bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: (M/LIBRE) les douleurs obsessionnelles Dim 21 Fév - 23:57 | |
| leike dválersonthe bodies become tattered. carte de sorcier nom, prénoms : Dválerson, ça résonne de racines d'ailleurs, d'un lointain que l'on n'oublie pas. Leike, un prénom comme un autre, un quelconque souvenir d'un possible ascendant. âge : Trente-cinq ans et des brouettes (en réalité, entre vingt-huit ans et trente-neuf ans). date, lieu de naissance : Au choix. origines : Islandaises et au choix. nature du sang : Souillé, mêlé. statut civil : Célibataire, enchaîné aussi bien que volage et libertin. profession : Sous-fifre, esclave, homme de main, partner in crime, vagabond. don : Aucun ou au choix. maison : Aucune. baguette : Au choix. patronus : Au choix. epouvantard : Au choix. amortentia : Les arômes de la mort qu'il partage avec la dame à la main de fer, la Vasara aux affinités qui étonnent et qui rejoignent. groupe : Au choix. avatars proposés : Cillian Murphy, James McAvoy, Oscar Isaac, Michael Fassbender, Toby Stephens, Zach McGowan, Aaron Johnson, David Tennant, au choix. |
salveo maleficia. ⊰ 1. Né dans des contrées lointaines, une Europe de l'Ouest qui l'a durant de courtes années abrité. Deux parents dont le sang est considéré comme souillé, le bas peuple aux intentions qui ne sont jamais considérées. La crasse des territoires, ceux que l'on balaie vainement et inutilement, ils ont été piétiné, ils ont été traumatisé, ridiculisé. ⊰ 2. Il a vadrouillé, ici et là. Dans les parcelles inconnues de pays redoutés, dans les territoires hostiles où son sang n'était perçu que comme la malédiction, le châtiment enduré par des Dieux qui l'ont marqué d'une souillure dans l'organisme. Il ne se répugne pas, accepte ce sort qui est sien depuis toujours. Il a conscience de sa place dans le monde magique mais n'en a que faire. Au Diable les conformités, il a longtemps fait comme bon lui semble. ⊰ 3. Le gagne-pain, ça a été d'offrir ses services aux plus généreux. Se salir les mains pour ceux qui le souhaitaient. Un petit nom dans la gangrène d'une Europe aux habitants qui, chacun, cherchent à s'élever dans la hiérarchie. On anéantit les plus candides, on massacre hommes et les femmes qui bloquent les voies de certains. Les mains ont cette couleur cramoisie, et quand bien même on les lave, le sang laisse des traces. On ne les voit pas, mais lui en est conscient. Qu'importe, les sacoches d'or lui permettent de vivre. ⊰ 4. Puis on s'attaque à la mauvaise personne. Un sang-pur. On l'attaque, on l'écorche, vif ? Non. On le fait souffrir comme jamais il n'a connu, des supplices qui se veulent ignobles mais dont l'islandais se délecte. Il ne peut pas trouver mieux à faire que d'écouter les râles qui transpercent les nuits muettes. Il en rit, il a le sourire qui orne les lippes fines. Mais c'est la mauvaise cible. Le sang-pur, il est bel et bien à tuer, mais il n'aurait pas dû s'attaquer à un tel convoi. On le traque, on le pourchasse, on l'arrête et on veut le juger comme si la justice allait le laisser vivre. Il sait qu'il va mourir, il sait que c'est la fin d'une épopée. Tôt ou tard, fallait bien qu'il se laisse périr. ⊰ 5. Mais non. On le libère. Ou plutôt, on l'enchaîne à une sang-pur. On dit qu'elle a insisté pour l'avoir, que c'était celui-là et pas un autre. Elle aurait fait un scandale, aurait hurlé et frappé des poings sur les tables jusqu'à ce que les grands cèdent. Et les rumeurs disent vraies. Elle a joué cartes sur table dès lors qu'il lui a été assigné. Son esclave, sa propriété et Inka ne peut pas être plus possessive qu'envers ce qui lui appartient de droit. - Extrait de la fiche de présentation:
« Ne daigne pas bouger, pas même d'une poignée de millimètres indiscernables, sinon tu vas tout faire ra-... » Elle ferme les paupières en serrant les dents qui manquent de grincer. Idiot. Imbécile. Et pourtant, sa gorge se noue dans un sourire qu'elle peine à esquisser. Elle connaît la dangerosité de l'individu quand bien même elle a noué une laisse à son cou. Elle sait qu'elle peut, en un instant, avoir des doigts fins qui s'enroulent à son cou pour lui ôter la respiration, pour ravager les poumons qui n'arriveront plus à faire fonctionner la machine. « Ce n'est pas grave, je suppose. » Elle hoche la tête en se passant une paume dans les cheveux qui se laissent faire, la passe sur son front et devant ses paupières comme si cela suffirait à débarrasser la fatigue du faciès marqué. Leike Dválerson. Un prénom qui ne laisse pas indifférent dans la communauté magique. Criminel, tueur en série, tout ce que vous voulez. Il a été au service de la Résistance, que l'on murmure, capturé, enchaîné, vendu sur le marché au prix fort. Sa loyauté n'a jamais été complètement révélée. Comme un loup sans meute, il a opéré autrefois pour les plus offrants. Ses pas se sont ancrés dans l'Est de l'Europe, salissant ses paumes d'un cramoisi pur dont il se délectait. Ancien tueur à gage, la cruauté dont il est capable est inimaginable, même pour Inka qui, depuis près d'un an, entretient une relation de dominant-dominé, les deux rôles étant occasionnellement échangés. Il est tout ce qu'elle rebute et tout ce qu'elle admire. Tout ce qu'elle haït et tout ce qu'elle aime à la fois. Il a le sang qui le trahit, mais le talent qui l'éblouit. Leike lui apprend, Leike donne son savoir à la belle pour le prix de sa vie. Et le savoir, il ne se paie pas qu'avec les mots et les tactiques, stratagèmes donnés. « A ton tour. » L'esclave la tutoie et elle ne le reprend pas. Quand ils ne sont que tous les deux, les permissions sont données, les bonnes manières estompées. Inka inspire difficilement et elle s'assoit sur la chaise de bois qui, dès lors qu'une pression y est exercée, grince dans un sifflement qui l'irrite à chaque fois. « Trois milligrammes, seulement. » qu'elle articule en rivant ses iris sombres dans le regard de celui qui devient bourreau. « Je le sais bien. Car cinq milligrammes tuent. Et que quatre restent encore un mystère que tu dois tacher de résoudre. » Elle le fusille d'une œillade vive. « Que nous devons tacher de résoudre. » Une pichenette dans l'aiguille qui laisse échapper quelques gouttes de l'élixir, il plante la seringue dans l'avant-bras de la Vasara qui, instantanément, grimace. La douleur est-elle réelle ? Les veines se resserrent et peinent à laisser traverser le sang qui y circule. Les canaux sanguins, tous contrôlés par le mélange délicat mis en œuvre. Une potion parmi tant d'autres, destinées à maltraiter, à faire souffrir, à taillader les âmes. Inka y est habituée. Leike, aussi. Tous les deux, l'un sur l'autre, ils expérimentent leurs trouvailles. Eux, qui résistent aisément à la douleur. Eux, qui même sous la torture, apprécient les caresses que la mort vient leur porter. Eux, qui infligent les atrocités et qui se les affligent aussi. Eux, qui ensemble, cherchent l'essence qui les déchirera. Trouver le philtre qui pourra tout faire, l'objectif qu'ils se sont assignés. Inka, elle sent qu'elle vacille. Elle sent que la lutte est vaine, mais elle sent surtout que ce n'est pas assez. Qu'ils peuvent mieux faire. Et il le sait, lui aussi.
(FT. INKA VASARA) Cela fait un an qu'ils se traînent dans les pattes. Douze mois qu'ils cherchent désespérément à se connaître l'un et l'autre. Si Inka n'avait jamais prêté grande attention aux sous-fifres qu'elle avait eu sous ses paumes, Leike fut celui qui attira particulièrement son attention. Ce fut avec hargne qu'elle demanda (pour ne pas dire supplié) à ce que sa vie soit épargnée, en échange d'une somme astronomique d'or qu'elle s'obligea à dépenser. Leike, ancien tueur à gage dont les phalanges avaient été couvertes d'une pureté cramoisie que l'on avait cherché à venger. La famille concernée cria au scandale, a voulu de sa propre poigne, saisir le cou du coupable pour l'étriper. Mais dans une société régit par l'abondance, l'aisance et le patrimoine déraisonnable, l'appel des picaillons qu'elle agita sous le nez du gouvernement et des proches de la victime les fit flancher. Il devint sien, ou comme dirent certains, ça devint sien. Les anciens esclaves, désormais infirmes, incompétents et toujours aussi faiblards, manquaient de hardiesse. Manquaient de persévérance. De patience. « Pourquoi ? » qu'il avait demandé, articulé entre deux lippes avides de connaître la raison qui se cachait derrière le fait de l'avoir secouru d'une finalité qui lui semblait certaine, les iris inquisitrices qui tentaient, vainement, de lire l'essence qu'elle ne dissimulait que trop bien. « Tu as l'expérience. » Le sourcil qu'il arqua dans l'incompréhension. L'expérience, mais de quoi ? Sans diplôme, sans études prestigieuses dans les années estompées, il dessina sur ses traits une expression sceptique. « De la mort. » Parcimonieuse sur les mots énoncés, elle dévia son regard vers l'individu en le toisant de haut en bas, le jugement que l'on pouvait lire dans le fond des abysses qui le contemplaient. En hochant la tête, aussi bien étonné que perplexe, il finit par se stopper dans la marche. Il avait entendu parler des Vasara. Il se remémorait les derniers mots de quelques unes de ses cibles, le patronyme énoncé dans la peur, et la crainte. Ce sont les Vasara qui t'envoient ? et à chaque fois, il ne comprenait pas cette terreur qui traversait leurs prunelles. Alors Leike leur disait tout bonnement que ça allait être rapide et soudainement, ils étaient soulagés, les traits détendus ce qui n'avait, pour lui, aucun sens. [...] « Je-... » Il suffoquait. Les risques du métier que l'on se plairait à dire, et pourtant, elle ne prenait aucun plaisir à le voir ainsi, à presque se tortiller dans une douleur qu'il ne pouvait contenir qu'en serrant la mâchoire, les dents manquant de grincer. C'était bien la première fois qu'elle foirait. Ou du moins, qu'elle laissait l'expression inquiète trôner sur son visage. Ces sourcils froncés, ces poings serrés et sa mâchoire qui en faisait de même, il voyait bien qu'elle n'avait plus le contrôle sur l'expérience qu'elle avait tenté de réaliser. Le mélange, d'après elle, ne devait pas être bien dangereux. Et pourtant, Leike se sentit comme attiré par la faucheuse qui lui faisait signe de venir à ses côtés. D'un oeil, il pouvait apercevoir celle qui s'activait. Bon sang, le bruit de fioles qui venaient se fracasser sur le sol de pierres, s'éclatant en de centaines de tessons, le chuintement des bouts de verres qui s'éparpillaient lui arrachèrent un léger râle. « Attends... Attends, encore un peu... » S'il connaissait assez bien Inka de par les instants passés avec elle, c'était bien la première fois qu'il entendait cette intonation. Les spasmes contenus depuis trop longtemps, les muscles ne pouvant plus supporter les convulsions qui lui donnaient l'impression de se fendre en plusieurs morceaux, l'ultime cri contenu qui vint se faufiler entre ses dents et elle accourut vers lui avec bon nombre de mixtures inconnues. Jouant les innombrables seringues en sa possession, elle injecta un mélange aux couleurs rebutantes. « Ne meurs pas, ne meurs pas... » qu'il pouvait l'entendre murmurer inlassablement. Les contractures se calmèrent, elle pouvait distinguer les poings se desserrant, les phalanges apaisées et le souffle qui se stabilisait. Le souffle qu'elle retenait dans ses poumons et dans le fond de sa gorge se libéra dans un soulagement inespéré. Si Inka n'avait jamais tué intentionnellement, elle ne déplorait pas les pertes antérieures comme celle qui aurait pu survenir à cet instant. Une paume qu'elle pose sur l'une des épaules de Leike, elle s'accroupit à côté de lui alors qu'il était affalé sur la chaise, reprenant peu à peu ses esprits. Et dans un geste qu'elle ne comprit pas, on lui releva le menton, effleurant les lippes des autres qui se percutèrent aux siennes. Un baisé arraché, volé dans l'instant. Quand il fut mis à terme, elle recula. Elle recula, et tourna les talons sans même porter un regard sur lui. « Tu nettoieras tout ce désordre. » Quand tu te sentiras mieux, qu'elle aurait pu ajouter, mais elle ne le fit pas. Si Inka a donné son cœur à un homme qu'elle connaît depuis des lustres (Yagor Bytchkov), si elle a donné son avenir à un autre avec qui le palpitant reste des plus indifférents (Andreas Svendsen), elle peut bien se permettre de donner son corps à encore quelqu'un d'autre ? informations supplémentaires : hola la famille. alors je n'ai généralement pas grand chose à dire dans cette partie, si ce n'est que la plupart des points sont libres et totalement négociables. je veux dire, si vous voulez pas qu'il soit islandais, soit, c'est pas ça qui va changer grand chose. pour le prénom tout comme le patronyme, c'est à votre guise, j'ai simplement mis ce qui me passait par la tête durant ma fiche. l'âge est lui aussi négociable, mais je l'ai déjà précisé plus haut, avec une fourchette assez large tout de même. l'histoire est vachement libre elle aussi, je veux dire, tout ce qu'il y a à savoir, c'est qu'il était tueur à gage, qu'il a vadrouillé un peu partout, qu'il a pas fait de grandes études, mais qu'il est doué dans ce qu'il fait (à savoir, tuer, torturer, tout ça, grande joie dans notre sous-sol ). bref, concernant le lien. c'est difficilement négociable comme base, mais le développement, on peut le voir entre nous bien évidemment. j'aime bien prévoir le futur avec celui ou celle qui veut tenter le scénario, donc voilà. mais en gros, elle l'a sauvé de la mort certaine, elle en a fait son esclave devant les autres, dans le sens où ouais, elle le maltraite (pas forcément physiquement, mais dans la parole) parfois pour faire genre, mais quand y a plus personne, c'est son homme de main, son partenaire scientifique (et c'est pour ça qu'elle l'a sauvé, le fait qu'il soit complètement cruel et insensible aux douleurs, ça l'attire) et ils cherchent ensemble des poisons à concocter, ou des élixirs pas faits pour tuer mais juste pour faire mal, très très très mal. et ils se les testent sur eux-même, à petites doses comme ils savent que ça ne peut pas tuer (bon, pourra y avoir des retournements de situation ). mais en gros, on a deux grands alchimistes qui essaient de nous fabriquer une mixture bizarre pour assouvir leur propre fierté. et ils ont sûrement eu quelques égarements. plaisirs personnels, égoïstes, purement charnels, m'voyez. ça a beau être une sang-pur, elle a devant elle un mec qu'elle admire à cause de son savoir-faire et pour son charisme (même s'il a le sang souillé ). mais ça reste quelque chose de complexe. disons que les égarements, si répétés, parfois ils en oublient que merdouille, y a des gens à côté, alors ils se renferment et généralement ça se termine avec elle qui crie sur lui (alors que c'est elle qui fait ses faux pas ) Il est tout de même assez libre de ses mouvements, elle le laisse gambader s'il le veut, tant qu'il revient au bercail (et il revient toujours, même si parfois elle s'inquiète). :nope: Bref, je crois que c'est tout et j'espère que ça vous inspirera quand même. Je vous lance des cookies et muffins, et un peu de folie (et un bisou sur la fesse droite ). ZORN UND WUT copyrights 2016 zorn und wut - none copies authorized |
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bitch princess Hiboux : 1264 Avatar : emma watson. Crédits : princess rover (avatar), princess rover (gifs). Âge : vingt quatre années. Nature du sang : rebuté, admiré, haï, envié. carmin d'une pureté indéniable. Statut civil : fiancée (andreas svendsen), union non-voulue que l'on reporte depuis cinq ans. Patronus : harpie féroce, le caractère retranscrit dans la bête. Amortentia : l'effluve de la mort, de la débauche et du regret qui s'ensuit. | Sujet: Re: (M/LIBRE) les douleurs obsessionnelles Mer 24 Fév - 18:47 | |
| - Leike Dválerson a écrit:
- /pose ses griffes dans le coin et ne bouge plus de là. -
C'est pas sérieux - adieu résolutions du nouvel an - mais je ne pouvais pas laisser une telle merveille me passer sous le museau. GNIH. De toute façon, qui, de nos jours, tient ses résolutions ? Hein ? HEIN ? Personne. Je suis contente que tu tentes le scénario, vraiment Tu verras, on va bien s'amuser, ce sera très très drôle entre nous Et t'as pas intérêt à bouger, t'as posé tes fesses, t'y restes. *non, je ne mets pas la pression * Même que je t'envoie tout plein d'amour, à ma façon (si ton ordinateur est faible, il risque de mourir sous mes élans affectifs :nope:) - Spoiler:
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