élèves ou mes collègues, se redirigent sur ma personne et rien ni personne ne peut les faire taire. C’est une voix qui résonne en permanence dans mon esprit, me sommant de faire toujours plus. M’ordonnant de trouver un nouveau domaine où exceller, où m’évader. Il n’y a qu’en jouant du piano et en dansant que ce misérable subconscient est bâillonné. Alors qu’en réunion, en compagnie d’autrui, il n’y a jamais un geste incalculé, jamais un mot irréfléchi, une fois seule… Les coups de mon père ont trouvé écho en mes litanies incessantes et insultantes. ° Ce que personne ne sait, c’est mon fort penchant pour les contes de fées. Une fois les lumières de la maison familiale éteinte, je lançais un « Lumos » sous ma couette et les lisais encore et encore jusqu’à les connaître par coeur. Qu’ils soient orientaux ou occidentaux, je les connais sur le bout des doigts et me surprends souvent à m’imaginer à la place des héroïnes. Car s’il est bien une chose qui noircisse le tableau encore un peu plus, c’est purement et simplement le manque d’amour. Mon père, comme vous l’avez certainement saisis maintenant, n’était pas le plus aimant des hommes et il incitait ma mère à ne pas s’attacher outre mesure puisqu’il prévoyait déjà de me marier à un occidental riche et puissant capable d’investir à Madras et d’asseoir un peu plus encore sa suprématie sur la péninsule. Bon gré, mal gré, cela a mené à ma vie d’ermite, de vieille fille aussi selon certains. Sans m’étaler outre mesure sur ma vie privée, je n’ai jamais été intime avec qui que ce soit. J’ai rapidement compris que ce n’était pas partout signe de vertus comme on me l’a pourtant confirmé en sortant de l’école. C’est bien rapidement donc que j’ai appris à falsifier, ou du moins à amplifier certaines histoires afin de s’intégrer tout en semant un peu le trouble dans mon auditoire. Tout le monde ayant finalement des histoires plus intéressantes que les miennes, on ne me portait plus intérêt et ce, pour mon plus grand soulagement. ° Depuis mes voyages en revanche, mon émancipation s’est accélérée. Auparavant « choyée » d’une certaine manière par mes parents, se retrouver seule face à des cultures toutes aussi différentes qu’inconnues m’a permis de grandir et de mûrir beaucoup plus rapidement que d’autres. J’ai été en mesure, après un certain temps d’adaptation tout de même, d’emmagasiner tout ce que ces cultures avaient à offrir et de m’en servir partout où j’allais. J’apportai la discipline japonaise à la désinvolture anglaise. Mais j’emmenai l’humour britanniques à l’esprit de fête africain… Cette ouverture à l’étranger ne fut que bénéfique et amadoua pendant un temps toutes mes inquiétudes et mes angoisses. Cependant, une fois l’effet de surprise passé, tout revenait au galop si bien que ce changement de territoire et d’ambiance devint un réconfort plutôt qu’une source de soucis. Tous les détails de rapport entre collègues et de tâches à accomplir étaient alors mis de côté car je savourais l’excitation et priais l’inattendu de déloger mes pensées négatives pour profiter pleinement des merveilles du monde. hominum revelio. Mes mains tirent sans interruption sur les pans de ma robe de sorcier parfaitement ajustée. Ces mêmes mains moites qui, d’ici peu, devraient agiter ma baguette avec dextérité devant mes premiers élèves officiels. Tu n’es qu’une incapable. Comment veux-tu qu’ils te prennent au sérieux lorsque leurs yeux avides de te trouver le moindre défaut se poseront sur ta frêle silhouette, tremblante jusqu’aux os? Autant prendre tes jambes à ton cou, tu éviteras une humiliation publique. Je secoue la tête pour la faire partir, pensant que les centaines premières fois n’étaient pas efficaces mais que celle-ci fonctionnerait peut-être. Peine perdue. Imaginer un seul instant que ma conscience me foutrait une paix royale pour mon premier cours à Durmstrang est aussi réaliste que d’espérer voir un jour un prince charmant débarquer sur son fidèle destrier au beau milieu de la Place Rouge. J’inspire longuement avant de relâcher le surplus d’air et de poser ma main sur la poignée. Tu sais que la première impression ne s’efface jamais. Fais attention à ne pas trébucher ou te prendre les pieds dans ta robe. S’étaler devant ta classe n’est pas vraiment synonyme de rigueur… Je retire ma main et reste en suspend. Pour une fois, elle n’a pas complètement tord. Je peux entendre les brouhaha à travers l’imposante porte de bois et je me doute que les élèves sont déjà prévenu de mon arrivée récente. Rien de tel qu’un petit effet intimidant, rien de bien méchant. D’un simple mouvement du poignet, je formule un sortilège sans le prononcer qui a pour effet d’ouvrir la porte dans un mouvement précipité, la faisant claquer contre le mur de pierre voisin. Les visages stupéfaits se tournent dans ma direction et la voix se tait. L’année peut commencer. pseudo, prénom : goldencorgi âge : (je mets toujours 30secondes à me souvenir de mon âge... 23 ans! pays : France avatar : Freida Pinto inventé, scénario, prédéfini : Inventée crédits : Outlines & WILD HEART. commentaire : gnmkfgnbfgkjb . ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | i take my decisions Hiboux : 12 Avatar : Freida Pinto Crédits : fae + tumblr Âge : 30 yo. Nature du sang : Pur Statut civil : Célibataire | Sujet: Re: may i have your attention please ? Mer 2 Mar - 23:38 | |
| long live the queenIl n'y a pas de champ en fleurs qui n'ait coûté quelques gouttes de sueur. Chapter 1: Rise and Fall « Allez-y, installez vous. Ca ne prendra qu’un instant. » dit-il solennellement. Je m’exécute et m’allonge sur un divan. J’ai l’impression de me voir dans un de ces films américains où la jeune femme se découvre au cours d’une séance chez le psychiatre. Je lisse les pans de ma robe, tentant en vain d’évacuer mon stress par ce geste futile et répétitif. Je regarde par la petite fenêtre et me surprends à me perdre dans la contemplation des arbres qui oscillent au gré du vent. Des oiseaux qui volent et déjouent les facéties de la brise. Des nuages qui glissent paresseusement et bloquent par moment les rayons du soleil, déjà affaiblis par l’équinoxe d’automne. Je sursaute à la sensation du bout de ses doigts sur mes tempes. Il me somme de me détendre et de respirer lentement. Plus facile à dire qu’à faire, bien entendu. Je me redresse légèrement et hoche la tête à son attention. Quelques millièmes de secondes plus tard, c’est un éclair blanc qui m’aveugle et me transperce les yeux. La douleur se répand dans ma tête et manque de me faire perdre connaissance. Malgré le traitement qu’il m’inflige, je sens que c’est mon futur collègue qui me maintient à l’orée de la raison. Mais en suis-je certaine? L’instant d’après, je suis de retour dans le salon de la maison de mes parents. Je viens de rentrer de mes leçons de danse classique au conservatoire moldu et je n’ai qu’une envie, dormir. Je vais en direction de ma chambre, pose mon sac et m’assois sur le lit. Quelques instants plus tard, ma porte s’ouvre violemment, venant s’écraser contre le mur voisin. Je vois mes tableaux et mes jouets trembler, certains tomber au sol. La rage de mon père a toujours été impressionnante et dévastatrice. Je ressens ma propre peur et ma propre angoisse, dix fois plus fort que ce jour maudit. Parce que je sais ce qui suit. Il m’attrape par le bras, me trainant à l’extérieur de la maison, au fin fond de la propriété. Je tente de m’échapper mais mes doigts d’enfant ne peuvent rien contre ses serres d’homme contrarié par la nature. Je me suis toujours forcée à croire qu’il ne m’en voulait pas à moi, d’être née fille… Mais à revivre ces instants douloureux, je me suis fourvoyée une bonne partie de ma vie. Une fois arrivés au milieu de la petite forêt qui constitue notre propriété, il me libère et mes yeux se posent instantanément sur là où était sa prise. Je peux définir sans aucune difficulté les doits de sa main monstrueuse sur mon bras frêle. Les larmes me montent et quand j’ouvre la bouche pour me plaindre, je suis cueillie par une gifle qui me laisse pantoise. L’instant suivant la réalisation de ce qui vient de se passer, je peux sentir la douleur qui irradie mon visage et me prive de sensation. Je tente de refermer ma bouche, mais je ne peux plus rien contrôler. Les larmes coulent d’elles-mêmes, inondant mes joues rougies par la gifle et la colère. Il me regarde avec ce que je sais maintenant être du dégout. « Transforme toi maintenant. » il fait une pause et reprend. « Sois une gentille fille comme ta mère et fais ce que je te demande. » me dit-il avec une fausse douceur dans sa voix qui me donne envie de vomir. Je le toise du haut de mes huit ans et me conforte dans l’idée que, si ma mère avait réussi, alors moi aussi je devrais être en mesure de le faire. Sans piper un mot de plus, je m’exécute. Je me concentre de la seule manière dont je sais le faire. Je ferme les yeux, prends une grande respiration et bloque mon flot de pensées comme la méditation indienne m’a appris à le faire. Mais rien ne se passe. Je sens la frustration monter en moi et abandonne au premier essai. J’ouvre les yeux pour voir mon père en train de retirer doucement la ceinture qui tenait son pantalon. La peur me tord le ventre et je sens la nausée remonter dans ma gorge. Je veux fuir, mais mes jambes sont de coton. Je cherche désespérément un employé de maison qui serait venu chercher du bois ou se reposer à l’ombre, mais personne n’est là. Il me saisit la nuque d’une main puissante, me coupant le souffle et me fait m’agenouiller au sol. Mes genoux s’enfoncent dans la terre malléable alors que mes bras entourent ma taille sanglotante. Le premier coup claque dans l’air avant que la douleur n’emporte mon dos. Le second fait l’effet d’une brûlure saisissante qui élit domicile entre mes omoplates. Les suivantes déchire ma peau d’enfant et, de je ne sais quelle manière, je sens mon dos brûler contre le tissu du divan. Chapter 2: Through sickness and health Les images défilent à une vitesse folle qui me donnent le tournis. Lorsqu’elles finissent par ralentir, je me retrouve à nouveau dans ma chambre à me contempler dans un miroir. Mes mains étirent mon visage dans tous les sens, l’examinant sous toutes ses coutures. Ma mère est dans mon dos, à coiffer mes long cheveux bruns en une natte élégante. Elle ouvre une boîte à bijoux sur ma coiffeuse et en sort plusieurs colliers et bracelets. Je n’ai pas mon mot à dire aujourd’hui. J’ai 16 ans et ce sont mes fiançailles. Mes mains sont moites et tremblantes alors que celles de ma mère sont habiles et stables pendant qu’elle me maquille. Je me mords l’intérieur de la joue, retenant mes larmes pour le moment où je serai finalement seule. Mes doigts s’entrelacent et ma tête tombe, je contemple mon sari et regarde à nouveau ma mère. Jusqu’à présent, je m’étais persuadée à avoir vu dans larmes dans ses yeux mais à la voir maintenant, je constate qu’aucune émotion ne traverse son visage. Je ne suis qu’une monnaie d’échange, un contrat commercial, une offrande à l’occident. Une fois prête, je me lève et m’avance vers la fenêtre de ma chambre. Je vois tout une foule s’affairer dehors. Ce n’est pas un mariage officiel, mon futur époux devant honorer ses engagements avant de pouvoir définitivement m’avoir à son bras. Et pourtant, l’évènement interpelle le gratin de Madras. Personne ne raterais pour rien au monde une fête donnée chez les Suresh. Etant jeune, je me complaisais à croire que c’était en mon honneur, qu’on venait me féliciter pour mes notes excellentes et pour ma beauté. Je passais plus de temps perchée dans ma chambre à parler seule, à m’imaginer des conversations avec le consul britannique, à me faire courtiser par les meilleurs partis sorciers de la ville. Puis, je me décidais à descendre rejoindre la foule et à devenir invisible aux yeux de tous. Bousculée par mes propres géniteurs, il n’y avait que le personnel qui avait un tant soit peu d’égard pour ma personne. Mes professeurs, toujours invités, faisaient parfois le voyage et ne tarissaient pas d’éloges sur mon attitude à l’école, mais cela n’intéressait que guère les invités. Cette fois-ci, c’est bel et bien moi la vedette de cet évènement. Je retourne auprès de ma coiffeuse et saisis le bijou de tête que ma mère me tend, le place correctement et jette un dernier coup d’oeil dans le miroir. Pour la première fois, je me trouve belle. Mais quel est le prix à payer? Je descends les marches de l’escalier principal et entre dans le jardin. Une tente colorée est dressée au beau milieu de la pelouse et tous les regards se braquent sur moi. Je baisse la tête et soupire mélancoliquement, me préparant à dire adieu à ma pseudo liberté. Mes pieds foulent le sol presque aveuglément. Mon corps est seul car mon esprit s’envole, loin de cette scène absurde qu’il refuse de reconnaître. Suivie de près par mes parents, je rejoins la tente où est déjà assis mon futur époux. Relevant délicatement mon sari d’une dizaine de centimètres, je viens m’agenouiller à ses côtés, refusant de poser un regard sur celui qui partagera la fin de mes jours. Le maître de cérémonie lit les textes sacrés et s’avance avec un coussin entre les mains sur lequel trône deux alliances en or dont l’éclat est presque aveuglant. Du coin de l’oeil, je vois sa main s’avancer et saisir un anneau délicat représentant un serpent se mordant la queue et dont l’oeil est remplacé par un rubis, ma pierre préférée. Je sens les battements de mon coeur qui s’accélèrent à tel point que je suis presque persuadée que le tissu de ma robe trahit lui aussi mes émotions. Alors qu’il tend sa main avec une délicatesse étonnante, je lève les yeux et pose mon regard sur lui pour la première fois. Blond aux yeux bleus, il a tout d’un ange tel que je me les suis toujours représentés. Un sourire presque timide étire ses lèvres et je pense même le voir rougir légèrement lorsque je lui souris en retour. Le costume traditionnel indien lui sied à la perfection et laisse deviner une carrure imposante et musclée. Un sentiment de tranquillité m’assaille et je sens mon corps se détendre et mon esprit revenir à lui. Je glisse ma main dans la sienne alors qu’il passe l’anneau à mon doigt et frissonne lorsque je le sens assurer son emprise un peu plus fermement, permettant ainsi à nos peaux de s’effleurer. Mes yeux quittent les siens sous l’effet de l’embarras et je retire rapidement ma main de la sienne. Je prends un instant pour revenir à la raison avant de saisir son anneau, plus épais et plus brut mais également incrusté d’un rubis. Je saisis sa main et lui passe la bague au doigt, bravant les recommandations de ma conscience en reposant à nouveau mon regard sur son visage parfaitement dessiné. A nouveau, je ressens les papillonnements jusque dans mon ventre, encore allongée sur le divan. Chapter 3: Scratch any cynic and you will find a disappointed idealist. J’entends mon collègue me murmurer qu’il a bientôt fini et je vois à nouveau des images de ma vie défiler follement devant mes yeux. Je comprends ce qu’il se passe mais je sais aussi que même si je voulais l’en empêcher, je n’était pas en mesure de lui faire face. Le flot s’arrête enfin sur une scène que je reconnais de suite et que je ne tiens pas à exposer. Je lutte pour faire repartir la séquence mais rien n’y fait, le souvenir se déroule comme si de rien n’était. Plus je me débats, plus la douleur est intense et les émotions liées à cette mémoire sont vives. Je me retrouve à Paris, il y a quelques années seulement, dans l’appartement que j’occupais alors que j’enseignais à Beauxbâtons. Les rideaux sont tirés, les lumières sont éteintes à part la lueur d’une bougie qui éclaire la table où je suis affalée. Je relève difficilement la tête et ma vue se brouille immédiatement. Ma main, comme un réflexe, saisit la bouteille de vin la plus proche et la porte directement à ma bouche. L’autre tient une lettre que j’ai déjà lu mille fois, espérant à chaque instant en changer le contenu. « Damayanti,
Nous venons d’apprendre par le consulat britannique que l’homme que nous t’avons choisi pour époux ne semble pas être celui qu’il prétend. Il aurait d’ores et déjà eu des relations avec nombre de maîtresses, tantôt convenables, tantôt rémunérées pour leurs services. Cependant, sa richesse étant celle qu’elle est et son influence n’ayant d’égal que sa puissance, nous avons décidé de maintenir votre mariage, et ce dès que tu auras terminé ton apprentissage et trouvé un poste de titulaire à Durmstrang, comme nous le souhaitons. Le rompre entraînerait des questionnements de la communauté et nous ne pouvons nous le permettre.
Nous te demandons de respecter nos choix et de ne pas attirer sur nous plus de honte que nous en avons déjà eu grâce à toi. »Les cadavres d’une dizaine de bouteilles jonchaient le sol de mon appartement. Si l’état d’ébriété me quitte le matin venu, je passe le plus claire de mes soirées à noyer mon chagrin dans l’alcool. Ce mode de décompression m’a été inculqué par les piliers de bars parisiens et j’avoue ne pas en être déçue. Depuis cette époque je traîne une certaine addiction à l’alcool que je préfère qualifier d’attachement. Celui que je prenais pour mon prince charmant n’est autre qu’un vulgaire homme politique assoiffé de luxure et de pouvoir. Quelle imbécile tu as été franchement. Croire un instant qu’un homme allait tomber éperdument amoureux de toi. Non mais vraiment! Mes yeux s’écarquillent et des larmes en coulent, comme beaucoup d’autres avant elles. O h, mais tu peux pleurer mon enfant… Ce n’est pas tes joues bouffies et tes yeux rouges qui vont les faire accourir au galop, tu peux me croire. Je me lève et jette la bouteille contre le sol, envoyant des centaines de bris de glace voler dans la pièce. Mais vas-y ma chérie, énerve toi contre toi-même. Réfléchis de quoi tu auras l’air quand les voisins viendront te demander ce qu’il se passe. Pauvre sotte, même pas capable de garder le seul homme qu’on lui présentera de toute sa vie. Mes mains attrapent mes cheveux et les tirent puissamment mais rien n’y fait. Cette voix cynique et mielleuse s’impose à mes oreilles sans que je puisse la contrôler. Je me dirige vers la cuisine et parviens à trouver une autre bouteille encore pleine, par surprise. Je l’ouvre rapidement et en bois plusieurs gorgées. Bois, bois, bois… Je continue et peu à peu, la voix s’éloigne. Je pose la bouteille au sol, près de mon lit et m’y allonge lourdement. Les mains de mon collègue se retire doucement de mes temps suintantes alors que je me lève précipitamment pour sortir de son bureau. D’un coup de baguette, il fait se fermer la porte et me rejoins. Sa main se pose sur mon épaule d’un geste qui se veut réconfortant et il me sourit. Tu ferais mieux de ne pas t’éterniser, sinon adieu le poste de Durmstrang. Je baisse la tête et lui assure que cette période est terminée. Il acquiesce et m’explique qu’il est trop fatigué pour continuer mais qu’il prendra le temps de vérifier une prochaine fois. Ce qu’il ne fit jamais, heureusement pour moi. ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | maison de frigg Hiboux : 77 Avatar : danielle campbell Double Compte : raya la louve, Crédits : @bé my moon and stars (sweet nothing, avatar) + @tumblr (gif profil) Âge : twenty-three yo. Nature du sang : pureblood, not that matters anything anymore. (royal blood running through her veins, daughter of ilyah bytchkov) Statut civil : gift to the hirvonen from the tsar himself, she's now engaged to raafael hirvonen. Patronus : opaloeil des antipodes, dragon à la stature et à la grâce légendaire. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Mer 2 Mar - 23:48 | |
| alors freida, je l'aime d'amour. j'aime beaucoup ton pseudo bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. si tu as la moindre question, n'hésite pas à me mpotter moi ou un autre membre du staff. |
| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | | | | bitch queen Hiboux : 388 Avatar : lily james, la déesse. Double Compte : leonid et torvald les bgs. Crédits : -av/@tellers. -gif/tumblr (signa) et ivana d'amûr (profil) Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée. Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang. Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas. Patronus : lol | Sujet: Re: may i have your attention please ? Jeu 3 Mar - 2:45 | |
| ah le personnage débarque enfin. ton avatar a tellement quelque chose d'envoûtant. bienvenue et bon courage pour ta fiche. |
| | | maison de sigyn Hiboux : 135 Avatar : holland roden Double Compte : alexa, raafael et ivar Crédits : hepburns (avatar) Âge : vingt-trois années à écumer la terre de ses ancêtres. Nature du sang : mêlé malgré l'ascendance royale. Statut civil : coeur de glace. Patronus : une biche. Amortentia : une odeur de pluie, de parchemin et d'un parfum bien particulier. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Jeu 3 Mar - 3:20 | |
| freida bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche |
| | | membre du mois Hiboux : 742 Avatar : max irons Double Compte : ulrich la vipère Crédits : sweet nothing, the queen bé (avatar) & dailymax (tumblr) Âge : vingt cinq hivers sanglants. Nature du sang : sorcier dont le sang est mêlé, sacrilège pour les tous puissants. Statut civil : coeur de glace, si autrefois, des sentiments commençaient à naître et qu'un feu s'emparer de lui, il n'y a plus rien aujourd'hui. Son esprit est vide et ses sentiments, inexistants. Patronus : son patronus prend la forme d'un tempétueux et indomptable serval. Amortentia : l'odeur de pluie, et de bois mouillé comme de la camomille, un souvenir d'autrefois, un souvenir sous une couche épaisse de brouillard nébuleux. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Jeu 3 Mar - 11:29 | |
| le choix d'avatar est parfait et j'aime beaucoup le pseudo sureeesh comme dans heroes bienvenue |
| | | maison de skadi Hiboux : 67 Avatar : sophie turner. Double Compte : aucun. Crédits : avatar : jade, code : endlesslove Âge : vingt-trois ans. Nature du sang : le sang pur mêlé par celui de la mère, cette abomination emprisonnée dans ses veines. Statut civil : le coeur seul, le corps accompagné, parfois, sans que jamais elle ne s'abandonne. actuellement en couple avec Mikhail Azarov, énigmatique relation qui se joue dans l'ombre. Patronus : le caracal au regard aiguisé, tardivement apparu dans les gerbes argentées. Amortentia : l'odeur électrique d'un soir d'orage, des gouttes de pluie s'écrasant dans l'herbe, assortie des notes poussiéreuses coincées entre deux pages d'un livre. ses premiers pas à l'air libre dépourvus de ses chaînes. | | | | bitch princess Hiboux : 952 Avatar : kristen stewart. Double Compte : runa vasara. Crédits : avatar ©myself ○ gif from chrisevams (tumblr) ○ sign made by vivi la gueuse ○ lyrics by halsey. Âge : vingt cinq ans. Nature du sang : le sang qui coule dans ses veines est vu comme honteux et quelque chose qu'il faut caché sous peine de voir sa liberté s'envoler. Statut civil : son coeur a battu pendant de longues années au même rythme que celui de son maitre, aujourd'hui, il essaie de trouver sa propre mélodie, partagé entre deux nobles au sang pur. Patronus : un renard polaire, un animal fugace et impossible à attraper. Amortentia : l'étrange odeur de la poudre, du lilas, de la foret et de la mer. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Jeu 3 Mar - 13:39 | |
| Quel choix original. Bienvenue parmi nous, hate d'en lire plus sur ton personnage. |
| | | i take my decisions Hiboux : 12 Avatar : Freida Pinto Crédits : fae + tumblr Âge : 30 yo. Nature du sang : Pur Statut civil : Célibataire | Sujet: Re: may i have your attention please ? Jeu 3 Mar - 16:04 | |
| vysenia ; merciii c'est la première fois que je la joue, j'espère qu'elle me portera "chance" si on peut dire sofiya ; d'un côté, je suis bien contente que ton choix se soit porté sur une autre merci hedvig ; on me surveillait? merciiii freyja ; la belle Holland merciii andreï ; merci pour ces compliments j'avoue que j'ai pas trop poussé la réflexion pour le nom de famille sonnie ; oooooow merci pour tes encourageements ekaterina ; je ne peux que te retourner le compliment, j'adooooore alycia |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Jeu 3 Mar - 16:12 | |
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| | | bitch queen Hiboux : 285 Avatar : dylan o'brien. Double Compte : yagor, svea. Crédits : mine. (avatar) myself. (signa) Âge : vingt-trois eclipses. Nature du sang : sang-mêlé, les veines brûlantes de haine. Statut civil : solitaire, un cœur rongé par la vengeance et les ténèbres. Patronus : un griffon, un patronus symbole d'ambivalence. Amortentia : une odeur féminine de rose et de baies rouges, celle de ranveig. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Ven 4 Mar - 17:08 | |
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| | | maison de skadi Hiboux : 79 Avatar : lily collins. Crédits : ice and fire (av) alaska (sign). Âge : vingt trois ans en enfer. Nature du sang : half bloody hell. Statut civil : le palpitant apeuré. Patronus : un chevreuil, la douceur, la nature et l'évasion des bois. Amortentia : une odeur masculine, piquante et sucrée, un mélange de vodka pur feu et de chocolat, le parfum de serghei. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Ven 4 Mar - 19:11 | |
| elle est trop belle. bienvenue sur le fo. |
| | | maison de sigyn Hiboux : 404 Avatar : poppy drayton. Crédits : redwyne aka ivana la blg (avatar) & (gif de profil), brynhildr aka inka le kk (bannière). Âge : vingt-trois années, années qui ne lui appartiennent pas, plus. Nature du sang : un sang impur, un sang rejeté. il est mêlé, il est rouge et il lui est indispensable. hedda le hait, persuadée qu'il s'agit de la raison de sa condition. Statut civil : célibataire, fidèle à yador pour toujours et à jamais. infiniment sienne, désespérément seule. Patronus : un cygne, il est blanc et majestueux, aussi pur qu'hedda. Amortentia : une odeur de rhum mélangée à celle du bois, le parfum de yagor enivre ses narines. | | | | i take my decisions Hiboux : 781 Avatar : natalie dormer. Double Compte : inka vasara. Crédits : princess rover (avatar). Âge : тридцать лет. (trente ans). les âmes dans le creux de ses mains, les neiges sur la chevelure d'idunn. Nature du sang : нечистой крови (sang impur). la crasse qui arpente les pavés. Statut civil : неженатый (célibataire). à tous, à chacun, jamais à sa propre personne. Patronus : бестелесный (incorporel). l'incapacité à exceller dans le sortilège, l'inutilité de s'en servir. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Lun 7 Mar - 16:37 | |
| Non mais alors ce choix et ce que tu comptes faire du personnage... Je. Suis. Fan. Bienvenue par ici et bonne chance pour la rédaction de ta fiche ! Si tu as des questions, quelles qu'elles soient, n'hésite pas à me contacter par mp, moi ou un autre membre du staff. |
| | | Invité | Sujet: Re: may i have your attention please ? Lun 7 Mar - 17:10 | |
| freidaaaaa bienvenue |
| | | i take my decisions Hiboux : 12 Avatar : Freida Pinto Crédits : fae + tumblr Âge : 30 yo. Nature du sang : Pur Statut civil : Célibataire | Sujet: Re: may i have your attention please ? Ven 11 Mar - 23:00 | |
| anastasia ; merci j'espère avoir comblé tes attentes concernant mon perso serghei ; merci pour tout ranveig ; très joli prénom merci ! hedda ; tiens j'ai regardé les deux-trois premiers épisodes de la série où joue Poppy, faudrait que je continue! Merci nyx ; j'espère que tu aimerais ce que j'ai fini par en faire! kristian ; mathias merci! Je pense avoir rectifier ma fiche pour effacer les traces du don que je n'ai pas eu, merci de me signaler si ce n'est pas le cas! |
| | | i am a new member Hiboux : 27 Avatar : queen daenerys. Double Compte : yagor, serghei. Crédits : mine, tumblr. Âge : vingt-quatre années. Nature du sang : mêlée, damnée. Statut civil : un cœur seul. Patronus : une vouivre. | Sujet: Re: may i have your attention please ? Sam 12 Mar - 14:14 | |
| bienvenue sur durmstrangembarquez pour stolytsia et l'institut Félicitations, tu viens d'être validé Tu fais désormais officiellement partie des membres du forum. Avant toute chose, laisse moi te dire quelques mots sur ta fiche : Daya est un personnage intéressant dans le sens où elle a touché à beaucoup de cultures. Puis elle est également touchante de par son passé. Je te valide. . Maintenant que tu as un joli rang et une couleur sur ton pseudo (si c'est pas la classe ), tu dois remplir les registres pour y inscrire ton personnage. Il faudra tout d'abord vérifier que ton avatar est bel et bien inscrit dans le bottin. Si ce n'est pas le cas, n'hésite pas à contacter un membre du staff qui l'ajoutera le plus vite possible. C'est la même chose si ton personnage a un don. Il est toujours préférable de vérifier que ta place est bien réservée dans l'annexe des mutations magiques. Ensuite, comme tu dois sûrement t'en douter, tu devras recenser ton personnage dans les différents registres du forum. Si ton personnage étudie à Durmstrang, il faudra le signaler dans le registre des élèves. N'oublie pas de recenser son ordre s'il en fait partie. Tu devras aussi veiller à recenser ton patronus afin d'éviter qu'il ne soit pris. Si ton personnage exerce une profession ou qu'il est en stage dans la capitale, n'oublie pas de poster dans le registre des métiers. Et voilà, tu as terminé ! Tu peux désormais aller créer un scénario ou encore un lien préféfini. Tu peux aussi poster une fiche de liens et en demander aux autres membres. Pour finir, n'hésite pas à flooder Nous te souhaitons un très bon jeu sur le forum N'hésite pas à contacter l'équipe administrative si besoin ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | | Sujet: Re: may i have your attention please ? | |
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