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bitch queen Hiboux : 388 Avatar : lily james, la déesse. Double Compte : leonid et torvald les bgs. Crédits : -av/@tellers. -gif/tumblr (signa) et ivana d'amûr (profil) Âge : Elle écume sa vingt-quatrième année avec toujours autant d'arrogance et de médisence. C'est cette haine qui la consume, comme la tient éveillée. Nature du sang : Elle est une ancienne esclave, elle est de ceux qui n'étaient rien, une simple Mêlée, plus que fière de son propre sang. Statut civil : Célibataire et loin d'être attirée par les histoires de coeur. Hedvig est seule et ne s'en plaint pas. Patronus : lol | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Lun 7 Mar - 14:18 | |
| lazlo, c'est un oui pour moi aussi. |
| | | i take my decisions Hiboux : 15 Avatar : Gaspard Ulliel. Double Compte : La farouche Tatiana. Crédits : barbie monrose. Âge : Âgé de trente-deux hivers. Nature du sang : Sang-pur malgré la pauvreté des débuts de sa famille. Statut civil : Manipulé et épris de sa grande sœur Sybille depuis quatre ans. Un secret bien dérangeant. Patronus : Un Basilic. Amortentia : Odeur des vieux livres mélangée au Lilas. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Lun 7 Mar - 20:51 | |
| PSEUDO : Franz Von Rosenberg. DON SOUHAITÉ : Animagus. MOTIVATIONS : L’apprivoisement de l'Animagus a été un véritable tournant dans la vie de Franz, sans cela, il ne serait pas l'homme qui l'est aujourd'hui. Ce don a été la chose qui déclencha en Franz la rage de vaincre, l'envie de se battre pour ses envies et « ranima » en quelque sorte le jeune homme. Avant ce don, il n'avait jamais rien entrepris dans sa vie, il se laissait vivre et n'avait pas conscience de tout ce qu'il était capable d'entreprendre. Fasciné par ce don, se fut un véritable choc pour lui quand il comprit que son père ne croyait pas en sa capacité de réussir. Cette réaction, blessante pour Franz, lui donna l'envie de se battre encore plus. L'Animagus permit a Franz de réveiller ses émotions trop longtemps endormis. Autrefois passif de tout ce qui l'entourait, c'est l'intensité des émotions qui lui permis de réussir cette transformation qui souhaitait tant. De plus, l'Animagus est essentiel pour les actes illégaux de Franz. Voulant reprendre l'entreprise familiale plus tard, se transformer en loup lui permet de se cacher, d'échapper aux gardes et ainsi se sauver de la pendaison. Mais plus que tout, ce don d'animagus est une véritable bouffée d'air frais pour ce jeune homme qui n'arrive pas a gérer ses émotions trop intenses comme la colère et la triste. Il lui permet de s'évader et ainsi de garder le contrôle. Il a décidé de travaillé son don d'animagus à l'age de vingt-deux ans mais n'a réussi qu'à l'âge de vingt quatre ans sa première transformation. Cela fait donc maintenant un an qu'il continu son perfectionnement, rendant de plus en plus facile la transformation et les heures passées en loup. Mais bien trop souvent encore, l’instinct animal cherche a prendre le dessus sur l'esprit de l'homme et Franz a encore bien des choses a apprendre avant de pouvoir contrôler parfaitement son don. J'ai choisis dans la mise en situation de raconter sa première transformation qui pour moi explique bien mieux l'influence que cela a eu sur Franz. MISE EN SITUATION : Fixant la glace, Franz bouillonnait intérieurement. Encore raté. Il jeta rageusement ce dernier au sol, dans un acte presque désespéré. Il ne faisait qu'échouer. Il entendait presque son père rire de lui. « Tu croyais vraiment pouvoir le faire ? » Bien sûr qu'il le pouvait, il le fallait. Cela faisait plusieurs années que le jeune homme travaillait d'arrache pied pour réussir sa transformation, pour réussir au moins une chose dans sa vie. Il se rappelait très bien là fois où il avait annoncé à son père qu'il allait travailler pour devenir un animagus. Le jeune homme avait découvert ce don presque par hasard, fasciné par cette capacité et toutes les possibilités que cela pouvait lui apporter. Il s'était enfin trouvé un but dans sa vie. Pourtant, son père n'avait fait que rire de lui, renforçant involontairement cette envie de réussir. Il était vrai que depuis toujours, Franz n'avait jamais réussi grand chose dans sa vie. Jeune homme inconscient, il se laissait presque bercé par la vie, faisant seulement le strict nécessaire pour qu'on le laisse tranquille. Son père n'avait jamais eu une haute opinion de son fils, ce dernier n'avait jamais rien réussi de ce qu'il entreprenait. Alors, quand Franz, du haut de ses vingt-deux ans était venu, tout fier de lui de cette trouvaille, il n'avait pas été pris au sérieux. Et plus le temps passait, plus il ne pouvait s'empêcher de penser que son père avait raison. Cela faisait déjà deux ans qu'il travaillait son animagus, il n'avait jamais eu le courage de passer autant de temps sur une chose. Malgré les échecs, il n'avait rien lâché, presque pour tenir tête à son père. Il n'arrivait pas à comprendre ce qu'il clochait chez lui, pas l'ombre d'une transformation n'avait eu lieu au cours de ces deux longues années. Pourtant, il le voulait tellement, il était presque obsédé par cela. Franz avait vu en ce don un atout pour son futur dans l'illégalité. Depuis quelques années déjà, il savait qu'il souhaitait suivre les traces de son père dans le vente de baguettes sur le marché noir. L'animagus lui permettrait de fuir plus vite, de se cacher en cas de gardes royaux, de se défendre sans être reconnu. Outre sa fascination pour ce don, il avait vu en celui-ci un grand nombre d'atouts pour ses envies futurs. Poussant un soupir, Franz décida finalement de ramasser le miroir, il en avait besoin. Il passa une main dans ses cheveux, dans la veine tentative de se calmer mais en fermant les yeux, il fut pris par un grand tourbillon d'émotions. La colère tout d'abord. La peur, la peur de n'être bon à rien. La triste de ne pas réussir son presque rêve. Soudain, Franz ressentit tout d'abord de légers picotements dans son corps. Ces derniers se firent de plus en plus intenses et alors que le jeune homme crut sombrer dans un tourbillon infernal, il ouvrit les yeux. Le reflet que lui renvoyait le miroir lui parut presque irréel. Devant lui, se tenait un loup tout de noir vêtu. Pour se convaincre de ce qu'il voyait, il leva doucement une patte et la posa sur le miroir. Le contact froid de ce dernier finit par convaincre le jeune homme. Il était arrivé. Après toutes ces années, ces heures d'entraînement à se faire souffrir pour atteindre son but, le loup était sortit. Tant de sensations s'offraient à lui. Les odeurs, la vision, l'air sur les poils qui ornaient désormais son corps, tout n'était que délicieuses sensations. Mais rapidement, alors qu'il aurait souhaité que cela dure une vie, il ressentit le besoin de redevenir homme. Il sentait son esprit flancher sous le poids de la bête. Franz se concentra et cette transformation fut beaucoup plus facile que la première, presque une évidence. Son corps connaissait sa forme d'origine. A quatre pattes au sol, en sueur, le jeune homme se sentit épuisé comme il ne l'avait jamais été. Il n'avait été loup que quelques secondes, mais ces quelques secondes avaient suffis pour le rendre accro. Heureux, fier de lui, un sourire se dessina sur ses lèvres. Demain il recommencerait, ainsi que le sur-lendemain, et ainsi de suite jusqu'à ce que l'animagus ne soit plus un effort mais une transformation naturelle. |
| | | Invité | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mar 8 Mar - 13:10 | |
| PSEUDO : Roksana Ivanova DON SOUHAITÉ : animagus léopard des neiges MOTIVATIONS : Alors au départ, quand je pensais faire de Roksana une sang-mêlée, j’avais envisagé le don de métamorphomage, mais comme il me semblait complet, je m’étais dit que non, tant pis. Et par contre, j’avais à ce moment là exclu l’animagie car je ne trouvais pas logique qu’une sang-mêlée n’ayant pas pu apprendre la magie puisse être déjà animagus. Bref. Maintenant que j’ai changé d’orientation pour Roksana qui devient une Ivanova, la possibilité de la faire devenir animagus me titille beaucoup beaucoup…. D’autant que l’animagie est un don que j’ai toujours eu envie de jouer sur les divers forums HP sur lesquels j’ai pu jouer. J’ai déjà incarnée une lycanthrope pendant assez longtemps (3 ou 4 ans) donc je sais être stable et faire évoluer mon personnage en fonction de son don. Et puis mince ! l’animagie quoi ! c’est LE truc qui me fait rêver dans l’univers de la sorcellerie. Je ne sais pas si vous avez déjà lu ces romans pour les jeunes, les Animorphs, ou vu cette vieille série Manimal…. Mais c’est clairement quelque chose qui m’a toujours donné envie, quelque chose dont je rêvais, même pour moi. Je donnerais n’importe quoi pour pouvoir me transformer en animal et pour pouvoir me promener dans la nature à quatre pattes ou voler dans les airs en sentant le vent dans mes plumes. Je sais, ça fait un peu idiot comme motivation, mais ce n’est pas la seule. J’ai envie de travailler l’évolution de la miss en fonction de son travail de l’animagie, en fonction de la façon dont cette forme animale qu’elle va étudier pour en savoir plus sur elle va influer sur sa propre vie. Car, si elle va garder le contrôle d’elle-même sous sa forme animale, je la vois bien influer sur sa vie en la rendant plus féline, plus prédatrice. Car ce don lui apprendrait des choses sur elle-même. MISE EN SITUATION : Roksana n’avait jamais parlé à personne de son intention de devenir animagus. C’est quelque chose qu’elle voulait garder pour elle, tant qu’elle n’avait pas réussi à se transformer et à voir si elle maîtrisait sa forme animale. Elle était travailleuse, après tout… Courageuse petite princesse. La bulgare était têtue, elle était opiniâtre et elle comptait bien y arriver, un jour. Mais pour l’instant, elle ne savait toujours pas de quoi demain serait fait. Elle rêvait souvent de ce que pourrait être sa forme d’animagus. Cela faisait longtemps qu’elle travaillait dessus, avant même son entrée à l’Institut. Le seul à connaitreson intérêt pour les animagus était son précepteur. Il lui avait de nombreuses fois parlé du sujet, lui avait apporté des livres traitant de l’animagie, mais elle était toujours parvenue à détourner ses questions sur le sujet. Mais, cette fois, l’heure est grave. Elle était déterminée à y arriver, à parvenir à se transformer. Jusque là, tout ce qu’elle avait réussi à faire, c’étaient des transformations partielles : les oreilles, une queue, des moustaches, les yeux. Plus d’une fois, d’ailleurs, elle avait cru qu’elle allait rester coincée sous cette forme intermédiaire, ce qui l’avait poussée à ne travailler sur ce donc que lorsqu’elle était seule, en s’enfermant dans sa chambre, ou dans une pièce dans laquelle personne ne songerait à venir la chercher. Allez, Roksana… Tu peux le faire. Tu peux y arriver, s’encouragea-t-elle mentalement. Elle s’assit sur son lit, loin de sa coiffeuse, loin de son psyché. Elle n’avait pas envie de voir les étapes de la transformation. Si c’était un échec, elle ne le supporterait pas. Elle n’avait aucune envie de prendre le risque de crier en voyant les transformations s’opérer. Elle regarderait, un jour. Quand elle aurait réussi à maîtriser tout le processus. D’autant que ses lectures l’avaient informée que cela pouvait être très douloureux les premières fois. Dans l’un des ouvrages, qui relatait la vie entière d’un animagus, plus l’on se transformait et plus cela devenait facile. Simplement, une fois sa première transformation complète effectuée, l’homme avait dû faire face à des transformations intempestives lors de fortes émotions. La jeune sorcière espérait vivement que ce ne serait pas son cas. Mais cela ne la ferait pas reculer. Elle était trop déterminée. Prenant une grande inspiration, la brunette enleva l’étoffe légère qui la recouvrait et, entièrement nue, elle se concentra et commença à penser aux changements qui allaient devoir s’opérer en elle. A près six années de dur labeur, de dur travail sur elle, elle savait qu’elle devait faire le vide et ne penser qu’à son but. Bientôt, elle sentit ses os se réorganiser. Elle faillit s’arrêter, revenir en arrière tant c’était douloureux. La brune avait la sensation que les ouvrages étaient encore en dessous de la vérité tant cela lui faisait mal. Elle ferma les yeux pour rester concentrée. Non… Ne t’arrête pas, pensa-t-elle en se forçant à continuer, à ne pas s’arrêter sur la douleur qui lui donnait l’impression qu’elle allait s’évanouir. Tout à coup, elle partit en avant, incapable de rester en position assise. Elle commença à haleter, essayant de reprendre son souffle avant de se rendre compte que la douleur était passée. Gardant les yeux fermés, elle essaya de se redresser avant de se rendre compte qu’elle était incapable de rester assise sans s’appuyer sur ses pattes. Mes… Roksana ouvrit grand les yeux, brusquement saisie d’un vertige tant sa vision était perturbée par ce qu’elle voyait à présent. Tout lui semblait plus près, plus précis. Elle pouvait distinguer les mouvements d’une mouche sur le mur et elle fut brusquement saisie par l’envie de lui sauter dessus. Non… Je dois savoir… pensa-t-elle en essayant de se dresser sur ses pattes arrières pour marcher et en retombant en avant. Elle posa ses pattes avant par terre, et seulement, baissa le regard pour apercevoir des pattes félines. Au bout de son dos, elle sentait cette queue qu’elle avait déjà vue remuer d’agacement et de perplexité. Il fallait qu’elle sache. D’un pas hésitant, malhabile, elle s’approcha du miroir en pied qui lui permettait habituellement de voir si ses toilettes tombaient comme il fallait. Son poil se hérissa lorsqu’elle fit face à un grand félin blanc tacheté de noir qui lui semblait gigantesque. Ses yeux, couleur d’or lui semblait refléter sauvagerie. Ses oreilles s’aplatirent vers l’arrière tandis qu’elle se sentait inquiète, tout autant que fascinée par ce qu’il venait de se passer. Elle avait réussi ! Elle était devenue un félin ! Elle était animagus ! Le cri de joie qu’elle voulut pousser sortit comme un ronronnement de son corps félin. bon bah.... voilà dans ma tête, elle réussitait cette transformation juste avant d'entrer en 4e année^^ |
| | | i take my decisions Hiboux : 21 Avatar : ft. travis fimmel Crédits : avatar (sierrashady) + gifs (tumblr) Âge : voilà maintenant trente ans qu'il résiste aux hivers glaciaux. Nature du sang : un sang aussi blanc que neige, pur et parfait - ce qui l'en pense ? il est vrai que voir ployer l'échine des gens pour si peu l'amuse intérieurement. Statut civil : célibataire, l'amour ne l'a pas frappé et il ne se sent pas prêt pour fonder une famille. Patronus : un phénix, animal légendaire, fier et immortel. Amortentia : un mélange unique, sucré mais, légèrement métallique ainsi que de suie. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mar 8 Mar - 18:02 | |
| PSEUDO : Jørgen Svendsen. DON SOUHAITÉ : Occlumens. MOTIVATIONS : Qui aurait cru que son envie de développer l'occlumancie naisse alors qu'il n'était encore qu'un bambin. Fils aîné de la famille Svendsen, Jørgen a un poids sur les épaules, dont il ne peut s'échapper et vu la tournure des évènements, la position qu'il a, sera décisif pour sa famille lorsque ce dernier prendra le flambeau après sa mère. Svendsen. Une famille respectable et influente, loyal il est dit, et pourtant. Même si leur réputation est d'être d'excellents guerriers, ils ne sont cependant pas de bêtes animaux, au contraire, ils sont tous aussi tacticiens que combattants. Obert, ancien patriarche de la famille était lui aussi Occlumens. Pour se protéger, cacher la vérité, masquer les ambitions familial et éloigner les rumeurs. De son plein gré, Jørgen demanda à son père de l'entraîner à devenir un Occlumens, le jeune enfant pensait déjà au futur, au moment où ses parents ne seront plus là pour protéger la fratrie et le nom Svendsen. Il est hors de question que qui que soit doute de la loyauté des Svendsen et encore moins que quelqu'un découvre le désir que la noble famille danoise convoite, il se devait d'être comme son père : Intouchable et insoupçonnable. MISE EN SITUATION : Embrançant son sommeil réparateur, il se laissa emporter dans ses songes. Allait-il faire encore le même rêve ? Un rêve qu'il appréciait par-dessus tout avoir, il se réveillait d'ailleurs souvent souriant grâce à ce dernier. Un fantasme pour l'aîné des Svendsen. Ô il en a beaucoup rêvé de ce jour sacré, du jour où l'épée de damoclès qui se trouvait au-dessus de la tête du Tsar lui tomberait dessus. Pourtant alors, qu'il se laisse bercer par son sommeil, il n'allait pas rêver encore une fois de la même chose. Son esprit lui avait dégoté un nouveau scénario.
Trompeur, illusionniste. Aussi sournois que le dieu Loki. ∞
Jørgen avait maintenant prit le contrôle de la famille Svendsen, après le décès de sa mère Algea, d'ailleurs il mit du temps à faire son deuil et alors qu'il reprenait le flambeau, il devait se soumettre au Tsar à son tour pour devenir Haut-Duc, comme ses parents l'avaient fait. Pourtant certaines rumeurs venaient mettre en péril la famille Svendsen, et c'est pour cela que le Tsar repoussa la venue de Jørgen au siège. Il ne le savait que trop bien, ce dernier doutait de sa loyauté et il allait devoir la prouver. Il était préparé, il avait toujours été un très bon orateur et il arrivait à mettre en confiance les gens facilement. C'est pourquoi il laissa faire le temps. Jusqu'au jour où il fut enfin convoqué à prendre place dans la salle de conseil.
Pourtant il ne pensa pas être accueillit de la sorte, voilà qu'il devait répondre de ses accusations devant les autres Hauts-Ducs. Si il était coupable de mutinerie, cela allait lui coûter très cher. « Je comprends que vous souhaitiez des explications ou une défense de ma part mais... Fait le descendant danois alors qu'il se lève de sa chaise, regardant un par un, d'un air sérieux et dur les hommes qui se trouvaient autour de lui. La famille Svendsen a toujours été loyale à celle du Tsar et elle l'a prouvée à de nombreuses reprises, ces accusations ne sont là que de simple balivernes. Il reprend son souffle, gardant toujours un calme olympien alors, qu'il peut sentir sur lui les yeux de ses juges douter de sa parole. Je ne vous en veux pas de douter de moi, ou peut-être même de croire à ces rumeurs. Il était temps de sortir les violons. Mais, à quoi bon vouloir renverser notre souverain ? N'aie-je déjà pas, tout ce dont un homme peut rêver ? Une place ici avec vous, une amitié sans borgne pour la famille Bytchov ? A croire que Jørgen avait rédiger et appris son texte par coeur, malgré tout il pouvait sentir quelqu'un, ô oui, quelqu'un dans la pièce essayait de rentrer dans son monde secret. C'est pour cela que vous pouvez rester assurés, jamais, je dis bien : Jamais. La famille Svendsen n'osera comploter contre notre Tsar. » Lui qui trouvait amusant de voir les gens courber l'échine, voilà qu'il se retrouvait à cette place. Cependant, il n'était pas vexé, ni énervé de devoir se soumettre ainsi, au contraire, il était plutôt fier de ce qu'il venait d'accomplir. Le silence de la salle en disait long. Les esprits commençaient à penser et il était certain que cela était en sa faveur et alors, qu'il commença à prendre place une nouvelle fois assis dans sa chaise, une voix se fit entendre. « Cependant, Jørgen Svendsen, ma méfiance n'a pas été apaisée, bien au contraire. » L'aîné de la famille tourne enfin le visage vers ce nouvel interlocuteur. Si seulement il savait et alors, qu'il s'apprêtait à répondre, une autre voix se fit entendre. « Cependant il dit vrai. » Et tous les regards se posent sur l'homme en question. Alors, voici le petit voyeur à qui l'aîné avait ouvert les portes de son esprit fictif. Un Occlumens voilà ce que Jørgen était et grâce à son apprentissage avec son père, il avait réussi à obtenir plus qu'un bon niveau dans ce domaine. La legilimancie était quelque chose d'utile, seulement elle ne l'était pas pour lui. Sa famille n'avait pas besoin d'attaquer par la pensée, ils étaient déjà assez fort physiquement la seule chose qui pouvait manquer était la défense et tout le monde sait que la meilleure défense est celle de l'esprit. « Il dit vrai, je l'ai vu, sa loyauté est pure pour notre souverain. » Puis un sourire vainqueur apparaît sur ses lèvres, si seulement, ô si seulement ils avaient idée de la vérité. « Je vous en remercie. » "Et je vous remercie aussi, père." Voilà que les années d'apprentissages, de sueurs et de difficultés venaient d'être payée. Une dernière révérence et voilà que son rêve prenait fin. Il se réveillait, retrouvant le monde des vivants, heureux de sa nuit malgré le fait qu'il ne puisse se souvenir de son songe, il est content, impatient. Pourtant, malgré cette fin heureuse, la réalité ne sera certainement pas aussi facile et si un jour ce moment arrive, je doute fortement qu'il puisse se tirer aussi facilement d'affaire. Mais qui sommes-nous pour savoir ? |
| | | maison de loki Hiboux : 315 Avatar : matthew daddario. Double Compte : serghei, svea, rhaegar. Crédits : hepburns. (ava) myself. (signa) Âge : vingt-cinq ans, de haine et de colère. Nature du sang : royal pur blood. Statut civil : solitaire, il ne laisse pas l'amour se mettre sur son chemin. Patronus : un puma, les pouvoirs du chef. Amortentia : le parfum sucré et envoûtant de hedda. | | | | i am a new member Hiboux : 125 Avatar : hiddles. Crédits : princess rover (avatar). Âge : trente neuf ans à se forger, le tout désormais brisé par les paumes délicates d'une épouse. Nature du sang : pur, grenat que l'on envie et même si les murmures médisent, il reste l'un des grands que l'on admire. Statut civil : l'union prohibée, l'esclave devenue femme et l'aveuglement d'un homme qui n'avait que trop d'amour à donner. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 12:44 | |
| Vos mises en situation sont un régal. Ce sera aussi un oui pour vous trois, je file réserver ça. |
| | | Invité | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 14:08 | |
| han! merci! je file poster mon histoire! |
| | | i take my decisions Hiboux : 21 Avatar : ft. travis fimmel Crédits : avatar (sierrashady) + gifs (tumblr) Âge : voilà maintenant trente ans qu'il résiste aux hivers glaciaux. Nature du sang : un sang aussi blanc que neige, pur et parfait - ce qui l'en pense ? il est vrai que voir ployer l'échine des gens pour si peu l'amuse intérieurement. Statut civil : célibataire, l'amour ne l'a pas frappé et il ne se sent pas prêt pour fonder une famille. Patronus : un phénix, animal légendaire, fier et immortel. Amortentia : un mélange unique, sucré mais, légèrement métallique ainsi que de suie. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 14:26 | |
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| | | i take my decisions Hiboux : 160 Avatar : la sublime, l'incroyable léa. Double Compte : félix qui se touche avec des chaudrons. Crédits : moi pour les avatars - sauf un de crispow, velvet dust pour la signature, et inka la moche pour la team. Âge : vingt-trois ans, et l'impression d'être la tendre enfante qui découvre un univers, et celle d'être le rustre qui n'aime de la vie que les souvenirs. Nature du sang : sang sorcier qui n'a jamais connu la grandeur, qui n'a jamais cru préférable ne plus le dilluer. Statut civil : les mille et une empreintes d'un homme, et l'attachement dans l'horreur. Amortentia : Lavande sur le linge frais, les doux aromates qui viennent rendre moins amère la pitance! Elle n'ose l'avouer, mais une autre odeur apparait, la suit sans relâche : le réglisse qui ne vient pas de l'enfance, mais d'une peau trop de fois goutée. Localisation : Auprès de l'Homme, loin des rues d'enfance. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 16:21 | |
| PSEUDO : Pova Savi DON SOUHAITÉ : Celui de voyance. MOTIVATIONS : Quand j'ai commencé à imaginer ma petite Pova, je n'ai pas pu faire autrement que de la faire voyante, petite fille triste qui n'en est jamais heureuse. L'important est pas de satisfaire mon amour pour la divination, les symboles, mais surtout pour sublimer encore son histoire, sa pauvre âme. Née dans une famille de sorcier qui ont oublié leur propre nature, travaillant sans relâche, rangeant la magie au placard : ce monde n'a jamais séduit un Savi, et ils n'ont jamais vraiment pris la peine de l'apprendre à leurs nombreux enfants. Alors, la violence de sa première vision, le réalisme terrible de la situation... Rêve, réalité ? Tête qui déraille ? Sans un regard, et dans la panique la plus terrible, la jeune enfant de douze ans s'est enfuie dans les rues de Bohème, sans jamais se retourner. Toujours plus loin, et jusqu'à ce que le corps tombe de fatigue. Alors, c'est à cause de ce don, cette malédiction qu'elle aurait découvert une partie de ses pouvoirs, et qu'elle aurait quitté sa famille, pour s'installer dans un grand bazar de monde, comme un cirque/attrape touriste qui ne bouge pas. Elle y joue la diseuse de bonne aventure, tellement elle déteste ses quelques bribes d'avenir : elle imite, elle galvaude, juste pour une pitance fade. Car elle reste toujours sur ses gardes, car jamais relachant l'attention, les visions sont maigres, floues. Elle ne voit plus rien, et croit contrôler. Mais plus elle tente, plus elle renferme cette flamme d'avenir, plus elle s'échappe plus elles sont violentes et criantes de réalisme. De plus, c'en en jouant la menteuse qu'elle est tombé sur Anatoli, qu'il a voulu la garder, et éventuellement pourquoi elle est intégrée à la vie de la capitale, disons MISE EN SITUATION : - vastoiplaiz:
Les tombes de boues et de sang, de pierres de larmes : le lit des héros. L'océan de femmes éplorées et la patrie reconnaissante : le baume au cœur du sacrifié. Les millions de corps qui se sont effondré, d'un seul homme, et de chaque côté de la vérité : rien n'a été épargné. Les corps sont coincées au milieu de grands trous dans la Terre, avec du fer comme une barbe mal coiffée.
Douce fille, tendre bohémienne qui parcourt les rues bondées, et le monde qui surgit de nul part, agresse ses paumes. Des millions d'automates se meuvent, ploient, courbent l'échine sous le poids de la vie, qui dure et sans merci n'épargne rien ni personne. L'aventure résultante, la course contre ce dont on ne peut se détacher poursuit l'être jusqu'aux tréfonds de l'oubli, et ne laisse derrière que la plus amoindrie des carcasses. Elle navigue entre Ciel et Terre, entre Père et Mère, brise parfois des mains amoureuses ou des regards naissants. Perturbatrice d'instants, meurtrière de douceur. Elle demeure indifférente à la scène de Vie, et joue des coudes pour braver la marée humaine. Progression lente, et les vagues de mains et de bras l’étreignent et l'entravent. Son corps ne répond pas à la chaleur d'une place assise, du contact d'un ami. D'un aimé. Est-il possible de dire qu'elle ne connait de ce mot que sa prononciation maladroite ? Mais toujours, elle se débat et parcourt le terrain avec avidité. Jamais un regard pour ce qui a été fait sien par la force de chaussures élimées, et toujours les prunelles fixées sur un but que nul ne peut percevoir.
Les coups de feu, les oreilles qui sifflent. Les hurlements des uns, l'atrocité des autres. Boucherie ignoble, qui s'installe et subtilise les hommes. De longues armes d'or qui fendent le ciel, massacre la Terre sous les pieds qu'elle voit frétiller.
L'esprit libre n'arrêtera sa course que le soir venu, au détour d'une ruelle. L'affluence l'a quittée, et elle se complait dans la solitude. De temps à autre, on peut entendre le boucher crier sur sa femme, houspiller comme l'homme qui est devenu sa propre marchandise : une bête de beuglement. Des cris de gorge, des feulements d'animal qui arrachent à la Terre ce qui pense être sien. Elle sert encore plus fort ses petits genoux maigres l'un contre l'autre, et ses os se brisent presque quand le fracas d'une vitre claquée résonne. Le silence se voit violé, des millions de fois encore, quand la dispute éclate. Elle peut distinguer la voix d'une femme, rocailleuse. Ses oreilles saignent : le son déchirant d'une âme en détresse. Elle espère la fin de ce manège, que plus ne tourbillonne et ne l'emprisonne. Les mots dansent, leur fureur s'accroche à ses lobes, tombe sur ses joues : et les larmes s'écrasent sur ses lèvres.
Chaque endroit qu'elle parcourt participe à l'écho de ses rêves, renforce la terreur des cris qu'elle jure véritables, et non le fruit d'une imagination enfantine. Les minuscules mains se plaquent contre les yeux grands ouverts dans l'obscurité conférée, obstruent toute pénétration de l'extérieur. L'intrus qui vient insuffler à ses moments d'égarement des histoires qui n'ont jamais été, et donc la ligne temporelle semble si brouillée... Elle ne sait rien de ce qui lui arrive. La honteuse aimerait disparaître, et croit que se planquer davantage entre détritus et bazar entreposé l'aidera dans sa quête. Car s'effacer du cocon d'enfance, renier Mère et Père, frères et sœurs, amours naissants, lui a paru la plus digne solution, et aujourd'hui cela ne lui suffit plus.
Quelques inconnus marchent sur le trottoir adjacent, et la force des pas lui évoquent les bottes et les fusils qui martèleront le monde.
Un jour sans date, si jamais cela arrive. Elle ferme les yeux, et désire ne plus rien voir, que rien ne revienne. Les brumes la guettent, la regardent du coin de son esprit : elle les connait assez viles pour vouloir l'assommer à nouveaux de choses qui n'appartiennent pas au présent. Pas l'interprétation de l'enfant, qui ne sait rien de la valeur de ces informations, et tremblent de peur quand elle se remémore les pays voisins qui flanchent, les alliances qui se perdent. L'Allemagne, la France ? Ce grand empire froid, qui règne sur des étendues morbides ? Un homme, le regard blessé mais la fureur du patriote hurle à l'infamie, à l'horreur humaine ! Elle se jure de pouvoir le toucher, sentir son parfum de démence tant il est réel. La voix est indistincte malgré le ronronnement produit, la colère. Elle se concentre sur cette vision qui lui revient si souvent, alors qu'elle veut la chasser de sa tête, car elle est curieuse, elle veut savoir ce que l'homme hurle à la mort. Si elle parlait suffisamment bien allemand, la jeune enfant aurait compris qu'il annonçait la chute de l'Empire Allemand, et les conséquences de la triste issue d'une Guerre de si grande ampleur.
Il y a certaines choses, même si le Ciel veut le dire, qui ne doivent être dévoilées.
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| | | i am a new member Hiboux : 125 Avatar : hiddles. Crédits : princess rover (avatar). Âge : trente neuf ans à se forger, le tout désormais brisé par les paumes délicates d'une épouse. Nature du sang : pur, grenat que l'on envie et même si les murmures médisent, il reste l'un des grands que l'on admire. Statut civil : l'union prohibée, l'esclave devenue femme et l'aveuglement d'un homme qui n'avait que trop d'amour à donner. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 16:54 | |
| A contrecœur, oui pour toi Pova. |
| | | i take my decisions Hiboux : 160 Avatar : la sublime, l'incroyable léa. Double Compte : félix qui se touche avec des chaudrons. Crédits : moi pour les avatars - sauf un de crispow, velvet dust pour la signature, et inka la moche pour la team. Âge : vingt-trois ans, et l'impression d'être la tendre enfante qui découvre un univers, et celle d'être le rustre qui n'aime de la vie que les souvenirs. Nature du sang : sang sorcier qui n'a jamais connu la grandeur, qui n'a jamais cru préférable ne plus le dilluer. Statut civil : les mille et une empreintes d'un homme, et l'attachement dans l'horreur. Amortentia : Lavande sur le linge frais, les doux aromates qui viennent rendre moins amère la pitance! Elle n'ose l'avouer, mais une autre odeur apparait, la suit sans relâche : le réglisse qui ne vient pas de l'enfance, mais d'une peau trop de fois goutée. Localisation : Auprès de l'Homme, loin des rues d'enfance. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 17:01 | |
| T'as un problème le roux ? |
| | | bitch queen Hiboux : 534 Avatar : phoebe tonkin Double Compte : freyja, raafael et ivar Crédits : viceroy (avatar) et manon d'amûr (gif profil) Âge : vingt-quatre hivers. Nature du sang : pur. Statut civil : fiancée à yagor bytchkov d'après les dernières nouvelles. Patronus : un corbeau, symbole des mystères de la vie et de la magie. Amortentia : une odeur absurde de rhum mélangé à celle du bois | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 17:53 | |
| le don est à toi félix avec un vagin |
| | | i take my decisions Hiboux : 160 Avatar : la sublime, l'incroyable léa. Double Compte : félix qui se touche avec des chaudrons. Crédits : moi pour les avatars - sauf un de crispow, velvet dust pour la signature, et inka la moche pour la team. Âge : vingt-trois ans, et l'impression d'être la tendre enfante qui découvre un univers, et celle d'être le rustre qui n'aime de la vie que les souvenirs. Nature du sang : sang sorcier qui n'a jamais connu la grandeur, qui n'a jamais cru préférable ne plus le dilluer. Statut civil : les mille et une empreintes d'un homme, et l'attachement dans l'horreur. Amortentia : Lavande sur le linge frais, les doux aromates qui viennent rendre moins amère la pitance! Elle n'ose l'avouer, mais une autre odeur apparait, la suit sans relâche : le réglisse qui ne vient pas de l'enfance, mais d'une peau trop de fois goutée. Localisation : Auprès de l'Homme, loin des rues d'enfance. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Mer 9 Mar - 17:55 | |
| oh, c'est trop aimable. |
| | | maison de skadi Hiboux : 21 Avatar : dianna agron Crédits : smoak (avatar) themonsterswin (gif) Âge : le temps ne semble n'avoir aucun effet sur elle, son visage de poupée n'a pas changé, elle a vingt-quatre ans mais sa jeunesse semble ne jamais disparaitre Nature du sang : victime de sa fragilité, trop belle pour survivre à ce monde de brutes, une sang-pure dont on ne sait rien, ici, dont l'histoire reste à écrire Statut civil : la peste, personne n'est assez bien pour elle, personne n'a assez de désir pour l'aimer, elle ne semble avoir d'yeux que pour la bête Patronus : minuscule, roulée en boule sur elle même, cette vague fumée blanche peu à peu la forme d'une hermine, se camouflant au gré des saisons Amortentia : le sel de la mer, la terre de la forêt, des livres de bibliothèque et la sueur d'un homme | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Jeu 10 Mar - 12:47 | |
| PSEUDO : adelaide weasley DON SOUHAITÉ : don d'animagus, une jument blanche MOTIVATIONS : « (...)la seule chose dont son père se sent digne au point d’en parle durant des heures est son don : en effet, à l’âge de quatorze ans, elle se donna la plus grande expérience de sa vie en choisissant, sous conseil de son tuteur, de faire partie de la grande famille des animagus… cette expérience fut longue et difficile, son état psychologique, déjà fragile dû au visible manque d’affection de ses parents, garde encore aujourd’hui quelques séquelles, autrefois douce et sensible, elle peut parfois avoir un caractère imprévisible, voir même violent, ce fut la plus grande réussite de la famille depuis un siècle, reflétant ainsi la bonne magie qui coulait dans le sang des Weasley mais l’euphorie s’arrêta un an après(...) » MISE EN SITUATION : pour ce petit rp, je me permets de publier ce que je compte poster sur ma fiche, il s'agit de la première épreuve (celle de la forêt), j'espère que ça va conviendra
- Spoiler:
Il faisait encore nuit et, même à travers mes bottes en cuirs noirs, je pouvais sentir que l’herbe était encore humide. Un vent glacial chantait entre les arbres de la forêt, traversant mes vêtements, gelant mes os et ceux de mes futurs camarades. Nous avions eu nos instructions qui étaient des plus simples : avancés, encore et encore jusqu’à trouver le prochain indice. Coude à coude avec deux garçons, l’un des très grand et gras, alors que l’autre était aussi frêle que moi, qui s’amusaient à me bousculer, comme une vulgaire balle que l’on pouvait lancer sans aucune pitié. Je serrai les dents et les poings, j’en avais assez, comment pouvions-nous en être réduit à une vulgaire épreuve comme celle-ci alors que j’avais encore les séquelles de celle du lac, qui m’avait déjà presque achevée. Je soufflais fort alors que nous avancions encore l’un à côté de l’autre comme du bétails qui allaient se faire tuer. Le pas commença à s'accélérer, je peinais à suivre mais je ne m’avouais pas vaincu, je ne pouvais abandonner. D’un simple geste, d’une petite étincelle, je n’étais plus moi mais une masse imposante, rapide et agile, aptitude comparable à la drogue appelé la griffe du dragon sauf que ce n’était pas moi mais une partie de moi, peut-être était-ce la meilleure, comme beaucoup le penser, mais cette chose qui sommeillait en moi était un véritable monstre que je peinais à contrôler. D’une simple galopade, je me dégageai du groupe pour partir vers le centre à vive allure, les autres sur mes talons. Puis une lumière arriva jusqu’à moi, ligotant mes membres pour faire tomber à plat ventre sur la terre. J’essayai de me relever, en vain, chaque mouvement semblait m’être interdit. Je poussai un hennissement de détresse tout en débattant contre ses liens invisibles qui se resserraient autour de mon corps. Quelques secondes passèrent avant que les pas précipités des autres qui arrivaient vers moi, paniqués par le remue-ménage que j’avais causé. Je savais que crier ne servirait à rien. Je devais me battre, seule, comme je l'avais toujours fait. D’un bond, je me levai, rompant ses cordes qui me mutilaient pour reprendre ma course folle vers le cœur de la forêt où se trouver l’indice, c'était la seule chose qui comptait à l'heure actuelle : l'indice. J’avais cette désagréable impression d’être hors-catégorie, de n’être qu’une vulgaire tricheuse mais je pensais avant tout à mon avenir dans ce monde qui n'était pas le mien. Puis le silence retomba autour de moi alors que j’atteignis le centre de la forêt, les arbres avait arrêté de danser autour de moi et les quelques rayons de l'aurore que j'avais pu apercevoir un peu plus tôt semblait avoir disparu… je grattai le sol, mon esprit s’endormait alors que l’animal, lui, s’agitait, devenait presque fou, sentant le danger s’approcher de lui. Puis plus rien, si ce n’est qu’une odeur putride que mes sens développés ne supportaient pas, un hennissement retentit, raisonnant dans ma tête comme s'il s'agissait du mien. Mes jambes tremblèrent alors que je voyais la créature s’approchait de moi. Elle n’avait rien d’effrayant, rien de surprenant pour quelqu’un comme moi. Elle me ressemblait, son corps blanc écume, les crins en joncs gouttant, le regard bienveillant, les allures légères, tournant autour de moi, jouant avec ma patience, hennissant, bougeant la tête, faisant voleter sa crinière trempée, m’aspergeant d’eau en dansant… Ce fut à mon tour de secouer la tête en reculant, refusant de rentrer dans sa danse tout en prenant conscience qu’il ne s’agissait pas réellement d’une épreuve de force mais d’une épreuve de psychologie. Ces démons était connus pour hanter des rivières dans le Nord de l’Europe, présentant son dos au naïf pour ensuite les noyer et les dévorer. Je me dressai sur mes jambes arrière, espérant effrayer la bête alors que je cherchais une solution m’emparer de l’indice qui s’était glissé sous ses sabots qui s’agitait, piétinait la boue qu’il avait créée avec l’eau qui s’échappait de son corps. Notre confrontation ne s’arrêta pas qu’à des agressions passives, à marteler le sol de nos sabots, osant montrer les dents, les oreilles plaquées contre la nuque, non, le monstre avait pris le dessus, agrippant mon garrot avec sa mâchoire, tapant mon dos à plusieurs reprises pour me mettre au sol. J’avais peur lorsqu’il me laissait un moment de répit, mes jambes semblait à peine pouvoir soutenir mon poids, mes muscles s’endolorissaient puis la vérité me frappa de plein fouet. Je n’avais pas à me battre, je n’avais qu’à me défendre, qu’à chercher à le fuir. Je m’apaisai afin de reprendre ma forme humain, innocente si délicieuse à ses yeux, les yeux vers le sol alors que j’entendais le Kelpy se calmer face à sa nouvelle proie qui avait beaucoup plus d’importance à ses yeux que son ancien rival. Il n’était plus question de dominance, de chef de troupeau, ici, j’étais en bas de la chaine alimentaire. merci pour le temps que vous avez accordé à ma demande, en espérant qu'elle soir à la hauteur de vos espérances |
| | | i take my decisions Hiboux : 12 Avatar : Freida Pinto Crédits : fae + tumblr Âge : 30 yo. Nature du sang : Pur Statut civil : Célibataire | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Ven 11 Mar - 0:58 | |
| PSEUDO : Damayanti Suresh DON SOUHAITÉ : Animagus, hibou grand duc MOTIVATIONS : "Toutes les générations de femmes dans ma famille ont été entraînées à être Animagus et la majorité d'entre elles ont été des volatiles. Etant née une femme, il était inscrit dans mon avenir que je devrai maîtriser la transformation d'animagi. Dès mes huit ans, m'ont père m'entraîna, ou plutôt m'imposa de me transformer et de réussir le plus rapidement possible. Mes échecs se soldaient par des coups de ceinture. Ce traitement violent n'a pas fonctionné pendant les premières années jusqu'au jour où il a finalement porté ses fruits. Ce fut une véritable délivrance, malgré la douleur, malgré les coups, malgré la colère. Le hibou, dans l'imagerie hindoue le hibou est une monture des dieux, décuplant leurs pouvoirs et symbolisant la sagesse et le dépassement de soi. Cette transformation ne me surprend guère puisqu'au fond de moi, quand bien même je fulminais à l'égard de mon paternel, j'étais convaincue qu'il faisait cela pour mon bien. Du moins, je ne pouvais me résoudre à penser qu'il me voulait purement et simplement du mal. Lorsque j'ai su annihiler cette haine consumante, je réussi finalement la transformation complète. Par la suite, lors de la formation de mon premier patronus physique, je me suis surprise à créer un hibou grand duc là aussi. Cela a eu pour but de me conforter dans ma personnalité intérieure et de m'inciter à toujours faire plus." ° C'est un véritable moteur pour Damayanti de parvenir à se transformer. Elle a le sentiment de se rapprocher de ses ancêtres et de ressentir les mêmes choses qu'elles ont ressenti au même moment de leur vie. Elle se sent partie intégrante de la famille Suresh, chose qu'elle ne considérait pas comme telle jusque là de part les traitements froids de ses parents. ° La symbolique que détient le hibou dans la religion hindoue est également très significative pour elle. Cela renforce le peu de confiance en elle dont elle joui et la conforte dans ses choix de carrières. De plus, cela la pousse à toujours vouloir accomplir plus que ce qu'on attend d'elle. ° Une fois la véritable nature de son fiancé découverte et son contrat à Beauxbâtons terminé, Damayanti passa beaucoup de temps sous sa forme animale, ce qui a fortement déteint sur sa personnalité actuelle. Plutôt solitaire et renfermée, elle n'en reste pas moins une très bonne professeur et une très bonne conseillère de surcroît. Cette période lui a permis de prendre du recul par rapport à sa vie et à ce qu'elle se devait d'accomplir. MISE EN SITUATION : Il est tard et mes jambes ne soutiennent plus mon corps meurtri. Je relève le menton, dévisageant cet homme qui ose se targuer d’être mon père. Un géniteur, ni plus, ni moins. Le soleil est couché depuis plusieurs dizaines de minutes déjà et pourtant, il poursuit son ignoble traitement. Je n’arrive pas à faire mieux qu’une dizaine de plumes, plantées dans mes bras et mes ongles qui se transforment en serres depuis quelques temps. La nuit, c’est à moi de les arracher, sans vergogne, en silence pour ne pas les déranger. Je me mords la lèvre jusqu’au sang pour ne pas crier de douleur tandis que mon sang coule en fines rigoles le long de mes bras maigres. Je demande discrètement à ma gouvernante de me limer les ongles pour qu’ils reprennent une taille normale, elle qui est témoin de ces atrocités depuis le premier jour mais qui ne dit jamais rien. Un autre coup de ceinture vient ouvrir les cicatrices fraîches de la semaine passée. Je mords ma lèvre inférieure pour ne rien laisser paraître de ma douleur, mais il le sait. Un autre. Puis encore un, un deuxième. La cadence est presque musicale lorsque je ne parviens plus à réprimer mes cris. Il redouble de force, le bougre. Je le déteste, que dis-je? Je le hais, ni plus, ni moins. Puis, résignée, je ferme les yeux et laisse mes larmes couler. Je ne retiens plus rien, c’est terminer. C’est ce qu’il cherche? Il le trouvera sans résistance. Je suis las de le détester et de le haïr, cela ne change rien à ma situation. Mais que veut-il au juste? Je m’abandonne au chaos du tourbillon de mes pensées. Toutes se croisent, s’entremêlent et dansent dans mon esprit jusqu’au point où je ne discerne plus la réalité de la fantaisie. Mon corps s’allonge contre le sol et je ne sens plus mes doigts. Ma tête se pose contre la terre dont la douceur et le fraîcheur sont un soulagement comme rarement j’en ai ressenti, mais je ne sens pas mes cheveux glisser le long de mon visage. Je pense rester là pendant quelques minutes, tout au plus. Mais en regagnant conscience, je me tourne vers mon père, assit sur une souche d’arbre, les yeux ébahis. Je veux me relever, je me demande à quoi peut être dû cette expression à la fois impressionnée et révulsée. En pensant mettre mes mains au sol, je me rends compte avec effarement que mes mains ont laissé place à des plumes. Plutôt des ailes, jonchées de plumes dans les tons châtains et brun rappelant la couleur de ma peau et de mes cheveux. La panique m’emporte et je me précipite dans des mouvements aléatoires qui me font me découvrir un peu plus. J’aperçois des serres aiguisées à la place de mes pieds et les ailes qui me servent à présent de main se posent sur un visage surmonté d’un bec. Je regarde à nouveau mon père qui a retrouvé sa contenance et essaie de lui demander ce qu’il se passe. Rien ne sort, si ce n’est des cris étranges et quelque peu stridents. Il marche dans ma direction d’un pas décidé et me saisis sous les ailes avant de me lancer en l’air de toutes ses forces. Ma plainte est à nouveau un cri sans mélodie. Je ne comprends pas ce qu’il se passe. J’agite ce que je pense encore être des bras à une vitesse aléatoire et je finis par m’écraser au sol. Un nouvel élan de douleur irradie mon bras, redevenu un bras d’apparence normal. J’y jette un coup d’oeil et comprends clairement qu’il n’est pas supposé se plier dans ce sens. Je suis redevenue moi-même. Ou du moins, j’ai repris mon autre forme. Car c’était encore moi, sous cette couche de plumes, je pouvais réfléchir, penser et me déplacer selon mes désirs et non selon un quelconque instinct animal. Mon père me saisit par mon bras valide et m’entraîne de nouveau vers la maison. Il me laisse dans la cuisine avec ma gouvernante, lui sommant de réparer mon bras.
« On reprendra demain. » me dit-il sèchement.
Ce à quoi je réponds en acquiescent simplement. Convaincue maintenant du bien fondée de son attitude et de mes capacités à me surpasser. En espérant ne pas être trop en retard et que cela retiendra votre attention |
| | | i am a new member Hiboux : 16 Avatar : ben barnes. Crédits : shiya (avatar); endlesslove (signature); tumblr (gifs). Âge : Trente-trois balais magiques. Nature du sang : Un sang limpide, et clair coule dans ses veines. C'est un sang pur. Descendant d'une longue lignée de sorciers, il porte le doux nom de Von Rosenberg. Certains vous diront qu'ils n'ont jamais entendu ce nom dans le monde magique, tandis que d'autres eux, les craignent. Statut civil : Le sorcier a toujours eut un faible pour les femmes c'est un fait, or, il est resté un célibataire endurcit. Il n'a jamais voulu s'attacher pour plusieurs raisons. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Ven 11 Mar - 16:59 | |
| PSEUDO : Reiner Von Rosenberg. DON SOUHAITÉ : La legilimancie. MOTIVATIONS : Qu'on m'arrête si je me trompe, mais je voyais les Von Rosenberg comme des gros manipulateurs, cachant très bien leur jeu. De ce fait, il m'est venu en créant peu à peu le personnage d'y ajouter la legilimancie. D'un certain point de vue, il serait intéressant de le prendre en compte. Je voyais Reiner comme un fin stratège, aimant tout contrôler en usant des gens comme de pions. Et quoi de mieux que de pouvoir entrer dans leur tête ? Et pour ajouter un peu de piment (parce que j'aime les personnages tordus), j'ai voulu rendre sa personnalité un peu plus complexe en le faisant un peu … Dérangé ? Attention, pas fou, entouré d'une psychose depuis qu'il est tout petit. Influencé par ce qu'il voit et entend, il n'en serait que plus perturbé. Un comble quand on sait que monsieur est un manipulateur hors-pair. MISE EN SITUATION : L'initiation s'est peu à peu transformée en malédiction. Tu ne t'en es pas rendu compte. Tu ne l'as jamais vu venir non plus. Ironie du sort, l’exécrable manipulateur est devenu manipuler à son tour. Les voix et les souvenirs te hantent. Ils t’obsèdent, te malmènent. Esprit vif mais tout aussi sensible, tu t'es perdu. Dans la folie, la déchéance, et la noirceur. « Il faut être fort pour maîtriser la legilimancie. Il faut être solide pour voir l'invisible ; et entendre l'inaudible. » Parole d'un professeur, et surtout d'un homme aveugle. Il n'a jamais vu que l'héritier de la rose rouge était tout sauf fort. L'innocence ; aussi malléable qu'influençable. Il n'a jamais soupçonné qu'une simple pensée te pervertirait un peu plus, ou qu'un souvenir perturberait ton esprit déjà un peu dérangé. Et pourtant … Tu nages en plein chaos ; tout le temps, toujours. Personne ne le voit. Personne n'a encore compris. Or, tous les jours, tu te débats. Tu te bats contre toi-même d'abord. La psychose veut ta peau, elle te bouffe. Et tu te bats également contre les hommes. Tu as tout vu. Tout entendu. Et il n'y a qu'un mot qui te vient à l'esprit : ignominie. Les hommes sont laids, horribles. Damnés par la chair et le sang. Monstres bipèdes, ils sont pourris jusqu'à la moelle … Comme toi. Néanmoins, tu te plais à te mettre dans la peau de la victime. Évidemment, c'est plus facile. Narcissique au possible, tu préfères croire que c'est la faute des autres si tu es devenu ce que tu es aujourd'hui. Tu t'es immiscé trop de fois dans la tête des gens pour en ressortir indemne. Oui, voilà, c'est ça. Ce n'est ni la faute de ce professeur porteur de fléau, ni de ce père aussi exigeant que sévère. « Ça tombe fort bien, je le suis ! » Arrogant était jadis le petit garçon, qui l'est toujours aujourd'hui d'ailleurs. Peut-être que tu aurais dû réfléchir à deux fois ? Non, évidemment que non. Papa toujours derrière ton dos, t'as poussé à le faire. Et te voilà maintenant la corde au cou. Tu sais qu'il n'est pas bon de trop « entendre ». Tu sais que les « souvenirs » sont de véritables poisons pour ton esprit. Pourtant, tu ne peux t'en empêcher. Savoir, déchiffrer, découvrir, anticiper. Ce don ou cette malédiction t'apporte autant de choses qu'elle ne t'en fait perdre. Après tout, elle n'effrite que ta raison … Est-ce vraiment si important ? Crac, crac, … C'est le bruit que fait ton équilibre mental. Prêt à partir en vrille, le sol se dérobe sous tes pieds. 'Je veux les voir tous mourir'. Un murmure. Un secret inavouable. Une envie qui n'est pas la tienne ; un désir qui devient irrémédiablement le tien. Comme tant d'autres. Comme souvent. Ton esprit confond, se mêle les pinceaux. Tu bifurques, mélangeant tes pensées à celles des autres ; et peu à peu, tu ne sais plus qui tu es. « Mère, vous avez bien que je suis allergique aux crustacés. » Ah oui ? Depuis quand ? |
| | | bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Ven 11 Mar - 17:12 | |
| Ce sera un oui pour toi Reiner, il te faut néanmoins l'accord d'un autre membre du staff pour avoir la possibilité de jouer le don. Adelaide et Damayanti, comme je l'ai déjà dit hier soir à Dama, je ne peux pas vous départager dans le sens où personnellement, j'adore vos écrits à tous les deux Donc je reste neutre et j'attends que deux autres kékés viennent se prononcer en la faveur/défaveur Bonne chance tout de même |
| | | bitch princess Hiboux : 952 Avatar : kristen stewart. Double Compte : runa vasara. Crédits : avatar ©myself ○ gif from chrisevams (tumblr) ○ sign made by vivi la gueuse ○ lyrics by halsey. Âge : vingt cinq ans. Nature du sang : le sang qui coule dans ses veines est vu comme honteux et quelque chose qu'il faut caché sous peine de voir sa liberté s'envoler. Statut civil : son coeur a battu pendant de longues années au même rythme que celui de son maitre, aujourd'hui, il essaie de trouver sa propre mélodie, partagé entre deux nobles au sang pur. Patronus : un renard polaire, un animal fugace et impossible à attraper. Amortentia : l'étrange odeur de la poudre, du lilas, de la foret et de la mer. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Ven 11 Mar - 17:41 | |
| Alors, tout comme Vivi, je dis oui à Reiner, j'aime beaucoup ta mise en situation. Quant à Adelaide et Damayanti, je suis plutôt en faveur d'Adelaide - navrée Dama. |
| | | i am a new member Hiboux : 16 Avatar : ben barnes. Crédits : shiya (avatar); endlesslove (signature); tumblr (gifs). Âge : Trente-trois balais magiques. Nature du sang : Un sang limpide, et clair coule dans ses veines. C'est un sang pur. Descendant d'une longue lignée de sorciers, il porte le doux nom de Von Rosenberg. Certains vous diront qu'ils n'ont jamais entendu ce nom dans le monde magique, tandis que d'autres eux, les craignent. Statut civil : Le sorcier a toujours eut un faible pour les femmes c'est un fait, or, il est resté un célibataire endurcit. Il n'a jamais voulu s'attacher pour plusieurs raisons. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Ven 11 Mar - 17:57 | |
| Merci ! |
| | | i am a new member Hiboux : 14 Avatar : dane dehaan Double Compte : alexa, freyja et raafael Crédits : elastic heart (avatar) Âge : vingt-six ans Nature du sang : des rubis coulent dans ses veines. des pierres précieuses pures, aussi rouges que le sang. Statut civil : coeur arraché à main nue et piétiné au sol. Patronus : un lion. symbole de force, de majesté et de suprématie. Amortentia : une brève odeur d'effluves de potions accompagnée d'un soupçon de parchemin et de rose. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Ven 11 Mar - 18:36 | |
| tout comme laura, je penche davantage en faveur d'adelaide vraiment désolée |
| | | maison de skadi Hiboux : 21 Avatar : dianna agron Crédits : smoak (avatar) themonsterswin (gif) Âge : le temps ne semble n'avoir aucun effet sur elle, son visage de poupée n'a pas changé, elle a vingt-quatre ans mais sa jeunesse semble ne jamais disparaitre Nature du sang : victime de sa fragilité, trop belle pour survivre à ce monde de brutes, une sang-pure dont on ne sait rien, ici, dont l'histoire reste à écrire Statut civil : la peste, personne n'est assez bien pour elle, personne n'a assez de désir pour l'aimer, elle ne semble avoir d'yeux que pour la bête Patronus : minuscule, roulée en boule sur elle même, cette vague fumée blanche peu à peu la forme d'une hermine, se camouflant au gré des saisons Amortentia : le sel de la mer, la terre de la forêt, des livres de bibliothèque et la sueur d'un homme | | | | i am a new member Hiboux : 11 Avatar : Emily Didonato Crédits : créateurs bazzariens divers ; tumblr Âge : princesse déchue et pantin du tsar qui a vu le jour il y a déjà de cela vingt-cinq longues années Nature du sang : elle porte en son sein un sang souillé par le poison de la bête qui ronge son être. Statut civil : forteresse de glace entourant son cœur intact, n'ayant jamais goûté aux plaisirs de l'amour, de la chair ... | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Sam 12 Mar - 4:09 | |
| PSEUDO : Staska Poniński DON SOUHAITÉ : Lycanthropie (en sachant que théoriquement il ne reste plus de place, mais que je peux poster cette demande avec l'accord d'Hedvig ) MOTIVATIONS : Sincèrement, détailler mes motivations ne s'avère pas être ma force, mais je vais tenter de faire de mon mieux. Tout d'abord, c'est écrit que la famille est frappée par cette fameuse malédiction depuis déjà bien longtemps. Ensuite, je pense que, sous sa forme de loup, Staska aurait commis plusieurs atrocités qui hanteraient à présent ses nuits. Elle redouterait les soirs de plaine, allant même jusqu'à s'enchaîner quand cela s'avère possible. À cause de ce qu'elle a pu commettre sous sa forme de bête, cela la pousserait à tenter d'être une meilleure personne sous sa forme humaine. Elle chercherait d'autres moyens que la violence pure et brute pour protéger la famille royale. Jouant à présent plus sur le plan psychologique et se fiant à ses dons magiques plutôt, qu'à la force que lui procure le loup. C'est cette peur de la bête qui sommeille en elle qui l'aurait poussé à se surpasser à améliorer ses talents en magie, cherchant à en apprendre toujours plus. Malheureusement pour elle, elle est de plus en plus aveuglée par cette soif de pouvoir que lui procurent ses progrès en magie. À présent maître dans l'art de la manipulation et de la tromperie, elle aurait mieux fait de rester un simple loup sanguinaire, dangereux principalement les soirs de pleine lune. Néanmoins, elle ne voit pas le mal s'insinuer en elle, elle ne voit que les aspects bénéfiques de la situation. Éviter les massacres sanguinolents. (Donc, on comprendra que c'est la malédiction du loup qui à fait d'elle ce qu'elle est à présent )
MISE EN SITUATION : La sueur perlait sur son front plissé. Les yeux toujours clos, elle peinait à respirer. Haletant de tout son être, tremblant sans cesse malgré l'air humide et chaud qui persistait depuis quelques jours. Elle osait à peine bouger les poings serrés et les jambes flageolantes. Un arrière-goût métallique lui irritait la gorge. Irrépressible envie de vomir. Impression d'être souillé. Elle se laissa finalement choir sur le sol. Finalement, elle ouvrit les yeux, péniblement, ni voyant rien. Que des ombres difformes et des couleurs. Rouge. Sa vue était embrouillée, très certainement par les larmes qui perlaient lentement au coin de ses yeux, se mélangeant doucement à la sueur coulant sur son visage déformé. Elles avaient un goût salé, amer, qui n'arrivait pas à éclipser cet arrière-goût métallique qui persistait dans sa bouche. Elle leva lentement sa main, pour tenter de chasser le brouillard de ses yeux, hésitant légèrement. Lorsque sa vision redevint claire, elle prit conscience, douloureusement, de ce qui venait de se produire. Ils le savaient. C'était ÇA qu'ils voulaient. Cette horreur, ils l'avaient voulue. Elle n'en voulait pas. Mollement, elle laisse ses bras pendre le long de son corps, incapable de réagir. Ces pauvres corps disloqués, ensanglantés, au regard effrayé. Esclave malchanceux, probablement trop audacieux. Ils auraient mieux fait de rester au palais. Ils devaient être punis, c'est ce qu'on lui avait dit. Elle avait espéré vainement réussir à les retrouver avant que la lune montre le bout de son nez. À présente pâle lueur dans le ciel, elle ne semblait avoir plus aucun effet sur la pauvre demoiselle. Maudit soit l'astre qui causait en elle tant de remous. Ils avaient prévu leur coup. Ils savaient. Un châtiment ignoble, un châtiment sanglant. Voilà ce qu'ils méritaient. Les larmes se remirent ruisseler sur son visage ensanglanté. Elle se sentait sale, souillée et pourtant, une partie d'elle à l'intérieur était enchantée par le festin qui avait précédé. Le loup était encore présent et elle luttait pour le repousser au loin. Chien de garde redoutable une fois la pleine lune arrivée. Son sang, tout comme son être, était souillé par cette malédiction qu'on lui avait imposée. De plus, au nom du tsar, pour protéger la famille et leur porter honneur, on la forçait à commettre ses erreurs. Cependant, elle avait le sentiment, au fond d'elle-même, que ce qu'elle accomplissait était bon. Bon pour la famille royale et elle pensait sincèrement avoir fait son devoir. Des pensées confuses traversèrent alors son esprit, des cris fusèrent. Les cris de ses victimes. Elle porta en vain les mains à ses oreilles, tentant de faire cesser les cris. Il n'y avait rien qu'elle puisse faire. Les cris n'étaient pas réels, du moins, ne l'étaient plus. Les souvenirs du massacre l’assaillaient de toutes parts, ne lui laissant aucun répit. Elle cria. Tentative désespérée de faire cesser le flot d'images qui la harcelait.
(Désolé d'avoir tardé à poster ) |
| | | i am a new member Hiboux : 27 Avatar : queen daenerys. Double Compte : yagor, serghei. Crédits : mine, tumblr. Âge : vingt-quatre années. Nature du sang : mêlée, damnée. Statut civil : un cœur seul. Patronus : une vouivre. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Sam 12 Mar - 14:33 | |
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| | | i take my decisions Hiboux : 98 Avatar : MORTENSEN. Crédits : L'AUTEUR // PATHOS Âge : LVI Nature du sang : Ichor fruit du mariage des rois. On se courbe, se prosterne devant la Pureté toute puissante. Statut civil : Marié à la belle et intemporelle Marissa. Fermez donc les yeux sur les petits « à coté » innocents du mari modèle. Localisation : J'suis dans mon jacuzzi, t'es dans ta jalousie. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Lun 14 Mar - 0:16 | |
| PSEUDO : Eldrich Pavé Cæsar Rasmussen DON SOUHAITÉ : Conceal, don't feel. Occlumens et apprenti voyeur legilimens. MOTIVATIONS : L'occlumancie n'est rien de moins qu'une nécessité d'ordre vitale pour le Haut-Duc. L'apprentissage de cet arcane a été fait sur la volonté de son père, ce dernier tenait absolument à ce que son fils ait une maîtrise conséquente de cet art magique. C'était pour lui la condition sine qua non avant de commencer à lui transmettre quoi que ce soit d'un temps soit peu important - tant au niveau de la magie ( noire ou blanche ) que des secrets de famille. Le secret, la dissimulation, le mensonge ; Eldrich baigne dedans depuis qu'il est tout jeune. L'idée de parvenir à dissimuler ses pensées et ses souvenirs les plus profonds l'a bien évidemment séduit ( cela devient d'autant plus évident lorsque l'on considère qu'il a grandit aux cotés de la sangsue émotionnelle qu'est son empathe de frère, Janis ) Avide de reconnaissance auprès de son paternel et prenant son rôle de futur Roi et patriarche très au sérieux, il se lança corps et âme dans cet apprentissage sous la tutelle de son père, lui-même legilimens. Le fait d'être occlumens l'avantage quotidiennement, alors qu'il louvoie dans les couloirs du palais royal à l'affut de la moindre parcelle de pouvoir à grappiller. Mentant, dissimulant ses véritables intentions plus efficacement que bien des sorciers, le tout bien souvent sous le très vénérable nez du Tsar. Without it, he's dead meat. Plus récemment - suite au meurtre de son fils à vrai dire - la légilimancie a commencé a intéresser fortement le Haut-Duc. Les murmures auxquels il ne prêtait pas l'oreille en premier lieu commencent à se faire entêtant, et peu à peu le doute s'installe, insidieux. Il ne s'agit pour le moment que d'un outil émoussé, imprécis, que sa paranoïa naissante cherche à tout prix à maîtriser pour se prémunir de la menace qui se profile. COMMENTAIRE : Je m'excuse - vaguement - pour la longueur du texte plus ou moins inutile. Trop heureuse d'avoir trouvée une idée pour ce foutu rp, je me suis quelque peu laissée emporter. MISE EN SITUATION :La porte se referma dans un chuintement métallique, le coupant de l'agitation ambiante. La ruelle était d'un calme salvateur, et pas un chat n'avait encore osé fouler la neige vierge ; calme et solitude, tout ce qu'il recherchait à cet instant. Eldrich posa son verre sur le rebord d'une fenêtre et soupira, profitant du peu de répit qu'il s'offrait. Ce genre de faiblesse était rare chez lui, c'était plutôt Janis qui était susceptible de fausser compagnie lors de tels rassemblements - et a raison. Mais ces derniers temps, tout ce qui n'était pas susceptible de lui apporter sur un plateau la tête du meurtrier de son fils lui semblait d'une futilité insupportable. Le père lésé dans sa chair sortit son étuis à cigarettes et commença à fumer ; les volutes bleus se mêlèrent rapidement aux quelques flocons timides qui hésitaient à tomber. La rumeur de la fête filtrait au travers de la porte, tout comme les rumeurs quant au meurtrier filtrait au travers de ses conseillers, malgré leurs efforts. Andersen, Bytchkov, Strøm - des noms, des échos dont il n'avait rien à faire, il voulait du sang. Quelques minutes s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'éclats de voix et harmoniques endiablées envahissent de nouveau la ruelle. Un jeune homme en frac apparut à ses cotés, certainement venu pour fuir quelques instants l'agitation lui aussi, Il fit un léger mouvement de recul en voyant Eldrich, pensant sûrement être seul. « Je vous prie de- - Inutile. J'avais fini de toute façon. » Dans la pénombre, le jeune homme acquiesca d'un signe de tête. Eldrich tira une ultime bouffée de sa cigarette et jeta le filtre doré dans la neige. A aucun moment il était question de rester indéfiniment caché de la foule, mais quelques minutes de plus aurait été la bienvenue. Le crachotement sec d'une pierre à briquet tira Rasmussen de ses pensées ; la mèche de l'intrus peinait à prendre feu. « Vous n'auriez pas- - Là. » Le Haut-Duc tira un briquet de l'une des poche de on veston et produisit une flamme dans l'instant, urbain comme jamais. « Merci. » Il se pencha vers la flamme et alluma la cigarette glissée entre ses lèvres. Le feu brillait dans les yeux du Roi alors qu'il observait le jeune homme jusqu'ici resté dans la pénombre ; dans la fleur de l'âge, pas des plus désagréable à regarder. Il s'agissait néanmoins de s'éclipser avant qu'il ne se sente obligé de faire la conversation. Au moment ou il se redressa, un éclair blanc jaillit de sa main et se ficha une fois, deux fois, trois fois dans son flanc. Rasmussen esquissa un geste vers sa baguette, mais un uppercut eut finit de le mettre au sol. Il n'avait rien vu venir. La neige était froide contre sa nuque, mais ce n'était rien comparé au froid qui perçait ses entrailles. Le coup l'avait sonné, trop sonné pour qu'il se rende compte que l'homme fouillait sa veste pour s'emparer de sa baguette, mais pas assez pour ignorer la douleur alors qu'il le tira par le scalp jusqu'au mur contre lequel il le cogna avec force, de manière à l'asseoir contre ce dernier. L'assaillant vissa sa baguette contre la tempe d'Eldrich, donnant un certain poids à sa menace - comme si le couteau fiché dans ses côtes n'était pas assez convaincant. « Maintenant ... Je n'ai aucune envie de vous tuer, mais si vous me tenez tête, croyez-moi quand je vous dis que la mort serait un sort bien plus enviable à ce que je vous réserve. » A cela, Eldrich ne put réprimer un sourire carnassier, le jeune homme était bien sûr de lui, il lui donnait bien cela. Plus près que jamais, Eldrich pouvait à présent regarder le jeune insolent droit dans les yeux ; malgré la pénombre, ses pupilles n'étaient pas plus grande que la chas d'une aiguille. Ce détail couplé à la force dont il venait de faire preuve ne laissait que peu de place au doute ; il s'était dopé à coup de griffe de dragon. Quelles que soit ses paroles, Eldrich avait un mauvais pressentiment quant à la suite des événements. « Legilimens. » L'idiot. Trop concentré sur sa blessure, le Roi fut prit au dépourvu. Voilà donc pourquoi il ne comptait pas le tuer tout de suite - mais l'instant de faiblesse obtenu par la surprise fut de courte durée. L'usage que faisait Eldrich de l'occlumancie était semblable à celui d'un voile diaphane d'une finesse prodigieuse mais d'une opacité remarquable, et qui, jeté sur tel ou tel pan de sa mémoire, dissimulait à la perfection l'objet délictueux tout en renvoyant au curieux l'image même de l'ingénuité la plus sincère. Mais qui peut le plus, peut le moins ; face à l'intrusion violente et grossière, c'est un mur de pierres éprouvé par plus de trente ans d'expérience qu'Eldrich dressa. Mur contre lequel l'insolent se fracassa joyeusement, au grand plaisir du Roi qui avait reprit du poil de la bête. De retour dans la ruelle, le jeune homme chancela mais Eldrich l'aida dans sa chute d'un coup de pied en pleine poitrine. Enragé, Rasmussen se releva et désarma l'assaillant d'un coup de pied dans la main. Mais juste au moment ou il allait fondre sur lui, un croque en jambe le précipita dans la neige. L'homme s'empara de la dague encore fichée dans le torse de Rasmussen, lui arrachant un grognement bestial par la même occasion. La dague s'abattit à nouveau sur Eldrich, mais il la stoppa à temps cette fois ci - le prochain coup qu'il se prendrait risquait bien d'être son dernier, il n'avait pas le droit à l'erreur. De son autre main, il bloqua un coup de poing visant sa mâchoire et répondit dans l'instant, assénant un coup de tête sur l'arrête du nez de son assaillant et, profitant de sa perte d'équilibre enfonça une fois pour toute la dague d'argent dans la poitrine, trop près du cœur pour qu'il puisse se relever après pareil coup. A bout de souffle et de force, Eldrich resta dressé sur le corps du jeune homme, s'assurant que la lueur dans ses yeux s'éteigne bien avant de s'affaler dans la neige à son tour. Sa respiration était laborieuse, douloureuse, comme chaque mouvement qu'il esquissait. Il tenta de remuer, de se trainer, de se relever, mais c'est tout son corps qui lui hurla de s'arrêter. La douleur ne lui était pas inconnue, non. Mais il y a des limites à tout, même pour lui. La douce chaleur du sang s'étendait sur tout son flanc gauche, gagnait son dos, ses cuisses, jusqu'à finalement le quitter pour de bon, s'emparant de la neige vierge, aussi pure que la sang qui la teintait. Son propre sang, hors de sa pauvre carcasse. Hélas, ce spectacle si réjouissant chez le cadavre d'à coté perdait tout ses attraits dès qu'on en devenait l'objet. Au loin, la fête battait son plein, convives et sujets s'en mettaient plein la panse alors que leur Roi, lui, se vidait. Un sourire ironique étira sa face déjà enlaidie par un rictus de douleur, une petite voix au fond de son crâne lui susurra que ce n'allait plus être qu'une question de minutes avant qu'il ne rejoigne celui qui gisait à ses cotés ; le sang continuait sa lente course, inlassablement, et avec lui, ses forces le quittait. Il aurait voulu vomir sa haine, cracher son fiel et son envie d'en découdre et de vivre, mais tout ce qui venait à sa bouche, c'était du sang et son goût ferrugineux. Son propre sang. Serrant les dents et les poings, faisant fi de la douleur, Rasmussen se hissa, fit un pas, deux pas, chancela, tomba. ; ses jambes refusaient de le porter plus loin. La glace de la neige lui semblait d'une douceur exquise face au froid qui s'emparait de lui. Echoué dans son propre sang, étalé de tout son long dans les décombres, une plainte, un cri, une vocifération horrible, bestiale, traversa la barrière de ses lèvres, répandant, crachant le sang qu'elle retenaient. Le hurlement n'était pas pas tout à fait inhumain cependant, mais c'était peut être justement ce qu'il y avait de plus effroyable dans cette clameur. Les murs de la ruelle s'emparèrent cri et le renvoyèrent au centuple, en une multitude d'écho moqueurs, raillant son impuissance. Esclaffade auquel il se mêla ; un rire inarticulé, fou, désespéré, remua sa carcasse douloureuse et sanguinolente. Faisant preuve d'une curiosité déconnectée à faire frémir, il regardait la flaque de sang s'agrandir à ses cotés, lentement mais sûrement, gagnant paresseusement la neige. Il suivait du regard sa progression et l'observa avaler sa baguette qui avait roulé plus loin, si proche, et pourtant si loin dans son état. Sans vraiment y avoir songé, cela lui semblait évident qu'il allait mourir par le poison - tout comme son père et son père avant lui, tout comme son fils. Pas laissé pour mort tel un cabot dans une sombre ruelle. Mais cette fin n'avait guère plus de sens qu'une autre. Son regard capta les étoiles avant de s'éteindre.
Secondes, minutes, heures - le temps se confondait dans la raison fêlée du Roi blessé. Mais il est des choses qu'il ne saurait méprendre. « Il est là. » La voix, blanche, de Janis peina à le tirer de ses délires de mourant. « Il faut- — La ferme. » Soit. Jamais Eldrich n'avait vu telle expression sur le visage de son frère, mais à cette pensée une seconde succéda ; ce n'était certainement qu'un triste miroir que Janis ne pouvait s'empêcher de lui tendre. Il aboya quelques ordres à l'intention des gardes qui étaient venus avec lui et se mit aux cotés de son aîné, dans la neige. « Ne bouge pas. » Janis déchira la chemise ensanglantée d'Eldrich, afin de constater l'étendu des dégâts ; impossible au blessé de manquer la grimace qui barra son visage. Eldrich l'ignora et laissa errer son regard jusqu'au verre de Souffle qu'il avait posé plus tôt. Qu'est-ce qu'il ne donnerait pas pour quelques gorgées ... Janis se mit à murmurer, entonnait baguette en main des imprécations visant à soigner son frère. « Aidez-moi à le relever. Combien étaient-ils ? » Face à la question et au mouvement que l'on lui imposait, Eldrich eu pour toute réponse un grognement qu'il agrémenta d'un maigre : « Un. — Tu te fais vieux. — Tu devrais voir l'état de l'au.... » Là, dans la neige - rien. Du sang, trop de sang, mais pas de cadavre. « ... Où est-il. » Trop faible pour se hisser seul, son frère et un garde cherchaient à le porter hors de la ruelle, mais son état lui importait peu à cet instant, il voulait à tout prix à revenir sur ses pas. « Où est-il ? Il - — Eldrich. — Je l'ai tué. J'ai attendu- j'ai vu la vie s'éteindre des yeux de- — On l'attrapera. — De la même façon que l'on a attrapé le meurtrier de Rickard ? » Les deux frères se regardèrent en chien de faïence. Plus le temps passait, plus le sujet devenait délicat, cela n'avait en rien échappé au cadet. Il reprit, plus bas. « Ce n'est ni le temps, ni le lieu. » Janis avait raison, Eldrich n'en avait que trop conscience. Il soutint quelques instants le regard de son frère et lâcha à l'intention des gardes. « Bouclez le bâtiment, suivez la trace de ce chien. » Ordres qu'il savait vains.
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| | | bitch queen Hiboux : 312 Avatar : nina constantinova dobreva. Double Compte : vysenia, the commander of death et zorah, the volcanoe. Crédits : @wildworld, (ava)+ elenagilbertsdaily, (gif) Âge : twenty-three yo. Nature du sang : high-born. (pureblood) Statut civil : provocante, séductrice et fatale. la jeune fille a cherché durant quatre ans à ne pas être fiancée. aujourd'hui, après ses blessures, après être passée si proche de la mort, elle accepte. elle le sait, elle sera fiancée. et elle s'en fiche en vérité, elle aimerait juste que ce soit un mariage d'amour, plutôt qu'un mariage arrangé. Patronus : lionne, fière et dangereuse. Amortentia : elle n'en a jamais respiré les effluves, de ce fait, elle n'en sait absolument rien. | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS Lun 14 Mar - 20:46 | |
| staska, c'est un oui pour moi. le don est à toi. c'est aussi un oui pour ton don, eldrich. il faut que tu attendes un second oui, avant que le don ne te revienne. |
| | | | Sujet: Re: ⊰ DEMANDES DE DONS | |
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