she's like a hurricane (abelone)

pseudo, prénom : immortals. /sandrne. âge : 25 ans.  pays : québec, canada.  avatar : ivana baquero;  inventé, scénario, prédéfini : écrire ici.  crédits : écrire ici.  comment avez-vous découvert le forum: bazzart. commentaire :   .

Cette fille n'était pas comme les autres. Elle s'évertuait à prouver à tout le monde qu'elle était la meilleure et que personne ne lui arrivait à la cheville. La seule personne en qui elle avait confiance, c'était Leonid Bytchkov. Pourtant, dès l'enfance, on lui avait appris que sa famille cherchait à renverser la sienne. Évidemment, vivre dans l'ombre de Leo en quelque sorte était hors de question pour elle. Abelone s'était toujours considérée comme son égal, rien de moins. C'est son âme sœur, son meilleur ami, son tout. Elle l'a su dès qu'elle a posé les yeux sur lui. Abelone sait qu'elle devra un jour faire face à sa famille si jamais les Svendsen se décidaient enfin à marcher contre les Bytchkov. Elle est évidemment loyale à cette dernière plutôt qu'à son propre sang, même si ça lui fait mal de l'admettre. Récemment, ils ont même fait le serment de Tyr, rien que pour dire. Mais Abelone a toujours été impulsive et colérique. Le calme, ce n'était pas fait pour elle. Étant gamine, elle était bruyante, tapageuse et ne laissait pas sa place. Elle faisait des crises à rien. Ses parents ne savaient pas quoi faire d'elle. C'était la petite dernière de la branche principale des Svendsen. Elle n'écoutait personne, pas même ses frères. Peut-être souffrait-elle du fait d'être une des seules femmes de la famille? Très jeune, elle s'entrainait déjà, voulant être une guerrière rien de moins. Heureusement, dans sa famille, on respectait les femmes. Son père, Obert, était fier d'elle, même s'i la bousculait de temps en temps. Il désirait qu'elle soit parfaite, une vraie petite gurrière. Étonnamment, elle ne ressemblait pas trop au reste de sa famille, même si elle en était belle et bien une héritière. Son regard de braise et ses cheveux presque noirs comme l'ébène n'étaient pas des caractéristiques communes aux Svendsen. Mais ça ne l'a dérangeait pas pour autant. Elle savait faire sa place et ne se souciait pas des commentaires sur sa personne.

Comme tous les autres gamins, de son âge et de son rang, elle rentra à