| | (F/PRIS) take me to church | |
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i take my decisions Hiboux : 667 Avatar : dancy, avec ses petites fesses. Double Compte : pova la grosse badass qui claque des culs. Crédits : tumblr, velvet dust, leave et inka la belle Âge : trente-huit ans, même s'il jure avoir trainé sa carcasse des siècles durant, et voilà bientôt vingt ans que la capitale fait de lui son captif. Nature du sang : pur, pur alors qu'il se sent aussi souillé que les mêlés, victime d'un sang de bête, de monstre. Statut civil : en laisse, sous le regard moqueur du paternel. Patronus : un albatros, du temps où il y arrivait : il n'est plus qu'un filet d'argent, trait pour trait à la fumée de ses cigarettes. Amortentia : farine, parfum de la Mère, pomme. Localisation : nul lieu qu'il ne déteste plus que la capitale, ou même de l'Autriche qu'il rejoint parfois : seul l'institut est sauvée de sa rage, de son désespoir. | Sujet: (F/PRIS) take me to church Sam 27 Fév - 19:31 | |
| prenom nomtake me to church carte de sorcier nom, prénoms : Pas un nom, pas un prénom : elle n'a jamais tenu à les dévoiler à Félix. Alors, c'est tout à votre choix, et à celui de ses origines. âge : Sachant que Félix a aujourd'hui trente-huit ans, et qu'il avait 16-17 ans au moment du départ de la tendre esclave, et qu'elle ne peut être plus jeune que lui de trois ans maximum, elle devrait avoir minimum trente-cinq ans aujourd'hui. Ainsi, treize minimum au moment des faits. J'espère cette fourchette pas trop restrictive! date, lieu de naissance : Peu importe, selon votre bon vouloir. origines : Là encore, c'est tout à vous, tant qu'elle est arrivée en allemagne en tant qu'esclave des Vogel dans sa tendre jeunesse. nature du sang : mêlée, forcément. statut civil : Sachant qu'elle a eut une vie de fuite, à vous de voir. profession : À vous de décider. don : Comme vous le sentez. (voir la liste - à supprimer si aucun) maison : N'est certainement pas allée à Durmstrang. baguette : Au choix. patronus : Au choix. epouvantard : Vu son histoire, certainement le Vogel Senior. . amortentia : écrire ici. groupe : À votre bon vouloir. avatars proposés : sasha pivavorova, la si belle, et sinon une jolie petite blonde candide et sauvage. |
salveo maleficia. 01. esclave des Vogel, hauts nobles allemands dont la fortune s'est vue rongée par l'attrait pervers du jeu et du bon vivre. 02. ce triste statut ne lui a offert rien de plus qu'un million de souffrances, d'atrocités, et chacune d'entre elles aurait pu lui faire perdre son humanité, ternir l'adorable visage qui a essuayé la violence du patriarche, qui lui a évoqué trop de fois une Bête sans âme. Dur de croire qu'elle partage ce point de vue avec le rejeton du Monstre. 03. Souvent battue, jamais remarquée. Jusqu'au four où le jeune Félix assiste à la scène, dans l'impuissance totale : son cœur s'est déchiré à cet instant, devant tant d'horreur. 04. Alors qu'il lui propose de s'enfuir avec elle, elle le devance, par... à vous de voir ? Peur de l'arnaque, d'un jeu pervers ? Tout ce que l'on sait c'est que par une nuit fraiche, elle est partie. Sans se retourner ? Félix ne le saura jamais : il la pense même morte, assassinée par un Père qui a vu dans cette entraide la perte de son fils. 05. Après sa fuite ? Sans doute s'en est-elle allée en Angleterre, en France, où le statut des mêlés est moins atroce, où elle pourra mener un petit bout de chemin, de vie loin de toutes les atrocités. Ça, c'est à votre guise. Ce qui est important, c'est qu'aujourd'hui aujourd'hui, elle vienne à la Capitale. CE QUE FÉLIX A ÉCRIT SUR ELLE, EN L'OBSERVANT : Petite fille, jambes malingres, bras blancs, qui devrait courir le long des eaux tempétueuses, plutôt que de s'acharner sur l'eau savonneuse. Les cheveux aux vents, jamais dans les yeux, jamais contre le sol lustré sur lequel glissent et se brisent ses espoirs. Les genoux que les coups rendent en sang, que se prosterner rend tristes et plats.(FT. FÉLIX VOGEL) - leur relation selon félix:
Je suis allé la voir. Je ne pouvais tenir plus longtemps. Je me demande encore si ce geste n'était pas simplement fait pour soulager ma propre conscience, plus que pour porter secours à cette frêle personne. Si ses yeux ne se sont jamais posés sur moi, je sentais toute sa dédaigneuse pensée. Je ne me suis permis de la moindre remontrance, moment de supériorité face à la jeune esclave, et c'est humble que je me suis agenouillé à côté d'elle, enlevé de ses mains le tissu mousseux, et glissé entre ses doigts un remède. Je n'étais pas certain qu'elle me fasse assez conscience pour le prendre, donc j'en ai bu un peu.
– J'ai retrouvé le flacon vide entre mes draps frais. Je reviendrais certainement lui en donner un autre demain soir : de telles marques ne s'effaceront pas si facilement.
– Je suis donc revenu la voir. J'ai jugé nécessaire de contrôler ses plaies, mais elle a préféré refuser. Au moins, elle a daigné de me parler. Je ne sais toujours pas ce qui me pousse à la revoir, et j'ai l'impression que ce n'est pas uniquement la culpabilité. Est-il possible que je trouve en sa présence farouche un réconfort certain ? Ou bien, tout simplement car nous partageons la même horreur ? La prochaine fois je me montrerais plus galant.
– Un autre soir où je suis venu la voir, elle m'a coupé court dans mes longs récits, et j'eus presque le bonheur d'entendre pour la seconde fois sa voix. Elle m'a posé la question suivante, dans ces mots : « Pourquoi venez-vous chaque soir ? Si c'est votre conscience que vous voulez soulager, je préférerais dormir. » Je me suis excusé auprès d'elle avant de partir, ne sachant réellement si elle avait visé juste ou non. Je devais être certain de ma réponse.
– Le surlendemain, je viens auprès d'elle et je lui délivre ma pensée. Que je trouve des similitudes dans nos conditions, car je suis victime de mon sang, autant par les liens qu'il ne me cause que par les obligations perverses que je subis, et elle l'est aussi pour les mêmes raisons. J'ai aussi ajouté que je me sens proche d'elle, pour ses brefs instants de farouche sympathie. Elle a esquissé un geste, non pas craintif, puis a jugé bon de partir. Je suis resté une bonne heure après son départ.
– Nous ne nous sommes pas revus pendant plus d'une semaine, et j'en ai profité pour pleinement penser. J'ai exploré chaque instant de ma vie, des expériences passées. Et ce, avec suffisamment de succès pour que je trouve en mes vagues souvenirs l'image d'une mère me confiant qu'elle voudrait partir. Et m'emmener avec elle. J'ai réalisé qu'un chemin de vie se répète en chaque génération tant qu'il n'a pas été compris. Alors, si je veux m'enfuir, m'éloigner de ce Père, je ne peux partir seul. Je ne ferais pas comme ma Mère, tendre Mère, qui s'est allée sans moi malgré ses promesses. J’emmènerai la petite esclave dont je ne connais pas le prénom.
– C'est le soir que je viens lui en parler, veillant plus que de raison à ne pas être entendu. Donc nous allons au jardin, sans lumière. J'ai trouvé la nuit noire réconfortante. Je lui ai avoué que je voulais quitter ce lieu, et j'ai cru discerner une pointe de tristesse. J'ai ajouté que je serais bourreau à mon tour si je la laissais derrière moi. Je lui ai demandé si elle consentirait à me suivre. Après quelques minutes de silence où j'ai cru mourir de honte, elle m'a finalement demandé où je voudrais aller. Je n'y avais jamais vraiment réfléchi, mais la France m'a semblé bien sur le moment. Elle m'a demandé quand, et encore dans le feu de l'action je lui ai promis une semaine de délai.
– À deux jours du départ, j'ai rassemblé entre malle et carton une somme d'argent confortable, ainsi que plusieurs bibelots que j'ai jugé utile d'apporter. Aussi, mon matériel à potion : je sais à quel point il est difficile de se soigner quand on est en fuite.
– Le soir vient, et alors que je sens dans ma poche s'agiter les valises miniaturisées, je prononce mes adieux aux lieux que j'ai parcouru sans relâche depuis ma plus tendre enfance. Je ne souffre d'aucun regrets, et une joie infinie me guide jusqu'au point de rendez-vous, en bordure du domaine Vogel. Je regarde le ciel étoilé, écoute le ruisseau qui coule. Je ne sais pas combien de temps s'est écoulé, mais elle ne vient toujours pas. A-t-elle oublié ? Par soucis de curiosité, je m'assure que mes baggages n'aient pas bougé, et progresse en toute discrétion. Est-ce un refus de dernière minute ? Je ne peux empêcher de cœur battre avec frénésie, cognant sans cesse plus fort.
La totalité de l'histoire dans ma fiche fait référence à l'impact de cette jeune esclave sur Félix, et c'est pourquoi ce lien me tient tant à cœur : lui a vu en elle une figure semblable à la Mère pour sa force douce, le fait qu'elle se laisse tuer à petit feu par le Père Vogel sans jamais réellement flancher. Il s'est épris d'elle, si fort qu'il a voulu s'enfuir avec elle et pas seulement lui. Comme vous avez pu le lire, elle ne semble pas énormément lui faire confiance même si elle se laisse faire. Je m'imagine que pendant ces trois semaines à se rejoindre le soir, ils auraient parlé, se livrant l'un à l'autre de manière timide et parcimonieuse. Par fatalité, elle ne l'a pas attendu pour partir. Petite biche tétanisée, effrayée d'être le didon de la farce. Je ne sais pas si son geste lui a causé du regret, si elle s'en est voulue d'avoir abandonné Félix, qui même s'il est le fils du Père Terrible, de la Bête, s'est montré plus gentil que tous les autres. La première personne à lui tendre la main, et pour lui la première à ressembler à sa défunte mère. Il a espéré, des semaines durant, qu'elle reviendrait, puis est venu à la conclusion que c'est son père qui avait tué la jeune esclave. Bon, le Félix de dix-sept ans ne sera jamais le même que celui de seize ans, et il jamais arrêté de se tourner les sangs, d'imaginer mille et un scénarii, retours magiques. Cet instant de vie où il a cru à la renaissance et à la fuite a laissé un vide immense, qu'il a comblé par un noirceur ignoble. Après près de vingt-deux ans de fuite, elle serait à la capitale. Pour retrouver Félix, pour prendre revanche et faire partie de la résistance ? C'est à vous, et la suite de la relation à voir ensemble. informations supplémentaires : C'est un lien qui me tient à cœur, et j'espère qu'il plaira. ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
| | | i take my decisions Hiboux : 40 Avatar : teresa palmer. Crédits : amortentia Âge : TRENTE-CINQ ANS. ≡ il y a un temps pour tout, un temps de pleurer, un temps de rire, un temps à se lamenter et un temps de danser. Nature du sang : SANG-MÊLÉ. ≡ ni moldu, ni sorcier ; le meilleur ou le pire des deux : une chose non identifiée. Statut civil : CÉLIBATAIRE. ≡ elle est condamnée à passer le restant de ses jours seule, ce n'est pas l'amour qui l'anime mais bien la vengeance. | Sujet: Re: (F/PRIS) take me to church Dim 28 Fév - 0:03 | |
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| | | i take my decisions Hiboux : 667 Avatar : dancy, avec ses petites fesses. Double Compte : pova la grosse badass qui claque des culs. Crédits : tumblr, velvet dust, leave et inka la belle Âge : trente-huit ans, même s'il jure avoir trainé sa carcasse des siècles durant, et voilà bientôt vingt ans que la capitale fait de lui son captif. Nature du sang : pur, pur alors qu'il se sent aussi souillé que les mêlés, victime d'un sang de bête, de monstre. Statut civil : en laisse, sous le regard moqueur du paternel. Patronus : un albatros, du temps où il y arrivait : il n'est plus qu'un filet d'argent, trait pour trait à la fumée de ses cigarettes. Amortentia : farine, parfum de la Mère, pomme. Localisation : nul lieu qu'il ne déteste plus que la capitale, ou même de l'Autriche qu'il rejoint parfois : seul l'institut est sauvée de sa rage, de son désespoir. | Sujet: Re: (F/PRIS) take me to church Dim 28 Fév - 0:14 | |
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| | | i take my decisions Hiboux : 40 Avatar : teresa palmer. Crédits : amortentia Âge : TRENTE-CINQ ANS. ≡ il y a un temps pour tout, un temps de pleurer, un temps de rire, un temps à se lamenter et un temps de danser. Nature du sang : SANG-MÊLÉ. ≡ ni moldu, ni sorcier ; le meilleur ou le pire des deux : une chose non identifiée. Statut civil : CÉLIBATAIRE. ≡ elle est condamnée à passer le restant de ses jours seule, ce n'est pas l'amour qui l'anime mais bien la vengeance. | | | | i take my decisions Hiboux : 667 Avatar : dancy, avec ses petites fesses. Double Compte : pova la grosse badass qui claque des culs. Crédits : tumblr, velvet dust, leave et inka la belle Âge : trente-huit ans, même s'il jure avoir trainé sa carcasse des siècles durant, et voilà bientôt vingt ans que la capitale fait de lui son captif. Nature du sang : pur, pur alors qu'il se sent aussi souillé que les mêlés, victime d'un sang de bête, de monstre. Statut civil : en laisse, sous le regard moqueur du paternel. Patronus : un albatros, du temps où il y arrivait : il n'est plus qu'un filet d'argent, trait pour trait à la fumée de ses cigarettes. Amortentia : farine, parfum de la Mère, pomme. Localisation : nul lieu qu'il ne déteste plus que la capitale, ou même de l'Autriche qu'il rejoint parfois : seul l'institut est sauvée de sa rage, de son désespoir. | | | | | Sujet: Re: (F/PRIS) take me to church | |
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