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| | this is my kingdom come. (tv) | |
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maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:17 | |
| torvald viktorssonsaid i love you, and i always will, i wish you could stand still carte de sorcier nom, prénoms : Le calvaire du gamin était de devoir apprécier sa famille, le sang qui lui coule dans les veines et ces idées froides, inébranlables. La torture, la mort, le besoin d'accabler un peuple, les pauvres, d'infliger la mort. Les Viktorsson ne sont qu'un douloureux souvenir, un moment de sa vie où il a voulu appartenir à leurs rangs, où il a voulu leur ressembler, être des leurs, un nom de famille signe de fierté, comme de confusion malsaine. Il veut rendre son père fier, mais souffre de l'influence des autres, celle qui le pousse à rompre tout lien avec sa famille, avec ces Purs, avec ces mécréants. Son prénom est dansant, chantant comme une mélodie douce, Torvald, le prénom des rois, des braves chevaliers, des tueurs de dragons. Mais qu'est-ce qu'il est lui? Il est dans l'ombre de son père, le gamin qui n'a jamais réussi à le rendre fier. âge : Jeune âme voguant sur les terres sorcières, il a toujours eu l'esprit vif, mais enfantin. Voulant vivre dans un monde coloré et idéalisé, il a toujours fait moins que son âge le gamin, vingt-deux ans, vingt-deux ans qu'il foule les pavés de Stolytsia, vingt-deux ans d'existence qui ne font toujours aucun sens. date, lieu de naissance : Il se rappelle des brises fraiches, du fromage frais, des rires des enfants honnêtes, du soleil brûlant à peine sa peau pâle, il se souvient de ces choses, mais il n'était que gamin, c'était des vacances, de beaux moments, des souvenirs photographiés dans sa mémoire. Il a vu le jour à Stockholm, et n'y retourne que très rarement, mais ses jours là-bas, ont été les plus beaux de sa vie. Il a vu pour la première fois ce monde cruel un douze octobre, un automne doux, mais frais. origines : Ses origines lui viennent de son pays, de sa langue maternelle, de cet endroit où il rêve pouvoir retourner, la Suède, si sa famille s'est expatriée à Stolytsia, il n'a pas oublié, il n'a pas oublié ses racines et le canton d'où il vient. C'est son enfance, son sang, sa maîtrise, la maîtrise de pouvoir croire qu'un jour il y retournera vainqueur de ses propres peurs. nature du sang : Ultime châtiment, peu fier, peu heureux, même malheureux de devoir se justifier par son sang, Torvald est un Pur, de cette famille qui esclavagise les peuples minoritaires, ça serait une honte pour lui d'accepter ses propes idéaux, la liberté de son esprit, la révolution dans ses mécaniques folklores. Un sang pur, mais souillé par des idées, par des idées libératrices, par un amour destructeur, par une lueur d'espoir encore refoulée. statut civil : Le coeur saigne, car il ne peut obtenir ce qu'il veut. Si Torvald est fiancé, il l'est seulement pour son père, pour ne pas lui faire honte, mais surtout pour le rendre fier, lui obéir. Même si cette idée le révulse et qu'il n'aimera jamais la pauve malheureuse qui l'épousera, il pense faire bien, parce qu'au fond ce n'est qu'un gamin. Il est amoureux Torvald, oh oui, qu'est-ce qu'il est amoureux. Il ne vit que par elle, que pour ses yeux, et si ce n'était pas blasphème de vouloir frôler ses lèvres, il se serait déjà enfui dans ses bras. profession : Aucune profession au compteur, maigre ambitieux quant à son futur, Torvald ne calcule que par le présent et ne se projette pas, il ne le fait pas, parce qu'il a peur. Il a néamoins commencé un stage à la capitale, il travaille avec les magistrats, conseil de son père, qu'il ne réfute pas, mais qu'il hait. années d'étude : Quatre années qu'il foule les pavés de l'institut, quatre années qu'il se torture l'esprit pour être à la hauteur, rendre sa famille fière qui ne fait que l'enterrer plus profondément. Torvald est actuellement en quatrième année espérant pouvoir passer rapidement ses examens. spécialisation : Erde, la terre, son pied-d'attache, sa passion pour la lecture et la recherche, il n'est pas encore spécialisé, mais ce serait la fillière qu'il viserait, son père voudrait le voir dans le wasser, l'eau la plus profonde, qui le noierait sans hésiter une seule seconde. maison : Il est brave Torvald, il est brave, mais il est lâche, lâche quand il s'agit de s'imposer, d'imposer ses idées et ses désirs. Il est malicieux Torvald, mais pas hypocrite, il est franc, et ne sait pas vraiment mentir. Il est créatif Torvald, oui, il aime la musique, il aime écrire, il aime la peinture, particulièrement la peinture. Il est dans son monde, dans sa bulle, extraverti et impulsif, il ne réfléchit jamais et tourne souvent en rond, cherchant à attraper sa propre queue. C'est un artiste, un scientifique de l'art, les couleurs s'extasiant sur ses toiles. Baldr, sans hésitation, la maison qui l'a accueilli et qui a réussi à l'épanouir malgré un début difficile. baguette : sa baguette mesure vingt-neuf centimètres et est faite de bois d'abricot. Elle puise sa force de la plume d'un corbeau. patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. epouvantard : son épouventard est le dur reflet de son père, cet homme qu'il croit respecter, mais qui l'effraie tant, qui l'empêche de suivre son instinct, et ses idées. Un homme qui lui fait peur, qui bouffe toute son énergie. Un homme qu'il hait, comme il aime, il l'aime parce que Torvald ne peut pas le repousser, il est la seule barrière à son bonheur, ou peut-être que cette barrière c'est lui-même. Au fur et à mesure, l'épouventard prend la forme du jeune homme, comme s'il se transformait en cette créature avide de sang qu'est son père. amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. groupe : castle on a cloud, pensant que les idées de son père sont les siennes, il n'a pas réellement réfléchi à ce qu'il voulait lui-même, bien au fond, il est pour la révolution, pour Ana, pour toutes ces choses, mais il est enfermé, enchaîné aux décisions du patriarche et de son sang. | salveo maleficialumos maximahominum revelio salveo maleficia. quel est votre avis sur le tsar ? Le tsar est un homme comme tous les autres, et même si Torvald n'est pas toujours en accord avec ses idées et sa manière de régner, il n'a pas le droit de poser des mots sur ses pensées. Il veut une démocratie, fasciné par la France et l'Angleterre, ce régime tsariste l'écoeure, lui donne envie de fuir, mais les idées de son père, celles avec lesquelles il a essayé et réussi à endoctriner son fils, sont toujours présentes, trop présentes. Si Torvald veut s'en détacher il n'y arrive pas, aux yeux de tous il admire le Tsar, il admire ses prises de décisions, sa folie, sa violence, il hoche de la tête comme un suiveur, comme le lâche qu'il est, ne voulant pas opter pour la vérité pure et dure. que pensez-vous de l'entrée des sang-mêlés à durmstrang ? Il a adoré l'idée dès qu'il l'a entendu, ça lui a redonné espoir, espoir de pouvoir passer plus de temps avec Anastasia, de pouvoir apprendre à ses côtés et aux côtés de personnes qui ont d'autres opinions, d'autres manières de voir le monde, de le remarquer, de voir la souffrance qu'ils ont pu vivre, celle qui était si injustifiée. Torvald n'a jamais donné cet avis, il a toujours haussé les épaules sans dire un mot, pourtant il pensait, il croyait en un changement, une meilleure vie. que représente l'esclavage des sang-mêlés pour vous ? On l'a plusieurs fois forcé à torturer, à fusiller du regard les esclaves, son père l'a déjà forcé à taper, torturer un individu innocent. L'esclavage l'a toujours écoeuré, ça l'a toujours révolté, mais son esprit lui a toujours ordonné de se taire, de la fermer et d'hocher de la tête. Il est amoureux d'une esclave, il a passé la plupart de son temps à leurs côtés, sans jamais ressentir le dégoût que ses parents ont tenté de lui inculquer. Pourtant, Torvald a toujours été immunisé à cette haine, mais il n'est pas prêt à agir, à provoquer un changement malgré la position de sa belle, malgré la position de personnes qu'il connaît, auxquelles il est attaché. C'est sûrement sa lâcheté qui l'empêche, qui l'empêche de les aider. quelle est votre position vis-à-vis de la résistance ? Mitigé. Il voudrait pouvoir aider si seulement il mettait des mots sur ses idées. Mais la peur d'agir le tétanise, il aimerait pouvoir aider, agir pour une bonne cause, mais Torvald a toujours cru que les idées de son père étaient celles à suivre. Son père, son modèle, celui qui l'a manipulé à croire au diabolique Mêlé, à l'esclavage. Mais Torvald est un utopiste, un valeureux chevalier, un naïf qui voudrait croire que la résistance pourra provoquer des changements, la paix est vibrante, fragile, et pourtant, pour une fois dans sa vie il est convaincu que le sang et seule la violence pourront régler ces problèmes, de racisme, cette horreur. Mais, il préfère la regarder de loin, il préfère se retenir, ne pas regarder de l'avant ou de l'arrière, rester positionner dans les idées de sa famille, même si ce ne sont pas les siennes. Si Torvald s'efface complètement en présence de son père, il rejette pourtant une aura charismatique, un sens de la joie et de l'optimisme, une certaine présence solaire qui vous agace ou vous fait rire. Il a toujours le mot pour rire, pas vraiment moqueur, il utilise pourtant merveilleusement bien l'auto-dérision, humour que son père n'a d'ailleurs jamais compris. ✧ Il a réussi à entrer dans l'ordre des Ondines, peu d'hommes peuvent y accéder, mais il a réussi à passer le pas de la porte avec fierté. Fascination pour la France, pour ce pays libéré, artiste, libertin qui lui provoque une certaine jalousie. Il ne s'efface pas à Durmstrang, même s'il reste discret quant à ses opinions politiques, il se débrouille plutôt bien lors d'un débat et peut clouer le bec aux plus impétueux. ✧ Discret, mais bien présent, Torvald aime tout savoir, il aime être au centre des quelques commérages, jamais pour réutiliser les secrets, seulement pour pouvoir en discuter et écouter siffler les rumeurs dans ses oreilles innocentes. ✧ on le dit naïf, mais Torvald préfère utiliser le mot utopiste, il aime croire en un monde meilleur même s'il est confiné aux idées de son père et de sa famille. Des idées qu'il a adopté à sa naissance sans même broncher, même si les mécaniques de son cerveau lui disent de les rejeter. ✧ ce n'est pas un révolutionnaire, mais il croit en la résistance, en ce résistance qui explose, implose sous les coups, les mauvais coups du gouvernement. Il n'oserait pourtant jamais le dire à haute voix. ✧ Il voue un respect indescriptible à son père, qu'il déteste pourtant en même temps. Torvald a toujours été tiraillé par le patriarche et par ses propres pensées. ✧ Extraverti, Torvald n'a jamais eu de mal à se faire des amis, il vient d'une famille importante, une famille affirmée et parfois intimidante, il a donc un réseau social plutôt grand. Même s'il compte ses vrais amis sur les doigts d'une main, il n'a pourtant aucun mal à tenir son sourire face à une personne qu'il n'apprécie pas vraiment. ✧ Très maladroit dans ses mots, mais plutôt franc, son honnêteté lui a plusieurs fois jouée des tours, notamment quand il s'agit d'insulter une personne lors de grandes fêtes organisées par son père. ✧ Aux yeux de sa famille il est une déception, chose qu'il oublie quand il est loin d'eux, mais sentiment qui revient trop vite lorsqu'il les revoit tous. hominum revelio. La grotte était humide, il était encore essoufflé, essoufflé de sa dernière épreuve. Il entra de s'attendant absolument pas à faire face à son père. Cet homme dont il avait peur, mais qu'il disait aimer, qu'il disait admirer et apprécier. Mensonges, perfides mensonges. Le garçon s'approcha de la créature, il savait qu'il faisait face à une illusion, que son père n'était pas là, que même si sa plus grande peur se métabolisait en son patriarche, en son maître, il n'était pas réel. Pendant quelques secondes, une courte perte de pensées, il pensa à torturer l'homme qui n'était pas réellement l'homme. La baguette leva, il s'approcha encore un peu, les cheveux de son père devinrent plus longs, plus blonds, son visage s'attendrit, s'apaisèrent. L'homme avait une baguette dans la main, une créature brune à ses pieds, une créature recroquevillée par peur, par la peur de la torture. L'homme devint de plus en plus grand, les cheveux bouclés, les yeux bleus, il se revoyait, il se reconnaissait. Il était là, un sourire cruel posé sur les lèvres, prenant du plaisir à torturer cette pauvre fille, à torturer cette esclave. Et soudain l'esclave prit le visage d'Anastasia, Torvald fît un pas en arrière et tomba presque à la renverse. La chose qui lui ressemblait tant, tendait sa baguette en direction de la brune, le blonde reprit le court de ses pensées, et attrapa sa baguette avant de se souvenir du sort pour neutraliser un épouventard. « Ridikulus. » Ce n'était pas la première fois qu'il faisait face à ce spectacle macabre, à cette phobie, à cette peur. Il déglutit, et regarda l'épouventard se transformer en simple mannequin, il s'appuya, ou plutôt s'écroula contre le mur derrière lui, et respira le temps de quelques secondes. pseudo, prénom : ice and fire., manon. âge : dix-huit ans jaja pays : deutschland. avatar : toby regbo; inventé, scénario, prédéfini : inventey. crédits : oam et tumblr pour les gifs. commentaire : . ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:17 | |
| soum issionpower is a ladder Le gamin riait à s’époumoner, il riait parce qu'il voyait ces gens s'animaient autour de lui, des sourires qui se baladaient, des cœurs emplis de joie. La joie. Torvald était la joie de vivre, le gamin aimait rire, s'il devait en faire son métier, il excellerait. Mais papa ne voudrait pas non, papa voudrait qu'il fasse de la politique, mot encore incompréhensif aux oreilles naïves du garçon, lui voulait jouer, il voulait crier, courir, se cacher, attraper, tirer les cheveux des filles qu'il trouvait jolie, puis crier encore avant de se laisser cajoler par sa nourrice. Il regardait les gens passer, les gens l'observer, voir en lui cet enfant fragile qu'il était, la bonté animée, la bonté vivante, la joie, la susceptibilité, son charisme solaire, enfantin, mignon, miroitant l'innocence mais pas la béatitude. Puis son regard vogua, il vogua sur une chevelure brune. Sur une fille. La plus belle fille qu'il n'avait jamais vu. Il se pencha sur sa chaise et continua à l'observer, à la regarder s'animer, à la voir s'occuper de ses tâches ménagères, esclave, interdit, on le fouetterait pour cette insolence, pour l'insolence d'avoir posé ses yeux sur ceux de cette fille, de cette gamine. Mais c'était comme un sort envoûtant, comme une magie cantatrice. Il avait l'impression d'avoir été frappé par l'éclair, par l'orage tout entier, si on l'avait pincé il aurait cru encore rêver. Elle était belle, fragile, mais gracieuse. Si gracieuse. Belle, belle comme jamais personne. Torvald avait déjà vu des jolies filles, mais pas comme elle, elle, elle était spéciale. Elle avait ce quelque chose, ce charme, cette douceur, comme cette force, la force de survivre, de voir un monde cruel défiler sous ses yeux sans perdre son sourire. Parce qu'elle souriait la gamine, elle souriait à un garçon un peu plus grand qu'elle, un garçon qu'il supposait être son frère. Elle voulait rire la gamine, elle voulait rire comme lui. Sans plus attendre, comme prit d'une soudaine curiosité infrangible, il s'avança vers elle. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient, un rêve, un rêve éveillé. Il décrocha une petite marguerite et la fit tournoyer dans ses doigts, il s'approcha de la gamine et lui tapota l'épaule, il ne savait ni comment s'y prendre, ni comment réagir. Ses yeux chocolats croisèrent les siens, elle était encore plus belle de près. Il lui tendit la fleur, innocent, petit naïf. Il lui tendit et la regarda pendant quelques secondes, silencieux, se laissant submerger par la beauté brute, par la sincérité de ses yeux, par la plus belle fille qu'il n'avait jamais vu auparavant. « Tu es très jolie. » Le gamine avait laissé ces quelques mots s'échapper de sa bouche encore innocente, si son père l'entendait il le taperait sûrement. Sa nourrice le regarda avec des yeux rieurs, des yeux curieux, curieux pour ce garçon qui promettait bien plus que son père, bien plus que les idéaux de sa famille. Il était curieux Torvald et il trouverait la voie, la voie qui le rendrait heureux, la nourrice n'en doutait pas. Et un jour peut-être qu'il s'imposerait, qu'il trouverait les mots pour envoyer balader son père. La petite fille le regarda étonnée, peut-être apeurée, il était son maître, elle était censée être sa propriété. Mais jamais ne s'était-il senti plus inférieur à quelqu'un, qu'avec elle. Elle était la grandeur, la plus belle chose qu'il n'avait jamais pu observer. « Merci. » Elle prit la petite fleur entre ses petits doigts fins, et les deux gamins restèrent silencieux pendant quelques secondes, des secondes qui parurent comme des heures. Il entendit sa nourrice tousser derrière lui et détourna difficilement la tête de celle de la petite fille pour voir que son père s'avançait vers le lieu de leur rencontre, un lieu qui resterait gravé dans sa mémoire. « Je m'appelle Torvald. J'espère qu'on se reverra bientôt. » La petite fille sourit face au sourire franc du gamin encore un peu perdu, encore un peu déséquilibré par ce qu'il venait de se produire. « Je m'appelle Anastasia. » Et c'est tout ce qu'elle lui dit, mais les mots restèrent dans sa tête. Il ne l'oublierait pas non. Son premier et sûrement dernier amour.
Ses cheveux noirs étaient gravés à tout jamais dans son esprit. Alors qu'il l'observa sans ménagement jouer de cet instrument envoûtant, il sentait ses joues rosir face à la beauté fatale dont il était tombé amoureux. C'était plus que ça, c'était un besoin, plus qu'une amie, une propriété ou une esclave, Anastasia était comme son trésor, la prunelle de ses yeux, la douce cantatrice, la douce fragile, la douce impétueuse, la douce envoûteuse. Il écouta les notes se balader dans la chambre secrète, avant de lever son pinceau et d'entamer sa prochaine œuvre, Ana était sa muse, Ana était son inspiration, Ana était son havre de paix. Et c'était cet interdit, ce savoir de ne pas pouvoir la toucher qui le frustrait tant, il voudrait pouvoir lui tenir la main dans les couloirs, lui murmurer des mots doux au bord du lac, la présenter à sa mère, à sa nourrice, à sa famille, comme femme, comme humaine, et non pas comme chose, comme vermine, comme esclave. Ana était tellement plus, plus encore que Torvald ne pouvait l'imaginer ou le peindre. « Tu dessines quoi? » Le gamin leva les yeux, son cœur commença à battre fort contre son torse, il avait l'impression qu'elle l'avait attrapé en flagrant délit. Peut-être que oui, peut-être qu'Ana ne savait pas à quel point elle pouvait l'inspirer. « Je te dessine toi. » Ses joues prirent une couleur écarlate, Ana s'approcha de lui, posant son violon de côté, avant de regarder l’œuvre que Torvald tenta de cacher, en vain. Pendant quelques secondes elle ne dit rien, pendant quelques secondes elle regarda tout simplement ce qu'il venait de faire, ce que ses traits de pinceau avaient pu causer. « Tu as du talent Torvald. » Le garçon finit rouge cette fois-ci, mais ne réussit pas à le cacher, pas cette fois-ci. « Merci, mais je trouve que la fille peinte n'est absolument pas mise en valeur. » Ana sourit timidement, c'était toujours pleins de sous-entendus, de chuchotements, de touchers discrets, d'interdits qui s'accumulaient, qui ne menaient pourtant à rien. Peut-être parce qu'ils attendaient un moment où ils pourraient pleinement profiter de l'un et de l'autre, un moment où tous les secrets seraient dévoilés. Où il pourrait se libérer des chaînes de son père, celles qui l'étouffaient, qui faisaient de lui une créature absurde, un soumis, un faible, un lâche. Mais en la présence d'Ana il se sentait si bien, il se sentait comme invincible, comme s'il pouvait affronter un monde cruel, un monde brûlé, bouffé par l'égoïsme des Hommes. « Tu es trop modeste. » Torvald leva les yeux vers l'ange qu'il croyait tombé du ciel, peut-être que l'amour rendait aveugle, peut-être qu'il était naïf, mais il aimait ce sentiment de se balader dans un rêve éveillé quand il était à ses côtés. Il avait l'impression d'être apaisé, calmé, isolé du peuple, de sa famille et de ces idéaux destructrices. « Joue-moi quelque chose. La seule personne ayant un vrai talent ici, c'est bien toi. Joue-moi ce que tu veux. » Ana pencha son visage, quelques mèches rebelles vinrent s'immiscer sur son visage angélique, petits cheveux qu'il repoussa avec son pouce avant de la laisser s'avancer vers son violon et d'entamer une nouvelle mélodie. Torvald ferma les yeux, il aurait voulu rester comme ça des heures, des jours entiers, et oublier le monde autour.
Le patriarche observa son fils, avec le même dégoût, la même déception, la même rengaine, la même danse macabre. La déception qu'il voyait dans son fils, qu'il avait calqué sur l'optimisme inébranlable de Torvald qui avait commencé par croire n'être qu'un raté. Mais il n'en était pas un. Non, il était juste tiré par ses idées, par ses envies, par ses désirs, par les méninges s'entrechoquant dans sa tête, dans son cerveau, son envie de s'émanciper, comme d'obéir, cette complexité en lui qu'il n'arrivait pas à déceler. Un agneau, Torvald était cette chose fragile, cet enfant à peine sortit du nid, prêt pourtant à prendre son envol. Mais ses chaînes l'empêchaient de bouger, de tenter n'importe quel mouvement sans que son père ne cherche à le faire revenir, à le forcer à rester là où il était. Vile créature. Vile homme. Vile père qui n'aimera jamais son fils. « Je vais t'apprendre une leçon Torvald. Une leçon qui te sera utile pendant quelques années, peut-être même jusqu'à la fin de ta vie. » Le patriarche fit un mouvement de tête en direction d'un esclave et fît entrer une jeune fille peut-être un peu plus âgée que lui. Torvald ne comprenait pas, il ne comprenait pas la leçon qu'on tenterait de lui inculquer, il n'avait jamais ressenti le besoin de lever la main sur un esclave, de lui faire du mal et de le faire souffrir, c'était quelque chose qui le dégoûtait, qui le tétanisait. Il ne cautionnait pas la violence, la violence gratuite, cette méchanceté injustifiée. Non, il savait déjà ce que son père le forcerait à faire, alors il recula de quelques pas, comme pour s'éloigner de ce champ de bataille. Son père arqua un sourcil et prit son fils par le bras le forçant à s'approcher de la bête persécutée. « Frappe la vermine. » Torvald leva les yeux, puis posa ses prunelles délicates sur le corps tremblant de la fragile, et si Ana avait été à sa place ? Et s'il avait dû la taper elle ? La violence de cette pensée le fît frissonner, il ne savait pas comment réchapper à cette sentence, à l'énième déception que son père ressentirait si le garçon n'agissait pas dans l'immédiat. « Je ne comprends pas la source de cette leçon, Père. » Torvald baissa les yeux, légère insolence, punie par les yeux accusateurs de son père. Le blond n'avait pas le droit de remettre en tort les décisions de son père, ni de le défier face à ce qu'il appelait de la vermine. Un humain. Comme un autre. « FAIS-LE TORVALD. » Il sentit l'haleine perfide s'introduire dans son oreille, la peur qui s'enfonçait dans la moelle de ses os. « Oui, père. » Soumission après soumission. Il prit délicatement le visage de la jeune fille et la regarda pendant quelques secondes, des secondes qui parurent des heures, il s'imaginait tenir le visage d'Anastasia, de lui caresser la joue et de s'enfuir à ses côtés, malheureusement il ne pouvait pas, malheureusement il était bloqué, bloqué face à son châtiment et à celui de cette jeune esclave. Les yeux du garçon implorèrent son pardon, et sans même regarder il la frappa, un poing qui s'écrasa sur la peau écarlate de la jeune fille. « Encore. » Marionnettiste et pantin. Un jeu qui ne s'éteignait jamais, qui ne s'essoufflait pas, qui prenait de son absurdité pour la transformer en normalité. En banalités futiles. « Oui père. » Cette fois-ci il regarda la réaction de la jeune fille lorsqu'il lui enfonça son pied dans l'estomac. Elle se plia comme une petite créature, recroquevillée sur sa propre honte, si son père n'avait pas regardé, Torvald aurait fait la même chose, il se serait plié à son maître. « Bien. Tu apprendras un jour que ces personnes, ces choses ne valent rien. Elles sont remplaçables, elles sont obsolètes. Tu ne l'es malheureusement pas, et tu comprendras que cette leçon est là pour te forger, pour forger cette faiblesse. » Il tourna le dos à son fils, un sourire malsain posé sur les lèvres, un sourire qui resta gravé dans la mémoire de Torvald. Il ne voulait pas être son père, il ne voulait même plus être son fils.
Torvald peignait, il peignait parce que c'était ce dont il avait besoin, ce qui l'animait, qui l'aidait, l'aidait à oublier la guerre qui se brisait en lui, la guerre qu'il s'était déclaré, dès le jour où il avait posé les yeux sur Anastasia, dès le premier regard, dès qu'il avait frôlé ses lèvres. Amoureux transit, aveuglé par son attraction et son hébétement, il frôlait la folie, la folie loin d'être passagère, elle le dévorait tout cru, alors qu'il savait, il savait si bien qu'il ne serait que déception aux yeux de son père. Lui, ce grand homme qu'il admirait et qu'il détestait, cet homme qu'il voulait impressionner sans vraiment y parvenir. Mouton noir, bête affligeante, il était celui que l'on acceptait pas, celui qu'on cherchait à effacer de l'arbre, déception et fragilité, on disait de Torvald qu'il était faible, gentil, trop gentil. Gentil parce qu'il n'aimait pas torturer, qu'il n'aimait pas la vue du sang des autres, infliger la mort ou la magie sur des corps déjà souffrants. Il n'aimait pas, non, il détestait ça. Pourtant son père était son modèle, cette relation complexe avec son père ne faisait qu'aggraver sa position, cette position qui ternissait son jugement, celui qui autrefois avait été si clair, si sage, si doux. Torvald n'était pas faible, il savait se défendre, savait être franc, et honnête, il savait départager injustice et justice, comme le bien du mal, mais sa naïveté le menait toujours à se tromper. On le manipulait comme bon lui semblait, comme bon il pouvait encaisser, avant qu'il ne se rende compte de son erreur, de sa grave erreur, celle qui ferait de lui un pantin, un pantin de gouvernement, serviteur, victime d'un servage dont on ne prononçait pas le nom. Il n'entendit pas son père entrer dans ses appartement et leva les yeux, étonné de voir le patriarche se tenir droit face à lui, la faim dans les yeux, celle que Torvald ne connaissait que trop bien. Il aurait droit à une énième leçon, un énième sermon sur son incapacité à tenir ce monde, à le tenir de sa poigne douce et non pas de fer. Artiste, humain incompris et ça le faisait fulminer. « Ne devrais-tu pas être en train de travailler les potions Torvald ? » Le blond baissa les yeux, soumission ultime face à son maître, face à son persécuteur le plus perfide, il devait travailler oui, car Torvald n'excellait pas, il aimait faire, il aimait écrire, il n'aimait pas la logique, il n'aimait pas la technique ou la théorie. Il voulait vivre de couleurs, de pinceaux et de toiles, peindre sa muse, sa plus belle muse. Au diable les études. Mais ça, il ne le dirait jamais à son père, jamais, il aurait peur, peur qu'il le tue, qu'il l'envoie balader. « Si père, je fais une petite pause. » Il osa enfin lever les yeux, tenter de tenir tête à son père. « Que faîtes-vous ici ? » Le patriarche leva le menton et observa pendant quelques secondes l’œuvre de son fils, l’œuvre sur laquelle il travaillait depuis quelques jours déjà. Il peignait comme un duelliste maniait sa baguette, les couleurs, la peinture, la concentration, tout chez lui signifiait art, art et mutisme sur sa toile, son spectacle, son antidépresseur. « Je tenais à t'annoncer que je t'ai très certainement trouvé un parti intéressant. Une fiancée, une alliance importante. Torvald tu ne peux absolument pas faire échouer ce mariage, tu m'entends ? » L'artiste baissa le pinceau, si la peinture était son seul moyen de communication et de défense, la vie, la réalité le rattrapait toujours. Il se tut pendant quelques secondes, cherchant quoi dire, quoi faire. Fiançailles ; Il avait oublié ce doux cauchemar. Cette jolie inconnue qu'il allait devoir épouser, cette jolie inconnue qu'il ne connaissait pas, son cœur était pris, son cœur saignait sous l'annonce absurde, absurde qu'il ne puisse pas passer la fin de sa vie avec la femme de sa vie. Il baissa les yeux, cherchant quoi dire, que dire ? Hocher gentiment de la tête comme le fils sage qu'il était ? Ou crier, partir, dire non pour la première fois ? Non. Non. Non. « Oui père, j'entends, et je ne vous décevrai pas. » Petite voix, faible petite voix. « Qui est la jeune fille ? » Le père leva un sourcil et fusilla le tableau du gamin du regard, avec un dédain immaculé, un dédain pour son propre fils. Torvald était habitué, mais la douleur était toujours présente, toujours, toujours là à l'épier, à attendre qu'il faillisse sous la pression de son père. « Une Einardottir sûrement. Reprends tes révisions, la peinture n'est que pour les insolents. Et pour les talentueux. » Torvald posa le pinceau à côté de lui avec cet air affligé collé sur son visage pourtant innocent, s'il avait le courage, s'il avait la bravoure il dirait non. Non. Non. Non. « Oui père. » Mais jamais ne disait-il non. Oui, oui c'était sa maigre réponse.
La colère le rongeait, la haine, la rage. La rage de ne pas pouvoir la voir plus souvent, de ne pas pouvoir la toucher, lui dire des mots doux, l'aider. L'aider, parce que c'était vital, vital de pouvoir être là pour elle, d'être présent, présent pour Anastasia. Il serait bientôt fiancé, et l'amour qu'il portait pour cette fille, pour cette sirène envoûtante serait mort, mort, parce qu'il ne pourrait plus la voir, plus la peindre. Plus rien. Il avait fulminé cette pensée pendant plusieurs heures, heures, jours, semaines, des semaines qu'il pensait à ces fiançailles, à la douleur déjà prenante qui s’immisçait dans son corps à chaque fois que son père annonçait le sujet. Une fiancée. Il n'était pas même capable de s'occuper seul de lui-même, comment pouvait-il bien être marié, et avoir des enfants avec une femme qu'il n'aimerait jamais, parce que son cœur était scellé sous clé à double tour. Pourquoi avait-il donné son cœur à cette cantatrice, pourquoi lui avait-il absolument tout donné, un baiser volé, mais c'était bien assez, un baiser qu'il n'oublierait jamais, qui le hantait tous les soirs. Cette électricité ambiante quand ils pénétraient dans la même salle, la danse de leurs bouches naïves qui s'entrechoquaient sous leurs mots d'adieu, une après-midi qu'il n'avait jamais oublié. Et maintenant il regrettait amèrement de ne pas avoir réitéré cette aventure, ce merveilleux instant, cette douce mélodie hypnotisante, la douceur de sa peau sous ses doigts, la douleur cuisante de vouloir la faire sienne tout en sachant qu'elle ne le serait jamais. Son père entra dans ses appartement sans même toquer, c'était sa maison, son fils étant soumis à son jugement. Torvald voulait lever les yeux, tenir tête, mais combien de fois avait-il voulu faire, mais n'avait jamais agi ? Il se demandait comment Anastasia pouvait apprécier un garçon si lâche, si peureux, si effrayé par son propre père. Il préféra repousser cette idée, peut-être qu'elle était mieux en étant débarrassé de lui, peut-être qu'elle vivrait une plus belle vie, une vie sans embûche, une vie heureuse. « Torvald tu n'es que déception sur déception. On me dit que tu traînes avec une vermine ayant travaillé dans notre château. Est-ce vrai ? » Le blond baissa sa garde le temps d'une seconde, son visage se décomposa, les traits de son visage se tendirent. Il savait. Son père savait. La douleur cuisante revenait, elle venait de le consumer dans son propre jeu. Il avait trop joué avec le feu, et aveuglement il avait pensé réchappé aux griffes grotesques de la noblesse et de l'hypocrisie de sa famille, comme de ses amis. On l'avait espionné, on avait tout dit, tout ce qu'il y avait à dire. Il faisait plus que rester et aider une ancienne esclave, il en était tombé éperdument amoureux. Un secret, un secret si bien caché, que son père ne méritait pas de savoir, il ne méritait pas que son fils lui dise, lui avoue son pêché. « Je ne suis pas sûr de comprendre père. » C'était sa réplique insolente, il ne préférait pas cracher le morceau tout de suite, peut-être qu'en attendant il apaiserait l'ouragan enragé qu'était son père, peut-être qu'il pourrait lui dire un mensonge, apprendre à de jamais dire la vérité, mais sa conscience, son honnêteté et tout ce qui bordait ses principes en seraient brisés. Alors non, il ne dirait pas toute la vérité, mais Torvald ne nierait pas, c'était au-dessus de ses forces. « Tu sais très bien de quoi je parle. Si j'entends dire que tu restes encore avec cette impure, je la ferais assassiner tu m'entends ? » Torvald s'approcha dangereusement de son père, espérant peut-être pouvoir lui tenir tête, mais c'était peine perdue, la peur revenait, le respect s'émancipait, mais surtout la loyauté abrutissante à son nom, et à sa famille le tenait enchaînée aux souhaits de son père. « Je.. » Il marqua une pause, sentant un tremblement dans sa voix. Dis non, non, non. Non. « Oui père. » Venait-il de faire un pacte avec le diable ? Sans aucun doute. Venait-il de mettre en danger la vie de la chose la plus précieuse qu'il avait dans sa vie ? Sans aucun doute. Avait-il peur. Sans doute. Voulait-il fuir ? Pourquoi pas. Mais surtout réussirait-il à se tenir loin de sa cantatrice ? Jamais.
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| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:22 | |
| on dirait qu'il se met des bigoudis dans les cheveux pour avoir cette coupe là rebienvenue et hâte d'en savoir plus sur torvald |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:33 | |
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| | | maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:35 | |
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| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:37 | |
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| | | membre du mois Hiboux : 920 Avatar : jenna-louise coleman Double Compte : la poupée métissée en provenance d'égypte (kahina). Crédits : timeless (av) ; moi-même (signa) ; tumblr (gifs) ; brynhildr (bannières) Âge : vingt-trois années qu'elle écume la froideur de l'empire Nature du sang : la pureté coule dans ses veines, la fierté de la princesse de glace transperce son regard Statut civil : le temps l'a rapproché de sa sentence, les prétendants se bousculent pour lui passer l'anneau au doigt, mais aucun n'a su gagner le coeur de la poupée Patronus : l'un des sorts qui lui a causé le plus de tords, mais elle a fini par arracher un filament argenté à sa baguette, prenant la forme d'un serpent Amortentia : une effluve subtile de bois de santal mélangée à une pointe de vanille. une odeur qui lui est familière, mais la poupée veut oublier, l'oublier et se concentrer. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:38 | |
| je veux un lien avec torvald mitou |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 0:39 | |
| je veux un lien aussi, je veux passer mes doigts dans les jolies boucles. |
| | | Invité | | | | membre du mois Hiboux : 742 Avatar : max irons Double Compte : ulrich la vipère Crédits : sweet nothing, the queen bé (avatar) & dailymax (tumblr) Âge : vingt cinq hivers sanglants. Nature du sang : sorcier dont le sang est mêlé, sacrilège pour les tous puissants. Statut civil : coeur de glace, si autrefois, des sentiments commençaient à naître et qu'un feu s'emparer de lui, il n'y a plus rien aujourd'hui. Son esprit est vide et ses sentiments, inexistants. Patronus : son patronus prend la forme d'un tempétueux et indomptable serval. Amortentia : l'odeur de pluie, et de bois mouillé comme de la camomille, un souvenir d'autrefois, un souvenir sous une couche épaisse de brouillard nébuleux. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 11:02 | |
| vous pouvez aussi passer vos mains dans mes mèches bouclées les filles et même partout ailleurs tu sais que j'ai hésité à le prendre au début avec ton scénario bbey t'es belle même si t'es l'ennemi numéro 1 à abattre car t'es trop prêts de ma soeur |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 14:29 | |
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| | | maison de frigg Hiboux : 41 Avatar : Sarah Gadon Crédits : Lady Azraël Âge : 24 ans Nature du sang : Pur quelle question Statut civil : Fiancée à Wolter Rasmussen Patronus : Son patronus est une araignée, un animal monstrueux mais qui représente la créativité ainsi que la patience. Beyla a été très surprise de ce patronus assez particulier. Amortentia : Odeur de fraises des bois et de feuille de menthe | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Lun 22 Fév - 19:35 | |
| La famille |
| | | maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mar 23 Fév - 0:39 | |
| momo, oui j'ai besoin d'une couronne, c'pour compenser quelque chose t'vois. et nos gosses seront les plus beaux t'vas voir. sofiya, avec grand plaisir pour le lien. inka, seulement s'il a le droit de passer ses doigts dans sa jolie chevelure aussi. liv, il pleut effectivement des viktorsson, je crois qu'on peuple le forum à nous seuls. et merci. marine, psht tais toi, y a que hedvig qu'à ce privilège, va pas faire de la pub pour son corps. et oui toby est hot j'veux trop le jouer depuis trop longtemps et je crois que j'aurais rien eu contre petit toby. et pshhhhht, on va bien s'entendre toi et moi, j'suis un viktorsson après tout, TU DOIS m'aimer. ivana, pourquoi tant de haine. beyla, je réponds à ton mp tout de suite après, on est la plus belle famille. |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mar 23 Fév - 1:41 | |
| vas-y, dès qu'on a un résumé, je te tends ma chevelure soyeuse. |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mar 23 Fév - 2:50 | |
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| | | maison de sigyn Hiboux : 404 Avatar : poppy drayton. Crédits : redwyne aka ivana la blg (avatar) & (gif de profil), brynhildr aka inka le kk (bannière). Âge : vingt-trois années, années qui ne lui appartiennent pas, plus. Nature du sang : un sang impur, un sang rejeté. il est mêlé, il est rouge et il lui est indispensable. hedda le hait, persuadée qu'il s'agit de la raison de sa condition. Statut civil : célibataire, fidèle à yador pour toujours et à jamais. infiniment sienne, désespérément seule. Patronus : un cygne, il est blanc et majestueux, aussi pur qu'hedda. Amortentia : une odeur de rhum mélangée à celle du bois, le parfum de yagor enivre ses narines. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mer 24 Fév - 20:42 | |
| manon t kanon |
| | | Invité | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mer 24 Fév - 23:05 | |
| Dépêche toi futur fiancé (t'es mignon quand même, ils feront des beaux bébés blonds ) |
| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mer 24 Fév - 23:55 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Jeu 25 Fév - 0:43 | |
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| | | maison de baldr Hiboux : 48 Avatar : armie hammer. Double Compte : leonid le bg, et hedvig la badass. Crédits : (av)/Hepburns. Âge : trente-trois ans. Nature du sang : pur. Statut civil : marié à une sorcière. Patronus : son patronus prend la forme simple d'un gibier, simple, fuyard, mais malin, décrivant à merveille le comportement du jeune homme. Amortentia : une odeur de gason, de fraicheur matinale et de bois rappellant bizarrement la salle où lui et ana jouent aux artistes. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mar 1 Mar - 1:05 | |
| BATTEZ VOUS POUR MOI. AUTO VALIDATION PARCE QUE JE PEUX. (et ne lisez pas cette fiche horrible merci ) |
| | | maison de frigg Hiboux : 77 Avatar : danielle campbell Double Compte : raya la louve, Crédits : @bé my moon and stars (sweet nothing, avatar) + @tumblr (gif profil) Âge : twenty-three yo. Nature du sang : pureblood, not that matters anything anymore. (royal blood running through her veins, daughter of ilyah bytchkov) Statut civil : gift to the hirvonen from the tsar himself, she's now engaged to raafael hirvonen. Patronus : opaloeil des antipodes, dragon à la stature et à la grâce légendaire. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mar 1 Mar - 1:09 | |
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| | | maison de sigyn Hiboux : 324 Avatar : adelaide kane Crédits : Monroes brynhild (bannière, tu gères jtm) Âge : vingt-deux années Nature du sang : un sang qui s'émancipe, un coeur de lion, mêlée comme tant d'autres. Statut civil : célibataire au coeur épris d'un sourire ravageur et des cheveux de blés. Patronus : un cheval majestueux. Amortentia : une odeur de chocolat chaud et de cannelle, vient s'ajouter l'odeur de l'herbe fraîchement coupée. | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) Mar 1 Mar - 1:12 | |
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| | | | Sujet: Re: | this is my kingdom come. (tv) | |
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